L’ouverture des américains sur Cuba va-t-il faire baisser le prix des belles d’autrefois?

Depuis l’embargo contre Cuba en 1962, ce pays semble être figé dans le temps.  La vie cubaine, en terme chronologique, semble s’être arrêtée en 1962.

Les rues de La Havane, Santiago de Cuba, Holguin, Santa Clara et plus connue au Québec, Varadero pullulent de voitures des années 50.

Un 1957 Chevrolet Bel-Air par çi, un autre par là. Un 1960 Chevrolet Impala, un vieux Ford 1945, de vieilles Buick servant de taxi, une Cadillac rose.  Cuba semble arrêté dans le temps au niveau de son parc automobile.

Bien sûr sous le capot de ses belles souvent ça se gâte.  Parfois on y retrouve un tout autre moteur.  Les pièces automobiles d’origine manquent à Cuba vu l’embargo.  Mais les cubains sont débrouillards et les belles roulent toujours.

Récemment les États-Unis ont réouvert leur ambassade à La Havane.  Ce n’est qu’une question de mois avant que l’embargo soit relevé progressivement et qu’éventuellement les américains puissent à nouveau voyager à Cuba.

Est-ce que l’ouverture des américains sur Cuba va faire baisser le prix des belles d’autrefois?

On pourrait croire qu’au courant des prochaines années plusieurs américains voudront mettre la main sur les carrosseries de ses belles d’autrefois, les importer aux États-Unis et les restaurer.  Ce qui pourrait amener une chute des prix.

Le temps nous le dira.

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