Le GMC Hummer EV, un monstre de 9000 livres

Rencontre inattendue d’un monstre de 9 000 livres à la place Portobello à Brossard

Nous avons fait la rencontre inattendue d’un monstre de 9 000 livres à la place Portobello à Brossard.

Ce monstre était un immense Hummer EV fabriqué par GMC.

Très imposant, tellement gros qu’il entrait à peine dans son espace de stationnement.

Le GMC Hummer EV est un monstre très imposant.

Ce monstre est un véhicule tout électrique puissant avec des capacités hors route impressionnantes. Voici quelques-unes de ses caractéristiques principales :

Caractéristiques techniques du monstre

Puissance : Jusqu’à 830 chevaux pour les modèles haut de gamme.

Couple : Jusqu’à 11 500 lb-pi de couple.

Autonomie : Jusqu’à 505 kilomètres sur une seule charge.

Temps de recharge : Avec une charge rapide sur une borne de 350 kW, le Hummer EV peut recharger jusqu’à 80 % en environ 30 minutes.

Vitesse de 0 à 100 km/h : Environ 3,5 secondes.

Poids : de 8 500 à 9 000 livres.

Longueur : 5 507 mm (216.8 pouces)

Largeur : 2 201 mm (86.7 pouces) avec les rétroviseurs, 2 196 mm (86.5 pouces) sans les rétroviseurs

Hauteur : 2 055 mm (80.9 pouces)

Empattement : 3 445 mm (135.6 pouces)

Porte-à-faux avant : 881 mm (34.7 pouces)

Porte-à-faux arrière : 1 181 mm (46.5 pouces)

Fonctionnalités Spéciales
CrabWalk™ : Permet au véhicule de se déplacer diagonalement à basse vitesse en tournant les roues arrière en phase avec les roues avant.

Watts to Freedom™ : Offre une accélération impressionnante de 0 à 100 km/h en approximativement 3,5 secondes.

Extract Mode™ : Lève le véhicule d’approximativement 15 cm pour franchir des obstacles.

Super Cruise™ : Système d’assistance à la conduite autonome sur autoroute.

e4WD : Système de traction intégrale électrique avec vectorisation du couple pour une meilleure maniabilité et traction.

Confort et Convenances
Infinity Roof™ : Toit panoramique avec panneaux transparents modulaires.

Power Swing Gate™ : Portes arrière électriques.

Ultravision™ : Caméras sous le véhicule pour une meilleure visibilité.

Design et Intérieur
Couleurs : Disponible en plusieurs teintes, y compris Interstellar White, Void Black, Meteorite Metallic, Deep Aurora Metallic, Tide Metallic, Graphite Blue Metallic, et Solar Orange.

Intérieur : Conception spacieuse et luxueuse avec des matériaux de haute qualité.

Le Hummer EV combine puissance, technologie avancée et capacités hors route pour offrir une expérience de conduite unique et impressionnante.

Pour en apprendre davantage sur le Hummer EV, consulter le site Internet de GMC.

 

1923 Ford model T

1923 Ford Model T, notre trouvaille de la semaine

Une 1923 Ford Model T, découverte sur Facebook Marketplace, annonce ici, est notre trouvaille de la semaine.

Le vendeur spécifie qu’il vend le véhicule, car il a besoin de place.

Le véhicule est en vente à Montréal.

C’est un sublime véhicule de collection. La voiture est plaquée et fonctionnelle, dans un état impeccable.

Le vendeur demande 14 900$.

L’histoire veut que cette 1923 Ford Model T ait appartenu eau médecin de l’île à d’Orléans en 1923.

Un peu d’histoire entourant la Ford Model T

La Ford Model T a une histoire fascinante.Souvent surnommée la « Tin Lizzie » ou la « Flivver », la Ford model T est l’une des automobiles les plus influentes de l’histoire. Ella été produite par la Ford Motor Company de 1908 à 1927, elle est célèbre pour avoir rendu l’automobile accessible à la classe moyenne, en révolutionnant la production de masse et en changeant à jamais le paysage industriel et social des États-Unis et du monde entier.

Avant l’apparition de la Model T, les automobiles étaient principalement des articles de luxe, réservés à une élite aisée. Les véhicules étaient fabriqués à la main, rendant leurs coûts exorbitants pour la plupart des gens. Cependant, Henry Ford, fondateur de la Ford Motor Company, à Detroit au Michigan, avait une vision différente. Il croyait fermement que l’automobile pouvait être un produit de consommation de masse, accessible à tous les Américains.

Les premiers modèles de la Ford Motor Company

Avant la Model T, Ford avait produit plusieurs autres modèles, dont la Model A en 1903, la Model B en 1904 et la Model N en 1906. Ces véhicules avaient connu un certain succès, mais ils n’avaient pas encore réalisé la vision de Ford d’une voiture pour la masse de travailleurs du pays. Cependant, au fil des années, chaque modèle a apporté des innovations et des enseignements qui ont conduit au développement de la Model T.

La naissance de la Model T

Le 1er octobre 1908, la première Ford Model T sort de l’usine de Piquette Avenue à Detroit, Michigan. La Model T était révolutionnaire à plusieurs égards. Elle était robuste, fiable et facile à entretenir, conçue pour résister aux mauvaises conditions des routes rurales de l’époque. Elle était équipée d’un moteur de 2,9 litres, développant 20 chevaux, capable d’atteindre une vitesse maximale d’environ 72 km / h (45 miles par heure). Sa simplicité de conception permettait également une production plus rapide et moins coûteuse pour la Ford Company.

Innovation dans la production

L’innovation la plus significative de la Ford Model T ne résidait pas seulement dans la conception de la voiture, mais dans la méthode de production. En 1913, Henry Ford introduisit la chaîne de montage mobile dans son usine de Highland Park. Cette innovation permit d’accélérer considérablement le processus de fabrication et de réduire les coûts de production. En standardisant les pièces et en décomposant le travail en tâches simples et répétitives, la production complète d’une Model T passa de plus de 12 heures à moins de 2 heures.

Impact économique et social

La production de masse de la Ford Model T avait des répercussions économiques et sociales profondes. En réduisant le coût de production, Ford pouvait vendre la Model T à un prix beaucoup plus abordable. En 1909, la Model T coûtait environ 850 dollars américains (l’équivalent de 15 500 dollars en 2024), mais en 1925, le prix avait chuté à 260 dollars américains (environ 4 700 dollars en 2024). Cette diminution des prix a permis à un plus grand nombre de citoyens américains de posséder une voiture, transformant considérablement la mobilité personnelle qui était encore largement à chevaux à cette époque.

De plus, la chaîne de montage et la production en masse de la Model T ont conduit à des changements dans le travail industriel. Les ouvriers de l’usine Ford, travaillant sur des tâches répétitives à la chaîne, subissaient souvent des conditions de travail ardues et monotones. Cependant, pour attirer et retenir des ouvriers qualifiés, Henry Ford introduisit en 1914 le salaire journalier de cinq dollars, le double du salaire moyen de l’époque. Cette décision augmenta la productivité, réduisit le roulement de personnel et attira une main-d’œuvre plus stable.

La Model T et la culture américaine

La Ford Model T n’a pas seulement transformé l’industrie automobile, elle a également eu un impact profond sur la culture américaine. Elle a démocratisé la mobilité, permettant aux familles de voyager plus loin et plus fréquemment. Les routes et l’infrastructure routière ont commencé à se développer pour répondre à la demande croissante de voitures. Les voyages en voiture et le tourisme sont devenus une partie intégrante de la vie américaine.

De plus, la Model T a inspiré de nombreux autres secteurs industriels à adopter des techniques de production en masse, transformant ainsi en profondeur l’économie américaine et mondiale. Elle a aussi joué un rôle dans l’émancipation des femmes, offrant une nouvelle forme de liberté personnelle et d’indépendance à plusieurs de celles-ci.

Les défis et la fin de la production

Malgré son succès retentissant, la Ford Model T a commencé à faire face à des défis au début des années 1920. Les concurrents comme General Motors ont commencé à offrir des voitures plus modernes, avec des caractéristiques telles que des démarreurs électriques, des carrosseries plus élégantes et une variété de couleurs. La Model T, avec sa conception inchangée et son apparence austère, a commencé à sembler obsolète.

En réponse, Ford tenta d’apporter des modifications à la Model T, mais sans abandonner sa philosophie de simplicité et d’accessibilité. Cependant, malgré ces efforts, la demande pour des voitures plus modernes continua de croître. En 1927, Henry Ford prit la décision difficile de mettre fin à la production de la Model T. La dernière Model T, numéro 15 007 034, sortit de la chaîne de montage le 26 mai 1927.

Héritage et impact durable

L’héritage de la Ford Model T perdure bien au-delà de sa production. Elle a été un catalyseur pour l’industrie automobile moderne et a montré comment la production en masse pouvait transformer les produits de consommation. La chaîne de montage mobile est devenue une norme industrielle, adoptée dans diverses industries pour améliorer l’efficacité et réduire les coûts.

La Model T a également laissé un héritage culturel durable. Elle est devenue un symbole de l’ingéniosité et de l’innovation américaines. De nombreuses Model T sont encore préservées aujourd’hui par des collectionneurs et des musées de par le monde, rappelant l’importance historique de cette voiture emblématique.

1986 Chevrolet Camaro

1986 Chevrolet Camaro RS notre trouvaille de la semaine

Une belle 1986 Chevrolet Camaro RS, à vendre sur le site d’annonces classées Kijiji. C’est notre trouvaille de la semaine.

Ainsi, sur les annonces classées de Kijiji, section Auto et Véhicules, voitures d’époque à Laurentides, cliquez ici pour y accéder. Nous sommes tombés par hasard sur cette belle Chevrolet Camaro blanche munie d’un T-Top,

Le véhicule est à vendre par le propriétaire et est situé à Saint-Jérôme, dans les Laurentides au Québec.

Selon le propriétaire, le véhicule affiche 144 150 kilomètres au compteur et n’a aucune rouille

Cette Chevrolet Camaro est dotée d’une transmission manuelle à 5 rapports et d’un moteur V6 de 2,8 litres.

Le propriétaire du véhicule demande 12 500$.

Un peu d’histoire sur la Chevrolet Camaro

La Chevrolet Camaro est une voiture emblématique qui a laissé une marque indélébile dans l’histoire de l’automobile américaine. Depuis son lancement en 1966, elle a captivé les amateurs de voitures de sport grâce à son design audacieux, ses performances impressionnantes et son esprit compétitif. Revenons sur l’histoire fascinante de cette voiture légendaire.

Les débuts de la Camaro

La Chevrolet Camaro a été introduite par General Motors en réponse à la Ford Mustang, qui avait révolutionné le marché des voitures de sport compactes en 1964. La première Camaro a été dévoilée le 26 septembre 1966 en tant que modèle de l’année 1967. Cette voiture, construite sur la plateforme F-Body de GM, était disponible en coupé et en cabriolet. Le design de la Camaro était distinctif, avec une longue capote et une silhouette basse qui donnaient une impression de vitesse et d’élégance.

La première génération (1967-1969)

La première génération de la Camaro a été produite de 1967 à 1969. Elle offrait un large éventail de moteurs, allant du six cylindres en ligne de 3,8 litres à des V8 de haute performance, comme le fameux 396 cubic inches (6,5 litres). La Camaro SS (Super Sport) et la Camaro Z/28 étaient particulièrement populaires parmi les amateurs de performance. La Z/28, en particulier, était destinée à la compétition dans la série Trans-Am et était équipée d’un moteur V8 de 4,9 litres capable de délivrer une puissance impressionnante.

La seconde génération (1970-1981)

La deuxième génération de la Camaro a été introduite en 1970 avec un design plus aérodynamique et une silhouette plus large et plus basse. Cette version de la Camaro est souvent considérée comme l’une des plus élégantes de l’histoire du modèle. Les moteurs disponibles allaient du six cylindres en ligne de 4,1 litres à des V8 de 7,4 litres. Durant cette période, les réglementations sur les émissions et la crise pétrolière de 1973 ont entraîné une réduction de la puissance des moteurs, mais la Camaro a su conserver son attrait grâce à son design séduisant et ses performances respectables.

La troisième génération (1982-1992)

En 1982, la troisième génération de la Camaro a été lancée, marquant une évolution significative en termes de design et de technologie. Cette génération introduisait des moteurs à injection électronique et des améliorations aérodynamiques. La Camaro IROC-Z, nommée d’après la série de courses International Race of Champions, a été particulièrement marquante. Elle était équipée de moteurs V8 de haute performance et d’une suspension améliorée, ce qui en faisait une voiture de sport très prisée des amateurs de vitesse.

La quatrième génération (1993-2002)

La quatrième génération de la Camaro, introduite en 1993, présentait un design plus moderne et plus aérodynamique. Elle était équipée de moteurs V6 et V8, y compris le célèbre V8 LS1 de 5,7 litres, qui était partagé avec la Corvette. Cette génération a également introduit des améliorations technologiques, comme l’ABS et les airbags, qui ont rendu la Camaro plus sûre et plus performante. Malheureusement, la demande pour les voitures de sport traditionnelles a diminué à la fin des années 1990, conduisant à l’arrêt de la production de la Camaro en 2002.

La renaissance de la Chevrolet Camaro (2009-présent)

Après une absence de sept ans, la Chevrolet Camaro a été relancée en 2009 en tant que modèle de l’année 2010. Cette cinquième génération a été inspirée par le design de la première génération, combinant des éléments rétro avec des technologies modernes. La Camaro était maintenant équipée de moteurs V6 et V8 plus performants et plus efficaces, et offrait des caractéristiques telles que la connectivité Bluetooth et un système de navigation avancé. La Camaro SS, équipée d’un moteur V8 de 6,2 litres, était particulièrement impressionnante, rivalisant avec les meilleures voitures de sport du marché.

La sixième génération (2016-Présent)

La sixième génération de la Camaro, introduite en 2016, a continué à perfectionner la formule gagnante de la Camaro. Construite sur une nouvelle plateforme plus légère et plus rigide, elle offrait des performances encore meilleures et une maniabilité améliorée. Les moteurs allaient d’un quatre cylindres turbo de 2,0 litres à un V8 de 6,2 litres dans la Camaro ZL1, qui pouvait rivaliser avec des voitures de sport exotiques en termes de performances. La Camaro de sixième génération a également mis l’accent sur les technologies de pointe, avec des écrans tactiles, une connectivité améliorée et des systèmes de sécurité avancés.

La Chevrolet Camaro a traversé plus de cinq décennies en restant une icône de la performance et du style américain. Son histoire riche et variée témoigne de l’évolution des voitures de sport et de l’industrie automobile en général. Que ce soit sur les routes, les circuits de course ou dans les cœurs des amateurs de voitures, la Camaro continue de fasciner et d’inspirer.

En fin de compte, la Camaro est plus qu’une simple voiture : c’est un symbole de liberté, de passion et de l’esprit de la route ouverte. Son héritage continue de croître, et il est certain que la Camaro restera une légende de l’automobile pour les générations à venir.

1978 Plymouth Volaré

1978 Plymouth Volaré, notre trouvaille de la semaine

Un beau 1978 Plymouth Volaré vert, à vendre sur Marketplace. C’est notre trouvaille de la semaine.

Ainsi, sur les annonces classées de Facebook (Marketplace), cliquez ici pour y accéder. Nous sommes tombés par hasard sur ce beau Plymouth Volaré vert,

Le véhicule est à vendre par le propriétaire et est situé à Montréal.

Selon le propriétaire, le véhicule affiche 80 000 kilomètres au compteur.

Le Plymouth Volaré, avec tapis et bancs d’origine est muni d’un moteur v8 de 5.2 litres.

Le propriétaire du véhicule demande 6 000$.

Un peu d’histoire sur le Plymouth Volaré

Le Plymouth Volaré est une voiture compacte produite par la marque américaine Plymouth, une division de Chrysler Corporation, entre 1976 et 1980. Elle appartient à la famille des modèles F-Body de Chrysler, qui inclut également la Dodge Aspen, une voiture sœur. Ce modèle a joué un rôle essentiel dans l’histoire de Plymouth en tant que successeur de la Plymouth Valiant, un véhicule qui avait gagné une solide réputation de durabilité et d’efficacité. Voici une analyse approfondie de la Plymouth Volaré, couvrant son design, ses performances, ses variantes, son héritage et son impact.

Au milieu des années 1970, Chrysler cherchait à moderniser son offre pour répondre aux attentes des consommateurs en matière de confort, de style et de rendement énergétique. La crise énergétique de 1973 avait bouleversé le marché automobile, forçant les constructeurs américains à repenser leurs modèles souvent lourds et gourmands en carburant. Dans ce contexte, Plymouth a conçu le Volaré comme une voiture compacte offrant une conduite plus raffinée et un design plus moderne que la vieillissante Valiant.

Le nom « Volaré », signifiant « voler » en italien, visait à évoquer une sensation de légèreté et de fluidité. Ce choix de branding était ambitieux, reflétant les aspirations de Plymouth à séduire un public plus jeune et plus sophistiqué.

La Plymouth Volaré a été conçue avec un design anguleux et une allure contemporaine pour l’époque. Bien qu’elle soit classée comme une voiture compacte, elle affichait des proportions généreuses, offrant un espace intérieur confortable pour une famille. Quelques aspects clés de son design incluent :

La Plymouth Volaré était disponible avec une gamme variée de moteurs, allant des moteurs économiques à 6 cylindres aux V8 plus puissants, pour convenir à différents budgets et préférences de performance. Voici un aperçu des options proposées :

  • Moteur de base Slant-6 de 3,7 L (225 cid) réputé pour sa fiabilité et sa simplicité. Ce moteur offrait des performances adéquates pour une utilisation quotidienne.
  • Un moteur V8 de 5,2 L (318 cid), idéal pour ceux qui recherchaient un compromis entre puissance et efficacité.
  • Un moteur V8 de 5,9 L (360 cid), réservé aux versions haut de gamme ou sportives, telles que le modèle Volaré Road Runner.

Les transmissions disponibles comprenaient une boîte manuelle à 3 ou 4 vitesses, ainsi qu’une boîte automatique TorqueFlite à 3 vitesses, une transmission bien connue pour sa durabilité.

En termes de conduite, la Volaré se démarquait par sa suspension confortable et sa maniabilité décente pour l’époque. Cependant, ses performances globales étaient limitées par son poids relativement élevé et ses moteurs sous-optimisés en raison des normes d’émissions strictes.

L’une des variantes les plus intéressantes était la Volaré Road Runner, qui s’inscrivait dans la tradition des muscle cars de Plymouth. Bien qu’elle ne soit pas aussi puissante que les muscle cars des années 1960, cette version offrait des éléments distinctifs comme :

  • Des graphismes extérieurs audacieux et des bandes de carrosserie.
  • Une suspension améliorée pour des performances sportives.
  • Des options de moteurs V8 pour un peu plus de punch.

Il y a eu aussi le break Volaré qui était particulièrement populaire parmi les familles, grâce à son vaste espace de chargement et sa polyvalence. Cette configuration mettait en avant le côté pratique de la voiture tout en conservant son allure moderne.

À son lancement, la Plymouth Volaré a été bien accueillie, recevant même le titre de « Voiture de l’année » 1976 décerné par *Motor Trend*. Les journalistes de l’époque ont salué son confort, sa qualité de conduite et son design moderne, qui représentaient une nette amélioration par rapport à la Valiant.

Malheureusement, la réputation initiale du Volaré a été ternie par des problèmes de fiabilité et de qualité. Certains des problèmes notables incluaient la corrosion excessive, des problèmes mécaniques d’importances ainsi que des problèmes liés à la suspension et aux freins. Finalement, la finition intérieure et la durabilité des composants étaient parfois critiquées, ce qui a nui à la perception de la marque.

Le Plymouth Volaré était en concurrence avec plusieurs voitures compactes de l’époque, notamment le Ford Granada / Mercury Monarch, ces modèles offraient un design similaire et visaient un marché comparable.
Il y avait aussi le Chevrolet Nova, un concurrent direct, bien établi et connu pour sa fiabilité.
Et finalement des modèles importés avec la montée des importations japonaises comme la Toyota Corolla et la Honda Accord a également ajouté une pression considérable, surtout à la fin des années 1970.

Chrysler a tenté de positionner le Volaré comme un choix équilibré, mais la concurrence féroce et les problèmes de qualité ont limité son succès.

L’héritage du Volaré

La Plymouth Volaré, bien que prometteuse à ses débuts, reste un exemple des défis auxquels les constructeurs automobiles américains étaient confrontés dans les années 1970. Son héritage est mitigé :

Points positifs :

  • Le Volaré a introduit plusieurs innovations techniques, comme la suspension isolée, qui ont influencé les futurs modèles.
  • Elle a marqué la transition de Plymouth vers des véhicules plus modernes et plus orientés vers le confort..

Points négatifs :

  • Les défauts de qualité et les problèmes mécaniques ont sérieusement entaché la réputation de Chrysler à l’époque.
  • Sa durée de vie relativement courte (1976-1980) témoigne de son échec à s’imposer durablement

En 1980, la production du Plymouth Volaré a été arrêtée. Elle a été remplacée par la Plymouth Reliant, l’un des premiers modèles à utiliser la plateforme K de Chrysler. La Reliant, avec son design plus compact et son moteur plus économe en carburant, correspondait mieux aux attentes des consommateurs des années 1980.

Aujourd’hui, la Plymouth Volaré est rarement vue sur les routes et a une valeur relativement modeste sur le marché des voitures classiques. Cependant, certaines variantes, comme la Volaré Road Runner ou les breaks bien entretenus, suscitent un intérêt parmi les passionnés de voitures vintage. Sa rareté relative en raison de la corrosion et des problèmes mécaniques en fait une pièce intrigante pour les amateurs d’histoire automobile.

1955 Chevrolet Bel Air

1955 Chevrolet Bel Air, notre trouvaille de la semaine

Un beau 1955 Chevrolet Bel Air à vendre sur Marketplace.

C’est notre trouvaille de la semaine.

Ça faisait un bout que nous n’en avions pas publié. Nous étions à réfléchir à l’avenir d’AutoCarbure.

Et c’est tout réfléchi, vous verrez de nouvelles publications au courant des prochaines semaines.

Ainsi, sur les annonces classées de Facebook (Marketplace), cliquez ici pour y accéder. Nous sommes tombés par hasard sur ce beau Chrevrolet Bel Air couleur bleu et aussi d’un intérieur bleu,

Le véhicule est à vendre par le propriétaire et est situé à Saint-Philippe, sur la Rive-Sud de Montréal.

Selon le propriétaire, le véhicule affiche que 56 910 kilomètres au compteur.

Le Chevrolet Bel Air est muni d’une transmission manuelle à trois vitesses et d’un moteur v8 de 256 ci.

Le propriétaire du véhicule demande 22 800$.

Un peu d’histoire sur le Chevrolet Bel Air 1955

Le Chevrolet Bel Air de 1955 est souvent considéré comme l’un des modèles les plus emblématiques de l’histoire automobile américaine. C’est une voiture qui a marqué un tournant pour Chevrolet en termes de design, de performance et de popularité.

Au début des années 1950, Chevrolet cherchait à renouveler son image et à s’imposer face à la concurrence croissante de Ford et Plymouth. Le Bel Air de 1955 a été une réponse audacieuse à ce besoin, marquant le début de la gamme « Tri-Five » (1955, 1956, 1957) qui allait devenir légendaire.

Le Bel Air 1955 a introduit un style totalement nouveau avec des lignes nettes, une calandre distinctive et des pare-chocs chromés. La voiture était également équipée de feux arrière enveloppants et d’un pare-brise enveloppant, ce qui lui donnait un look résolument moderne pour l’époque. Disponible en plusieurs configurations de carrosserie, y compris coupé, berline et cabriolet, le Bel Air offrait aussi une gamme de couleurs vives et deux tons.

Le modèle 1955 a été le premier à proposer le nouveau moteur V8 « small block » de Chevrolet. Ce moteur de 265 pouces cubes offrait une puissance impressionnante pour l’époque et a contribué à établir la réputation de Chevrolet pour la performance. Ce moteur pouvait être couplé à une transmission manuelle à trois vitesses ou à une transmission automatique Powerglide.

L’intérieur du Bel Air 1955 était tout aussi impressionnant que son extérieur. Il offrait un niveau de confort et de luxe supérieur à ce que les clients attendaient d’une voiture de sa catégorie. Avec ses sièges en tissu et vinyle, son tableau de bord stylisé, et ses nombreuses options, y compris la radio et le chauffage, le Bel Air visait à offrir une expérience de conduite agréable.

L’un des aspects les plus révolutionnaires du Chevrolet Bel Air de 1955 était son cadre complètement redessiné, plus léger et plus rigide, offrant une meilleure maniabilité et une conduite plus confortable. De plus, l’ajout de la suspension avant indépendante a amélioré la stabilité et la douceur de roulement.

Le Chevrolet Bel Air de 1955 est devenu un symbole de la culture automobile américaine des années 1950. Il a été célébré dans les médias, apparaissant dans de nombreux films et émissions de télévision, et est devenu un favori parmi les passionnés de voitures anciennes et les collectionneurs. Son design emblématique et sa performance fiable en ont fait une voiture de rêve pour beaucoup d’Américains.

Aujourd’hui, le Chevrolet Bel Air de 1955 est considéré comme une pièce de collection précieuse. Les amateurs de voitures anciennes recherchent souvent des modèles en bon état, et de nombreux restaurateurs et personnalisateurs s’efforcent de préserver ou d’améliorer ces véhicules classiques. Les ventes aux enchères de voitures de collection voient souvent des Chevrolet Bel Air restaurés atteindre des prix élevés.

Ainsi, le Chevrolet Bel Air de 1955 n’était pas seulement une voiture, mais un véritable phénomène culturel qui a capturé l’esprit de son époque. Avec son design audacieux, ses innovations techniques et son impact durable sur l’industrie automobile, il reste une icône intemporelle de l’automobile américaine et demeure une légende du monde de l’automobile.

 

2023 Dodge Charger SXT

1968 Dodge Charger vs 2023, lequel est le plus lourd ?

Deux Dodge Charger, un de l’année 1968 et un autre de l’année 2023. La question qui intrigue les amateurs d’automobiles, lequel des deux bolides est le plus lourd ?

Le modèle 2023 du Dodge Charger comparé est la version SXT. Cette version est munie du légendaire moteur Pentastar V6 de 3,6 litres qui déploie 292 chevaux pour un torque de 260 livres-pied. Il est aussi doté d’une transmission automatique à 8 rapports. Son poids est de 3 940 livres (1787 kilos).

Le modèle 1968 du Dodge Charger est munie d’un gros moteur V8 de 5,2 litres (318 pouces cubes) pouvant déployer 230 chevaux, une transmission automatique à 3 vitesses,   Son poids est de 3 605 livres. Donc inférieur de 235 livres à la version de 2023.

Comment cela est-il possible ?

Tout d’abord, au niveau des pneus, le Dodge Charger de l’année 2023 chausse du 18 pouces, soit des 235/55R18. Soit environ 20 à 40 livres du pneu.

La version 1968, chaussait des pneus 14 pouces 215/70R14SL ou des pneus 15 pouces 245/60R15SL, soit approximativement 20 à 30 livres du pneu.

Ensuite les vitres électriques. Les quatre portes de la version 2023 sont munies de vitres électriques. Alors qu’en 1968, le Dodge Charger n’avait pas cela.

L’addition de coussins gonflables dans la version 2023 contribue aussi à augmenter le poids du véhicule.

Les normes de sécurité n’étaient pas les mêmes en 1968 à comparer à 2023. Ce qui fait que le modèle 2023 doit être meilleur au test collision avec des barres de renforcement dans la structure du véhicule.

Toute l’assistance à la conduite d’un véhicule en 2023 vs 1968 augmente aussi le poids du véhicule. Par exemple, la cervo-direction était en option en 1968 et n’est donc pas compté dans le poids du véhicule plus haut. Tandis qu’en 2023, c’est un équipement standard sur le véhicule.

La même chose au niveau du freinage. En 1968, le système d’assistance de freinage était en option alors qu’il est standard sur la version 2023 du Dodge Charger.

La version 2023 du Dodge Charger est aussi équipé de base d’un système beaucoup plus avancée. avec des freins à disque hydrauliques assistés par des systèmes électroniques de contrôle de la stabilité et de l’anti-blocage des roues (ABS).

Voilà pourquoi la version 2023 du Dodge Charger est plus lourde que sa version 1968.

1972 Pontiac Lemans

1972 Pontiac LeMans Coupe, notre trouvaille de la semaine

Un 1972 Pontiac LeMans Coupe est notre trouvaille de la semaine.

La voiture est en bonne condition, dotée d’un moteur 400 ci.

Une boîte de vitesse automatique.  La voiture est à motricité propulsion.

C’est un coupé deux portes, de couleur jaune.

C »est sur le site Internet Kijiji, section voitures d’époques, que l’annonce a été vue et le revendeur y a mis ses coordonnées.

Occasion unique pour acquérir une belle voiture antique. La voiture est en vente à Vaudreuil, le revendeur demande 28 9995$. Dans l’annonce, il est indiqué que le vendeur peut livrer partout au Canada.

La Pontiac LeMans est une voiture emblématique de l’histoire automobile américaine, appartenant à la famille des muscle cars des années 1960 et 1970. Son histoire remonte à la fin des années 1950, lorsque Pontiac, une division de General Motors, cherchait à introduire un nouveau modèle pour élargir sa gamme de voitures.

Au début des années 1960, Pontiac était en pleine croissance et cherchait à capitaliser sur le succès croissant de ses modèles. Dans ce contexte, la LeMans a été développée comme une version haut de gamme de la Pontiac Tempest, une voiture compacte lancée en 1960. La Tempest était initialement conçue pour rivaliser avec les compactes étrangères qui gagnaient en popularité sur le marché américain.

La première génération de la Pontiac LeMans a été introduite en 1961 en tant que modèle haut de gamme de la Tempest. Conçue comme une voiture de taille moyenne, la LeMans se distinguait par son style sportif et ses performances améliorées par rapport à la Tempest standard. Elle était disponible en versions berline, coupé, break et cabriolet, offrant ainsi une variété d’options aux clients.

Au fil des ans, la Pontiac LeMans a connu plusieurs évolutions et innovations pour répondre aux exigences changeantes du marché automobile et aux attentes des consommateurs. Voici quelques-unes des principales étapes de son développement :

Dans les années 1960, la LeMans est devenue un symbole de la culture automobile américaine, incarnant la puissance et la performance des muscle cars de l’époque. Elle était disponible avec une gamme de moteurs V8 puissants, offrant des performances impressionnantes sur route et sur piste.

Au début des années 1970, l’industrie automobile américaine a été confrontée à de nouveaux défis, notamment des réglementations environnementales plus strictes et une demande croissante de voitures plus économes en carburant. La LeMans a été adaptée pour répondre à ces exigences, avec l’introduction de moteurs plus économes en carburant et des efforts pour améliorer l’efficacité énergétique.

Dans les années 1980, Pontiac a revu sa stratégie de produit, mettant l’accent sur les voitures plus petites et plus économiques. La LeMans a été redimensionnée et repositionnée pour répondre à cette évolution du marché, mais elle a perdu une partie de son aura de muscle car.

La Pontiac LeMans a laissé une empreinte durable dans l’histoire de l’automobile américaine. En tant que représentante emblématique des muscle cars des années 1960 et 1970, elle reste chère aux cœurs des passionnés de voitures classiques et des amateurs de performance. Son design distinctif, ses performances impressionnantes et son impact sur la culture automobile en font une voiture légendaire.

Malgré la disparition de la marque Pontiac en 2010, la LeMans continue de susciter l’intérêt et l’admiration des collectionneurs et des aficionados de voitures anciennes. Son héritage perdure à travers les rassemblements de voitures classiques, les expositions automobiles et les événements dédiés à la mémoire des muscle cars légendaires de l’époque dorée de l’automobile américaine.

La Pontiac LeMans est bien plus qu’une simple voiture ; elle incarne l’esprit et la passion de toute une époque dans l’histoire de l’automobile. Son histoire fascinante, ses performances légendaires et son héritage durable en font un véritable symbole de l’âge d’or des muscle cars américains.

Le 1975 Buick Riviera ayant appartenu à Gary Carter

1975 Buick Riviera de Gary Carter, notre trouvaille de la semaine

Un 1975 Buick Riviera ayant appartenu à Gary Carter est notre trouvaille de la semaine.

La voiture est en bonne condition mais elle n’est pas parfaite au niveau de la carrosserie qui a un peu besoin d’amour.

Elle est dotée d’un moteur 455 7.5L., et d’une transmission TH400. Elle a 97000 milles. A passé deux fois les inspections de la SAAQ sans problème.

Veuillez vérifier le prix du marché et faites votre offre en conséquence. Toute offre raisonnable sera considérée, que dit l’acheteur.
Acheteur/collectionneur sérieux seulement. Curieux s’abstenir SVP.

C »est sur le site Intrernet Kijiji, section voitures d’époques, que l’annonce a été vue et le vendeur y a mis ses coordonnées.

C’est le 1975 Buick Riviera 1975 ayant appartenu au célèbre joueur de baseball des Expos de Montréal, Gary Carter, élevé au Hall of Fame aux États-Unis.
Carter a eu une rue et un stade de baseball dans le quartier Ahuntsic nommées son nom à Montréal.

La voiture vient avec une panoplie de documents originaux signés de la main de Gary Carter, notamment au moment de l’achat de la voiture en Californie en 1974 peu de temps après son mariage. La voiture avait été importée au Québec quand il était venu jouer avec les Expos à Montréal comme receveur.

L’authenticité de la propriété de Gary Carter est prouvée par le numéro de série de la voiture qui correspond à ceux qui sont sur tous les documents d’achats officiels de la voiture, tel que vous pouvez le constater sur les photos affichées dans l’annonce sur le site.

Occasion unique pour acquérir une belle voiture antique et une pièce importante de l’histoire du défunt Gary Carter et des Expos de Montréal. La voiture a une valeur historique importante.

Le Journal de Montréal a publié un article à propos de la voiture de celui qui portait le surnom de Kid par les fans de baseball.

 

Hydrogène

Comment fonctionne un moteur à hydrogène?

En ce moment, les moteurs à hydrogène pour les voitures représentent une révolution dans le secteur automobile, offrant une alternative novatrice aux moteurs à combustion interne traditionnels et à la lenteur de recharge des véhicules électriques tels que Tesla.

Au cœur de cette technologie se trouve la pile à combustible, une source d’énergie propre et efficiente qui utilise l’hydrogène comme vecteur énergétique. Dans cette exploration approfondie, nous examinerons en détail le fonctionnement de ces moteurs, les avantages qu’ils offrent, les défis qu’ils doivent surmonter et leur rôle potentiel dans l’avenir de la mobilité durable.

La technologie de la pile à combustible

La pile à combustible est le pilier central des moteurs à hydrogène pour les voitures. Il s’agit d’un dispositif électrochimique qui génère de l’électricité à partir de la réaction entre l’hydrogène et l’oxygène. Cette réaction a lieu dans une cellule électrochimique contenant une membrane échangeuse de protons (MEP) et des catalyseurs. Lorsque l’hydrogène est introduit du côté de l’anode et l’oxygène de l’air du côté de la cathode, une réaction électrochimique se produit, libérant des électrons et des protons.

Stockage de l’hydrogène

Le processus commence par le stockage de l’hydrogène à bord du véhicule. En raison de sa nature hautement inflammable, l’hydrogène est stocké dans des réservoirs haute pression spécialement conçus pour assurer la sécurité. Ces réservoirs doivent répondre à des normes strictes pour éviter les fuites et garantir un stockage sûr du gaz.

Distribution de l’hydrogène vers la pile à combustible

Une fois stocké, l’hydrogène est acheminé vers la pile à combustible à l’aide de systèmes de gestion sophistiqués. Ces systèmes régulent le débit d’hydrogène en fonction des besoins du moteur, assurant une distribution optimale du gaz vers la pile à combustible.

Processus dans la pile à combustible

La pile à combustible est composée de plusieurs cellules, chacune contenant une MEP. Lorsque l’hydrogène atteint la cellule, il est séparé en protons et électrons par la réaction électrochimique. Les protons traversent la MEP, tandis que les électrons suivent un circuit externe, créant ainsi un courant électrique. Cette électricité alimente ensuite le moteur électrique du véhicule, générant le mouvement nécessaire pour propulser la voiture.

Production d’électricité et propulsion du véhicule

Les électrons circulant dans le circuit externe génèrent de l’électricité, qui est utilisée pour alimenter le moteur électrique de la voiture. Ce moteur transforme ensuite l’électricité en mouvement mécanique, permettant au véhicule de se déplacer. Cette phase est comparable à la manière dont les moteurs électriques fonctionnent dans les voitures électriques traditionnelles, mais avec l’avantage supplémentaire d’utiliser l’hydrogène comme source d’énergie.

Réaction chimique et émissions

À la fin du processus, les protons et les électrons se rejoignent du côté de la cathode, réagissant avec l’oxygène de l’air pour former de l’eau (H2O) et de la chaleur. Cette réaction chimique est extrêmement propre, ne produisant que de l’eau comme sous-produit, ce qui en fait une solution respectueuse de l’environnement. Contrairement aux moteurs à combustion interne, il n’y a pas d’émissions nocives telles que le dioxyde de carbone (CO2) ou les oxydes d’azote (NOx).

Efficacité énergétique

Un avantage majeur des moteurs à hydrogène réside dans leur efficacité énergétique élevée. Contrairement aux moteurs à combustion interne, qui subissent des pertes significatives dans la conversion d’énergie mécanique en électricité, les piles à combustible offrent une utilisation plus directe de l’hydrogène pour générer de l’électricité, améliorant ainsi l’efficacité globale du système.

Avantages de la propulsion à hydrogène

Les moteurs à hydrogène présentent plusieurs avantages qui en font une option attrayante pour l’avenir de la mobilité :

Réduction des émissions : En produisant uniquement de l’eau comme sous-produit, les véhicules à hydrogène contribuent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Autonomie : Les véhicules à hydrogène peuvent offrir une autonomie comparable à celle des véhicules conventionnels à essence, ce qui en fait une solution viable pour les trajets longue distance.

Recharge rapide : Le temps de remplissage des réservoirs d’hydrogène est généralement plus court que la recharge des batteries électriques, offrant une commodité accrue pour les utilisateurs et aidera probablement à l’adaptation de ce type de propulsion pour les véhicules munis de cette technologie.

Défis à relever

Malgré les avantages, la propulsion à pile à combustible doit surmonter plusieurs défis pour atteindre une adoption généralisée de ce type de propulsion pour une voiture :

Coût de production : Les piles à combustible restent coûteuses à produire, ce qui impacte le coût global des véhicules à hydrogène. Des efforts sont nécessaires pour réduire les coûts de fabrication et rendre cette technologie plus accessible.

Infrastructure de ravitaillement : L’absence d’une infrastructure étendue pour le ravitaillement en hydrogène constitue un obstacle majeur. Le développement de stations de ravitaillement est essentiel pour encourager l’adoption de cette technologie.

Production d’hydrogène vert : La production d’hydrogène à partir de sources renouvelables (appelé hydrogène vert) est cruciale pour atténuer les préoccupations liées à la durabilité et réduire la dépendance aux sources d’hydrogène grises produites à partir de gaz naturel. Le Québec a la capacité de produire cette énergie verte vu que la majeure partie de sa production d’électricité est par des sources renouvelables.

Le rôle potentiel dans l’avenir de la mobilité durable

Malgré les défis, la propulsion à hydrogène offre un potentiel significatif dans la transition vers une mobilité plus propre et plus durable. Les avancées technologiques, les investissements dans la recherche et le développement, ainsi que l’engagement croissant en faveur du développement durable contribuent à surmonter ces obstacles.

En conclusion

Vous aurez donc compris que les moteurs à hydrogène pour les voitures, basés sur la technologie de la pile à combustible, représentent une alternative prometteuse aux sources d’énergie traditionnelles. Leur disposition à réduire les émissions, à offrir une autonomie considérable et à permettre des temps de recharge rapides en font une option viable pour l’avenir de la mobilité. Cependant, des efforts continus sont nécessaires pour surmonter les défis existants, tels que le coût de production élevé et le manque d’infrastructures de ravitaillement. En persévérant dans la recherche et l’innovation, cette technologie pourrait jouer un rôle essentiel dans la transition vers une mobilité plus respectueuse de l’environnement et contribuer à la construction d’un avenir plus durable.

GM abandonne Apple CarPlay et Android Auto au profit de son ultifi.

GM abandonne Apple CarPlay et Android Auto pour votre sécurité

Plus tôt en 2021, GM avait annoncé vouloir abandonner les plateformes Apple CarPlay et Android Auto dans ses futures modèles électriques à partir de ces modèles 2024.

Cela débuterait avec le 2024 Chevy Blazer EV qui n’aurait pas l’accès Apple CarPlay ni Android Auto, mais plutôt un nouveau système d’infodivertissement natif de Google.

GM affirme que les gens n’arrêteront pas de regarder leur téléphone et souhaite minimiser ce danger à l’intérieur de ses voitures.

Les programmes Apple CarPlay et Android Auto, plateforme de mise en miroir de téléphones, sont extrêmement populaires auprès des acheteurs de voitures neuves et d’occasion, ce qui rendait l’annonce de GM difficile à comprendre.

Arrêtez d’utiliser votre téléphone en conduisant

Tim Babbitt, responsable des produits d’infodivertissement de GM, lors d’une récente entrevue à Motortrend, a donné les vraies explications de l’abandon de Google Auto et Apple Carplay lors d’un événement de presse sur la nouvelle Chevrolet. Blazer EV, le véhicule phare de la stratégie sans Apple CarPlay ni Android Auto de General Motors.

Selon lui, le facteur important est la sécurité. Plus précisément, il a cité la distraction du conducteur causée par l’utilisation du téléphone portable au volant.

Selon Babbitt, Apple CarPlay et Android Auto ont des problèmes de stabilité qui se manifestent par de mauvaises connexions, un mauvais rendu, des réponses lentes et des connexions interrompues. Et lorsque Apple CarPlay et Android Auto rencontrent des problèmes, les conducteurs reprennent leur téléphone, détournant les yeux de la route et allant totalement à l’encontre de l’objectif de ces programmes de mise en miroir de leur téléphone.

La thèse de Babbitt est que si les conducteurs faisaient tout via les systèmes intégrés du véhicule, ils seraient moins susceptibles de décrocher leur téléphone et donc moins distraits et plus en sécurité au volant. Il admet cependant que GM n’a pas encore testé cette thèse en laboratoire ou dans le monde réel, mais il pense qu’elle a du potentiel, si les clients l’acceptent.

Comment ça fonctionne?

À cette fin, Le projet « Ultifi » Le logiciel d’infodivertissement comprend une suite d’applications Google entièrement intégrées telles que Maps et l’Assistant Google, ainsi que des applications populaires telles que Spotify et Audible. L’installation de Google Maps directement dans la voiture élimine une source majeure de colère des clients et une motivation majeure pour l’utilisation de CarPlay et d’Android Auto en premier lieu en supprimant les systèmes de navigation internes médiocres et en les remplaçant par un programme que tout le monde connaît et préfère.

Le véritable pilier de cette stratégie est toutefois l’Assistant Google. Les commandes vocales dans les voitures ne sont pas nouvelles, mais elles sont depuis longtemps encore pires que les systèmes de navigation des constructeurs automobiles. Un assistant numérique qui fonctionne réellement et a un accès complet aux systèmes du véhicule est cependant un outil potentiellement puissant. Non seulement il peut gérer les appels et envoyer des SMS via n’importe quel téléphone couplé Bluetooth, mais il peut également contrôler l’audio, la navigation, la climatisation et bien plus encore pendant que le conducteur garde les mains sur le volant et les yeux sur la route. Bien que les capacités d’Apple CarPlay et d’Android Auto et l’accès aux données embarquées se soient développés au fil des ans, ils n’y ont toujours pas accès, à la plupart de ces systèmes.

Ne pouvez-vous pas simplement brancher le téléphone ?

Les problèmes cités par Babbitt avec Apple CarPlay et Android Auto semblent être principalement liés à l’utilisation de ces programmes sans fil, et même s’il dit que c’est vrai, le simple fait de brancher le téléphone sur un port de données USB ne suffit pas à résoudre tous les problèmes. Babbitt affirme que même lorsqu’ils utilisent une connexion physique, les téléphones Android sont sujets à des problèmes de compatibilité entre le véhicule et tous les différents fabricants de téléphones exécutant Android. Les appareils iPhone, quant à eux, souffrent de problèmes de compatibilité ascendante qui empêchent les anciens modèles d’iPhone d’exécuter CarPlay de manière cohérente.

Il souligne les données de J.D. Power qui montrent que les problèmes avec Apple CarPlay et Android Auto sont des plaintes courantes des propriétaires et que les clients ont tendance à blâmer le constructeur automobile plutôt que le fabricant du téléphone ou le logiciel du téléphone. De cette façon, l’élimination d’Apple CarPlay et d’Android Auto soulage potentiellement GM d’une plainte clé de la part d’un client qui fait baisser ses scores de qualité perçus.

C’est aussi une question d’argent et de données

Bien que le raisonnement de Babbitt soit solide, cette stratégie ne se limite pas au simple altruisme. Les constructeurs automobiles du monde entier se disputent depuis des années avec Apple et Google sur l’accès, le contrôle et la propriété des données générées dans le véhicule. Quel que soit le logiciel utilisé par le conducteur, d’énormes quantités de données sont collectées sur sa manière de conduire, où il va, les applications qu’il utilise en conduisant, et bien plus encore. Ces données sont précieuses pour les constructeurs automobiles et les entreprises technologiques, à la fois pour la recherche client et pour être anonymisées, emballées et vendues à des tiers.

Ensuite, il y a les véritables moteurs des dépenses. Bien qu’elles ne soient pas encore populaires, il existe déjà des applications qui permettent aux propriétaires de dépenser de l’argent via le système d’infodivertissement d’un véhicule, par exemple lors de l’achat d’essence ou de nourriture chez certains détaillants et restaurants. En plus d’acheter potentiellement des produits auprès de GM ou de ses partenaires via le système d’infodivertissement de leur voiture, GM envisage également des services d’abonnement qui seraient gérés via la même interface. Edward Kummer, directeur numérique de GM, l’a dit à Reuters lorsque la décision d’abandonner Apple CarPlay et Android Auto a été annoncée. Les constructeurs automobiles considèrent les abonnements comme une nouvelle source de revenus considérable à exploiter, GM à lui seul espérant gagner jusqu’à 25 milliards de dollars par an rien qu’avec les abonnements d’ici 2030.

GM gère déjà le plus ancien service d’abonnement embarqué, OnStar, et a clairement annoncé son intention d’étendre son modèle d’abonnement à Super Cruise et Ultra Cruise à l’avenir. Les nouveaux systèmes d’infodivertissement sans Apple CarPlay et Android Auto qui équiperont le Blazer EV et les futurs véhicules électriques GM incluent huit années de données pour exécuter leurs programmes basés sur Google comme Maps et Assistant, mais après cela, les propriétaires devront payer pour une utilisation ultérieure des données.

Ce n’est pas seulement GM

Alors que GM subit beaucoup de critiques pour avoir évité Apple CarPlay et Android Auto, il convient de souligner que d’autres sociétés ont fait la même chose. La plus importante est Tesla, et qui a quand même réussi à devenir extrêmement populaire. Le constructeur automobile Rivian n’offre pas non plus l’un ou l’autre programme sur ses véhicules jusqu’à présent. Pourtant, c’est clairement un pari de la part de GM, et un peu un jeu de poule avec un large contingent de propriétaires de véhicules modernes et d’utilisateurs de smartphones. Nous devrons voir si la confiance de GM dans son propre système peut porter ses fruits sans ses propres défauts de connectivité et de fiabilité. En fin de compte, il vaut probablement la peine d’aller s’asseoir dans la voiture que vous souhaitez acheter et de jouer avec les boutons pour voir avec quoi vous pourriez réellement vivre.

Et la compatibilité iPhone dans tout ça?

Que les utilisateurs d’appareils iPhone d’Apple soient rassurés, le nouveau système d’infodivertissement de GM sera aussi compatible avec les iPhones.