Renault

F1: Le nom Renault devrait briller davantage comme motoriste en 2018

Pour ceux qui ne le savent pas encore , lors de la saison 2016 ça été le grand retour de Renault en F1 comme constructeur. Ça passé inaperçu pour plusieurs car l’an passée pour la majorité des fans de F1 québécois, tous les yeux étaient rivés sur Lance Stroll.

La performance de Renault durant les saisons 2016 et 2017 ont aussi passé inaperçu. 41 Grand Prix de disputés, aucune victoire, aucun podium… aucun meilleur tour. 9e constructeur au championnat en 2016, 6e en 2017.

La saison 2018 de Renault Sport Fomula One Team se fera encore avec les pilotes Nico Hückenberg (Allemagne) et Carlos Sainz Jr. (Espagne). Passablement les mêmes que l’an passée alors que Joylon Palmer (Angleterre) a quitté après le Grand Prix du Japon.

Rien ne s’annonce bien mieux sous le soleil pour la saison 2018 de Renault Sport Formula One Team.

Bien camouflé sous une tonnes de commanditaires, Renault flamboyait plutôt dans l’ombre pendant les dernières saisons sous l’écurie Red Bull qui devient en 2018 l’écurie Aston Martin – Red Bull mais toujours propulsé par un moteur Renault masqué au nom du commanditaire suisse TAG Heuer.

Renault devrait à nouveau flamboyer, avec mention cette saison, du côté de l’écurie McLaren puisqu’elle leur fournira le moteur, alors que McLaren a mis fin à son entente avec le motoriste japonais Honda. Des problèmes de moteurs à répétitions sont venus minés la collaboration des deux entreprises.

Ainsi Renault va doublement compétitionner sa propre écurie en fournissant son moteur à McLaren qui elle semblait posséder tout les éléments sauf un moteur fiable et bien sûr à Aston Martin – Red Bull.

McLaren est certaine que le problème qui l’empêche de redevenir compétitive est le moteur (on a pu le voir dans la mini série Grand Prix Driver produite par Michael Douglas). Alors elle espère accumuler des podiums avec le moteur Renault cette saison. McLaren a un historique de victoire en F1, elle se classe seconde parmi tous les constructeurs pour le nombre de victoires avec 182. Seule l’écurie Ferrari est devant eux.

Sauf que McLaren n’a pas goûté à la victoire d’un championnat de constructeur depuis 1998 et elle a connu un hiver difficile avec les essais. Malgré tout, toute l’équipe de McLaren est optimiste et toujours satisfaite de son choix de délaisser Honda au détriment de Renault. Si les résultats sont là, cela fera briller le nom Renault comme motoriste.

Ainsi cette saison, qui débute le 25 mars en Australie, il y a 10 écuries inscrites au championnat et les moteurs de ces 10 écuries sont fournis par Ferrari (3), Mercedes (3), Renault (3) et Honda (1). Avec l’américaine Liberty Media propriétaire du grand cirque de la F1 à quand le retour d’un motoriste américain en F1 ?

 

 

Tesla

Tesla et la recherche et développement

On entend souvent parler ces jours-ci de la santé financière de Tesla. L’est-elle ou non, on a fait leur diagnostic dans un article.

Cela a suscité beaucoup de commentaires et de réactions de la part de la meute de propriétaires de véhicules électriques et de fans de l’entreprise.

Plusieurs nous accusent de tous les torts, on a fait qu’éplucher leur rapports financiers.

Mais un point demeure et qu’on veut éclaircir.

Bon nombre de commentaires mentionnaient que Tesla ne fait pas de profits parce qu’elle investit massivement en recherche et développement (une dépense en termes financiers).

Que disent les chiffres à ce sujet?

Voici un petit tableau des dépenses de recherche & développement de Tesla des années 2010 à 2017.

Dépenses de Tesla Motors en R&D de 2010 à 2017

Dépenses de Tesla Motors en R&D

Ainsi de 2010 à 2017 Tesla Motors a dépensé en recherche et développement 3,36 milliards de dollars américains. Durant la même période Tesla a cumulé des déficits opérationnels de 4,9 milliards.

Donc il est faux de prétendre que Tesla ne fait pas de profits parce qu’elle a de lourdes charges en R&D. Elle fait davantage de déficits qu’elle ne dépense en recherche et développement.

Pendant ce temps chez Ford, uniquement pour l’année 2017. c’est 8 milliards qui a été dépensé en R&D. Bien sûr on ne sait pas quelles sommes ont été consacré au développement de véhicules électriques. Mais on sait que pour la même période, Ford a fait des profits de plus de 7 milliards.

De plus, revenons à Tesla, à partir de 2018, les rapports financiers de Tesla inclueront l’enteprise SpaceX qui développe entre autre des fusées. Ce qui viendra brouiller les cartes davantage du côté des finances de Tesla.

Les prochains trimestres sont financièrement cruciaux pour Tesla.

Devra-t-elle retourner à l’épargne publique, chercher un partenaire ou bien carrément disparaître?

La dernière option est peu plausible et personne ne la souhaite. La première est possible mais cela viendrait diluer l’actionnariat actuel. La seconde, serait étonnante puisque Tesla a déjà eu comme investisseurs et partenaires Toyota et Mercedes-Benz. Tout deux ont largné la société d’Elon Musk.

On en saura davantage lors du prochain dévoilement du rapport trimestriel de Tesla, c’est pour le 1er mai et l’assemblée annuelle des actionnaires de Tesla est prévue pour le 6 juin prochain. Mais entre temps, le 21 mars prochain, une assmblée extraordinaire des actionnaires de Tesla a été prévue le 21 mars prochain et de ce qu’on lit un peu partout ça pourrait brasser entre les actionnaires et Elon Musk.

Musk demande à cette assemblée que les actionnaires lui octroient 20,3 millions d’actions de Tesla, en 12 tranches, chacune représentant 1% de l’entreprise. au moment de la date d’approbation. L’octroiement de ces options est conditionnel à un paquet de paramètres de performance.

Ces paramèrtres de performance sont attachés à la capitalisation de Tesla, ses revenus et ses profits avant taxes. Le premier jalon est d’atteindre une capitalisation de 100 milliards et des revenus de 20 milliards et des profits avant taxes de 1,5 milliard.

Tesla est présentement très loin de cela.

Le jalon final est que Tesla soit l’une des plus grandes entreprises du monde avec une capitalisation de 650 milliards, des revenus de 175 milliards et des profits avant taxes de 14 milliards.

Les actionnaires pourraient s’opposer à lui donner une compensation financière aussi gigantesque via des options et ils pourraient aussi avoir de nombreuses questions à Musk quant à d’éventuels profits qui tardent à venir et mette en péril la santé financièr de l’entreprise californienne. Les actionnaires se questionneront aussi sur les délais de production qui ne cessent de s’accumuler chez Tesla.

 

Tesla est-elle en bonne santé financière?

Est-ce que Tesla est en bonne santé financière?

Depuis quelques années on entend le nom de Tesla par çi, Tesla par là… tout récemment dans les médias, certains se sont demandés si Tesla était en bonne santé financière? D’autres médias ont même fait état que Tesla était financièrement en faillite technique. (chronique du respectable Alain McKenna dans La Presse).

AutoCarbure a été au plus profond du sujet en regardant les vrais chiffres des rapporta financiers de Tesla.

On aurait pu prendre Volkswagen, Mercedes… mais c’est Tesla qui intéresse le monde ces jours-ci.

Alors allons-y!

Tesla vaut sur le marché 53,57 milliards de dollars américains, en date de vendredi le 16 mars 2018.

Au point de vu financier… on épluche leur dernier rapport trimestriel et on découvre ceci.

  • pertes de 675,3 millions de dollars américains sur des revenus de 3,3 milliards (toujours en dollars américains)
  • pertes cumulés de 4,9 milliards
  • dette de 10,3 milliards (croissance des dettes plus rapides que celle des revenus)
  • 3,3 milliards en liquidités
  • la valeur au livre de l’entreprise n’est que de 4,2 milliards. Autrement dit 1/14 de sa capitalisation boursière.

Est-ce que Tesla a les reins solides pour faire face à ses créanciers?

À court-terme aucun problème, les liquidités le permettront.

À moyen-terme le ciel s’annonce très nuageux.

À long-terme, tout est moins sûr. C’est un grand flou. Tesla cumule les déficits et aucun profits. Tesla risque d’avoir besoin de davantage de capitalisation pour pouvoir avoir la capacité de production des commandes qui entrent. On estime que c’est entre 20 et 30 milliards de nouvelle capitalisation que le groupe aura de besoin.

Où Tesla va-t-elle aller chercher ce financement? Via les marchés boursiers en diluant l’actionnariat actuel ou encore en l’empruntant? Tout est moins sûr.

Il est certain que la flamboyance de son pdg Elon Musk aide grandement les banquiers à passer de l’argent à Tesla. Sauf qu’actuellement chez Tesla quand on regarde les livres, on s’aperçoit rapidement que les dettes sont en plus fortes croissance que les revenus.

Puis les profits se font attendre. C’est ça que les actionnaires veulent, des profits.

Mais outre les profits, il n’y a pas que ça qui se fait attendre chez Tesla. La livraison des commandes aussi.

C’est toujours délais par dessus délais.

Nous croyons qu’à moyen terme, Tesla devra se trouver un partenaire capable de livrer la marchandise, sans quoi elle devra cesser d’exister vu qu’elle est dans l’incapacité de faire des profits.

Pour le moment Tesla est dans les bonnes grâces des propriétaires des ses voitures mais ceux qui ont passé leur commandes s’impatientes.

Aucune poursuite encore n’est tombée jusqu’ici chez le constructeur californier. Mais le tout pourrait changer si de nouveaux délais devait s’accumuler.

Quant aux actionnaires, ils sont patients mais l’action du groupe n’a offert aucun rendement depuis le 1er mai 2017. Si ce rendement nul devait s’éterniser, ça va grogner fort aux assemblées des actionnaires de Tesla.

Québec veut un tramway de 3,3milliards

Un projet de tramway de 6 600$ par habitant à Québec qui ne règle rien pour un 3e lien

Le maire de Québec entouré du premier ministre du Québec a fait l’annonce hier d’un projet de tramway dans sa ville pour un coût de 3,3 milliards. (tous les détails dans Le Devoir).

Ce qui revient à 6 600$ par habitant de la ville de Québec pour uniquement la construction du projet. Presque le même montant pour inciter les québécois à acheter des véhicules 100% électrique.

Chez AutoCarbure on se questionne sur la rentabilité de ce projet. Tout d’abord aucun investissement du privé, que de l’argent issu des poches des contribuables. Ça met rapidement la puce à l’oreille quant à la rentabilité prévu de ce projet. Généralement quand ça s’annonce rentable, le privé est rapidement dans les parages et on demande au gouvernement de se faire le plus petit possible, sauf quand on a besoin de lui pour des subventions. Là dans ce cas-ci, le privé est complètement écarté comme initiateur du projet.

De plus, et c’est là qu’on veut en venir, rien n’est réglé quand au 3e lien entre Québec et sa Rive-Sud. Ce projet de tramway ne va pas désengorgé le pont Pierre-Laporte ou le vieux pont de Québec. Ce projet de tramway ne va pas rendre plus accèssible l’accès à la propriété dans la grande ville de Québec.

Au courant des années, la Ville de Québec a vu bon nombres de personnes s’étaler en dehors de son centre et sur la Rive-Sud parce que l’accès à la propriété y était plus facile.

Résultat de cet étalement, les deux ponts qui relient la Rive-Sud de Québec à la ville de Québec ne suffisent plus.

Ce n’est donc pas d’un projet de tramway que les citoyens ont besoin mais d’un 3e lien. Peut-être les deux diront certains mais la priorité devrait être au 3e lien.

Regis Labeaume, maire de Québec, a déjà fait dépenser 400 millions aux contribuables pour un nouveau Colisée, toujours vide d’une équipe de hockey de la Ligue Nationale.

Là il en demande 8 fois plus pour un projet de tramway qui ne va rien régler quant aux gens de la Rive-Sud.

Que fera M. Labeaume si des entreprises décidaient dorénavant de s’implanter sur la Rive-Sud de Québec plutôt que dans sa ville parce qu’elle est devenue difficile d’accès sur les heures de pointe?

3,3 milliards, c’est un beau pont entre la Rive-Sud de Québec et par exemple, Beauport.

 

véhicules immatriculés

Province de Québec: il y a plus de véhicules immatriculés que d’humains

Chiffres assez surprenant sur lesquels AutoCarbure a mis la main récemment. Il y a, selon Statistique Canada, plus de véhicules immatriculés au Québec qu’il y a d’humains dans la province.

En effet, chiffre à l’appui, il y avait en 2016., 8 429 330 véhicules immatriculés au Québec pour une population totale de 8 321 888 habitants.

Comme le Québec aime bien se comparer avec l’Ontario, AutoCarbure l’a fait.

En Ontario il y a 11 948 296 véhicules immatriculés et une population de 13 976 300 habitants. Ainsi en Ontario il y a plus de monde que de véhicules.

Mais pas au Québec.

Statistiques assez surprenantes concernant le Québec. Est-ce que les québécois sont ainsi plus riches que les ontariens du fait qu’il psosède davantage de véhicules immatriculés?

À ce chapître on ne sait pas.

Mais ce que Statistique Canada dit c’est qu’au Québec il y a 5 186 844 véhicules pesants moins de 4 500 kg. L’Ontario en a 8 037 343.

Si on applique un calcul facile on peut déterminer combien il y a de véhicules de moins de 4 500 kg par habitant dans chacune des deux provinces. Au Québec cela donne 0,6155 véhicule par habitant. En Ontario c’est 0,5751.

Donc difficile de dire si les québécois sont plus riche mais chose certain avec le dernier calcul il est facile à conclure qu’au Québec il y a plus de voiture par famille qu’en Ontario. Ou sinon de conclure que les familles sont plus grosses en Ontario.

Cette statistique du plus grand nombre de véhicules immatriculés que d’humains est assez surprenante pour le Québec. Surtout dans une province qui maximise l’utilisation du transport en commun, qui a instauré une bourse du carbone et dont la fibre environnementale des élus à différents palier de gouvernement dans la province est très forte.

Est-ce que le québécois moyen tiens davantage à son char qu’un ontarien? Nous n’avons pas la réponse mais peut-être aussi que les québécois sont davantage collectionneurs de voitures que les ontariens.

rouler électrique pas si économique

Rouler électrique, pas aussi avantageux qu’Hydro le prétend

L’article Xtra de La Presse, commandité par Hydro-Québec, a comme titre « Rouler électrique : cinq avantages financiers ». Chez AutoCarbure nous trouvons que c’est un article dont le contenu est malicieux et où plusieurs informations sont manquantes.
 
Juste sur le prix, rien ne peut justifier l’achat d’un véhicule entièrement électrique au niveau de l’économie. Il sera toujours plus cher à l’achat que son équivalent à essence. Donc avec la différence de prix, vous pourrez rouler beaucoup de kilomètres avec votre véhicule à essence avant d’atteindre la différence du prix payé pour l’achat du véhicule électrique.
 
Prenons le cas de la Chevrolet Volt. Son prix de détail plancher est à 41 045$ (avant les taxes de ventes) moins la subvention de 8 000$ le prix de riens à 33 045$. Encore 9 000$ plus chère que la Chevrolet Malibu qui elle a son prix plancher à 24 245$.
 
Si on se fit à l’article 9 000$ c’est 90 000 km. Ajoutons les taxes… c’est donc 10 500$, soit 105 000 km.
Si vous financez votre achat, c’est 10 500$ de plus que vous devrez financer. On peut donc supposer 500$ de plus en intérêt, sur un financement de 60 mois.
 
Donc uniquement pour la différence de prix, votre achat ne sera pas économique avant 110 000 km.
 
Ensuite un facteur oublié. Celui du stress. Celui du stress de constamment regardé l’autonomie du véhicule. Puis en hiver… l’enfer. Ha bien sûr vous allez me dire… pas de stress la Volt se recharge avec une génératrice activé par un moteur à essence. Ha mais alors il faut ajouter ces coûts en essence.
 
Imaginez en été un trajet Montréal Rimouski avec votre véhicule électrique. Combien de fois devrez-vous recharger? À chaque recharge, aucun doute vous prendrez un café durant la recharge, ou quelque chose… il faut ajouter cela au prix. Et sans compter qu’une recharge est pas mal plus longue qu’un plein d’essence.
 
Finalement le facteur bornes… Le réseau québécois de bornes est jusqu’à maintenant très urbain ou si vous préférez très axe Québec – Montréal. En dehors de cet axe, les bornes se font rares.
 
L’article fait mention d’une subvention de 600$ pour faire installer une borne de recharge à votre domicile.
 
En moyenne il en coûte 1 500$ pour acquérir une borne de recharge. C’est un 900$ supplémentaire à débourser. Si vous déménager, c’est encore un 900$ supplémentaire que vous devrez débourser pour faire réinstaller votre borne.
 
Au final c’est donc à partir de 120 000 km que vous économiserez et vu l’argent que vous dépenserez durant le temps de recharge en voyage, nous croyons que c’est à partir de 140 000 km que vous économiserez, donc 7 ans.
 
Donc en clair, avant près de 7 ans, aucune économie par rapport à la différence de prix à l’achat du véhicule électrique vs un véhicule de même catégorie à moteur à essence.
 

Mais paraît-il que durant ce temps vous aurez contribué à sauver la planète en roulant électrique. Ça, rien n’est encore absolument prouvé scientifiquement de ce côté, Tout n’est que théorique.

 

De plus votre Malibu sera disponible en tout temps pour faire une course ou pour toute urgence. Alors que votre véhicule électrique s’il est en train de recharger… vous ne pourrez pas partir rapidement de chez vous.

Évidemment, Hydro-Québec prêche pour leur paroisse et veulent vous voir consommer davantage d’électricité. Mais rien ne garantie que dans l’avenir que le prix de l’électricité ne montera pas. Hydro-Québec demande des augmentations presqu’au 6 mois à la Régie de l’énergie depuis quelques années.
 

 Vous savez dans cet article on voulait démontrer que l’achat d’une véhicule à essence vs un véhicule de même catégorie mais électrique n’est pas aussi avantageux que Hydro-Québec le dit. Bien sûr vous trouverez des choses que vous penserez avantageuses en faveur du véhicule électrique. Mais ne perdez jamais de vue que l’équivalent en essence coûte moins cher à l’achat.

Dans cet article on a comparé la Malibu à la Volt. On aurait pu comparer la Cruze Hatch à la Bolt. La Bolt se vend le double du priz de la Cruze Hatch.On aurait pu aussi comparer la KIA Soul de base à la KIA Soul EV avrc une différence de près de 16 000$ dans le prix d’achat.

Surtout, ce qu’on voulait démontrer c’était que d’utiliser un véhicule électrique n’est pas aussi avantageux que Hydro-Québec le dit.

Nous ne sommes pas contre l’achat de véhicules électriques. Mais on vout met en garde que ce n’est pas aussi avantageux économiquement qu’Hydro le prétend.
GRAND PRIX driver, série originale de PRIME Video par Amazon

GRAND PRIX Driver en attendant la saison 2018 de Formule 1

Prive Video par Amazon propose une mini série originale, GRAND PRIX Driver, quatre épisodes.

Série sortie en février 2018, hautement bien filmée, qui vous plonge dans l’univers inédit de l’écurie McLaren avec ses pilotes l’Espagnol Fernando Alonso et le Belge Stoffel Vandoorne.

McLaren est l’une des écuries les plus recompensées du championnat de la Formule 1, mais elle peine à gagner depuis la saison 2012.

Cette série vous fait vivre toute la préparation de l’équipe jusqu’à la première course de la saison à Melbourne, Australie.

La série est offerte en Anglais avec sous-titres dans de nombreuses langues.

C’est la série idéale pour fans de Formule 1 en attendant le début de la saison 2018.

Bienvenue dans l’univers de McLaren.

Voici les sypnopsis des quatre épisodes de la mini série:

1. Du changement dans l’air
29 minutes
Stoffel Vandoorne, le nouveau pilote, s’apprête à entamer sa première saison de F1 chez McLaren-Honda avec le double champion du monde Fernando Alonso. Au programme : ajustement du siège, test de la voiture en simulateur et finitions du châssis. Confronté à de nombreux entretiens médiatiques, Stoffel découvre le prix à payer pour pénétrer ce milieu sélectif.

2. Construction difficile
26 minutes
Stoffel Vandoorne, Fernando Alonso et l’équipe McLaren-Honda continuent à préparer la saison 2017. L’entraînement éprouvant de Stoffel s’intensifie. Au Royaume-Uni, 700 ingénieurs, mécaniciens et designers construisent la nouvelle voiture. La dernière pièce arrive : le nouveau moteur Honda. Mais parviendra-t-il à démarrer ?

3. La Présentation
26 minutes
L’écurie McLaren-Honda prépare la présentation de la voiture. Le nouveau pilote Stoffel Vandoorne et le double champion du monde Fernando Alonso sont venus la dévoiler devant les médias du monde entier. Le design et les couleurs vont-ils plaire ? En coulisses, des soucis de constructions pèsent sur l’équipe, qui a des doutes sur les performances de la voiture à Barcelone.

4. De mal en pis…
27 minutes
Dans ce dernier épisode, le nouveau pilote Stoffel Vandoorne et le double champion du monde Fernando Alonso prennent le volant de la nouvelle McLaren pour la tester à Barcelone. À l’issue du test, neuf moteurs ont lâché. L’avenir de McLaren-Honda est compromis, et la direction doit prendre une décision difficile.

logo Playboy dont le site web fait l'hommage à la pensée Out of the Box avec un AMC Javelin

Playboy: un Prestone AMC Javelin AMX pour un hommage à la pensée Outside the Box

Comme la légende le prétend, le magazine américain Playboy est surtout lu pour ses articles. De nos jours c’est encore plus vrai alors que le magazine ne publie plus de modèle nue dans ses pages.

Quoi qu’il en soit, un article a attiré AutoCarbure sur le site web du magazine américain. Soit un hommage à la pensée Outside de Box. Le sujet de l’article était un 1972 Prestone AMC Javelin AMX modifié pour atteindre la capacité de 1000 chevaux.

 

 

Un halo transparent ou un pare-brise transparent comme si le conducteur conduisait une décapotable

F1: pourquoi pas un halo transparent?

Aux essais de F1 cette semaine en Espagne, tous les pilotes s’entendent pour dire que le halo de sécurité, obligatoire en 2018, est laid mais que ça va aller. AutoCarbure s’est demandé pourquoi ce halo n’est pas transparent.

Si vous vous demandez qu’est-ce que ce halo de sécurité, c’est simple c’est un genre de grand cercle qui protège la tête du pilote et qui descend en plein milieu de son champ de vision pour être rattaché à la coque de la voiture.

Ainsi, imaginez que vous conduisez votre voiture et que vous avez une belle bande d’environ 6 cm de large en plein centre de votre champ de vision.

Ce n’est pas l’idéal.

Mais AutoCarbure est perplexe. Des constructeurs automobiles comme Ferrari et Mercedes sont capables d’arriver avec une voiture aux technologies très avancées mais il semble qu’ils soient incapables de produire un halo transparent. Étrange!

Pourquoi que la partie reliant le cercle tout le tour de la tête du pilote, qui ne nuit pas à son champ de vision, à la coque de la voiture n’est pas tansparente?

Ça devrait pourtant être très simple à faire.

Idéalement, même l’ensemble des composantes de ce halo pourraient être transparentes.

Autre point et pour AutoCarbure c’est la connerie suprême. Pourquoi avoir attaché à la coque au halo exactement en plein milieu du champ de vision du pilote? Pourquoi pas de chaque côté?

AutoCarbure croit que la F1 devrait s’inspirer des top fuel de la NHRA et placé le pilote dans un cockpit fermé. Cela ne nuirait aucunement à l’aérodynamisme. De grands conducteurs de top fuel comme Antron Brown, Leah Pritchett ou Tony Schumacher utilisent des cockpits fermés. Et s’il ya des gens qui s’y connaissent en aérodynamisme ce sont bien les concepteurs de top fuel, ces bolides filant sur piste à plus de 500 km/h.

Finalement si la F1 ne veut pas de cockpit fermé, elle peut alors permettre d’avoir un cockpit ouvert mais qui aura un genre de pare-brise transparent à l’avant, comme si le pilote conduisait une voiture décapotable.

les vendredis Laval AutoSport

Saison 2018 s’annonçant décevante pour les vendredis Laval AutoSport

AutoCarbure.com annonce une saison déçevante pour 2018 concernant les vendredis Laval AutoSport.

Non le problème cette année avec les vendredis Laval Autosport ne sera pas la température, mais la chose la plus importante: le site.

C’est malheureusement le même site qu’en 2017 où auront lieu les vendredis Laval Autosport. Un changement de site qui a été néfaste pour ces rencontres annonçant des centaines de véhicules.

Malgré que le site Internet de Laval AutoSport annonce 250 à 300 voitures participantes à tous les vendredis… Malheureusement cela n’est plus vrai.

C’était vrai du temps que les vendredis Laval AutoSport avait lieu près du magasin JYSK au Quartier Laval à Laval et où il faisait bon d’aller manger une poutine ou un hot-dog au restaurant BellPro et d’aller s’acheter un café Starbucks tout juste avant de voir les nombreux véhicules sur place.

L’endroit retenu pour l’année 2017 est le Centre Laval, 1600 boulevard Le Corbusier, tout juste derrière le LaBaie où restaurant et Starbucks ne sont pas présents. Un endroit trop collé sur l’autoroute 15 et mal éclairé à comparer à l’ancien site. Quand on va sur ce nouveau site, on se sent squeezé, c’est mal éclairé et on a juste une idée en tête… faire le tour rapidement et partir.

Attention ce n’est pas notre souhaite que la saison 2018 soit décevante. Au contraire, on espère un succès.

Mais AutoCarbure.com s’est rendu sur le site à 6 reprises au courant de la saison dernière et chaque fois ça été déception sur déception. Au printemps il y avait trop de tas de neige et d’eau. L’éclairage est trop orangé ce qui ne permet pas la possibilité de prendre des photos le soir. Selon la direction du vent le bruit de l’autoroute 15 est dérangeant. À chaque occasion que nous y sommes allées, jamais nous avons compté plus de 125 véhicules sur le site. Ce qui est moins que la moitié annoncée sur le site de Laval AutoSport. Dans les années antérieurs, sur l’ancien site, il fallait que la température soit vraiment maussade pour qu’on y compte si peu de véhicules et certains soirs d’été nous avions compté près de 350 véhicules.

AutoCarbure.com n’est pas membre de Laval AutoSport mais elle espère que ses membres se feront entendre à l’assemblée générale 2018 prévue le 27 avril prochain à 19h30 au Centre Communautaire situé au 6200 boul. des Laurentides à Laval (secteur Auteuil).

Le succès des vendredis Laval AutoSport dépend totalement du site sélectionné et nous espérons un changement de site pour la tenue de ces événements,

Les vendredis Laval AutoSport sont super et c’est l’occasion de voir une panoplie de véhicules d’autrefois et plus récents au point de vue des Muscle Cars. Malheureusement selon nous ces vendredis sont en péril à cause du site sélectionné.

Cette année le premier vendredi Laval Autosport débute le 4 mai, si la température le permet. Le tout débute vers 17h pour se terminer autour de 22h.