La fausse location de véhicule des concessionnaires québécois

AutoCarbure en a un peu contre le terme « location de véhicule » affichées par les concessionnaires québécois. On vous explique pourquoi.

Quand on va chez Enterprise location d’autos ou encore un compétiteur, Avis, Budget, Discount, quand on loue la voiture, disons pour une semaine, c’est un prix fixe avec taxes. Sans plus. Si vous louez la voiture pour 1 mois, c’est la même chose. Qu’importe la durée de votre location avec eux, vous ne paierez pas l’entretien du véhicule. Aussi inclus dans le prix les coûts d’immatriculation du véhicule.

Si je vais chez un concessionnaire automobile québécois et qu’importe la marque sélectionée, pour me louer une voiture. Hé bien c’est un tout autre type de location. En fait, ce n’est pas une location proprement dit comme si vous louez un outil, un logement ou un véhicule dans une entreprise de location de véhicule.

Tout ce que vous saurez c’est que le véhicule ne vous appartient pas. Mais… encore pire, tout au long de la durée de la dite location, vous devrez payer pour l’entretien du véhicule. C’est là qu’on décoche.

Nous avons sélectionné à tout hasard Honda. Nous avons été sur leur site web pour voir le prix d’une location.

On a rien pris de bien luxueux, une 2018 Honda Civic Berline LX avec l’ensemble démarreur à distance. Là quelque chose est bien comique, la garantie du véhicule est de 3 ans et 60 000 km et la durée de location est de 60 mois. Donc pendant deux ans le véhicule qui nous appartient pas ne sera pas sous garantie. Encore plus drôle… on nous finance la location à un taux de 1,99%.

Non vraiment il faut changer le terme location car cela en est pas un. Ce n’est pas une location proprement dite. Faudrait plutôt choisir le terme « option d’achat » mais vraiment pas une location.

Finalement après notre configuration on arrive à un paiement hebdomadaire de 63,45$. Mais attention…. avant le financement de la location. Honda nous l’indique de façon très petits caractères.

Il faut donc ajouter 6,22$ au prix de la location hebdomadaire ce qui fait 69,67$.

Est-ce que ça inclus les taxes de ventes? Aucune façon de le savoir via le site de Honda Canada.

On s’est donc tourné vers un compétiteur nippon, Toyota pour un véhicule similaire, la Toyota Corolla.

Chez Toyota via leur site web quand on sélectionne « configuration et prix » c’est on ne peut plus clair. Ceci s’affiche:

La TPS et la TVQ ainsi que les droits sur les pneus ne sont pas inclus automatiquement dans la prix affiché du véhicule.

On continue.

Fait amusant chez Toyota on semble appliquer un vieux dicton d’Henry Ford de choisir la couleur que vous désirez en autant que ce soit noir. Lorsqu’on sélectionne le modèle 2018 Toyota Corolla CE CVT. Il semble qu’il y est qu’une seule couleur de disponible, « Blanc Alpin ».

Après avoir configuré la 2018 Toyota Corolla CE CVT on devine avec ce qui est affiché que chez Honda le montant incluait les taxes. Chez Toyota on a la possibilité de voir le prix avant les taxes et celui les incluant.

Comme le prix incluant les taxes se rapproche de celui de Honda, on en a tiré la conclusion que chez Honda ça devait inclure les taxes.

AutoCarbure recommande à l’Office de Protection du Consommateur (OPC) de revoir l’appelation de « location » qu’utilise les concessionnaires.

Car au sens du vrai mot « location » cela en est pas une.

Imaginez si vous louez un logement et que vous deviez assumer tous les frais de réparation de celui-ci en cas de bris de tuyauterie, d’une fenête, un problème électrique ou encore de porte. Ça n’a pas de sens.

S’ils ne veulent pas changer leur terme « location » on rêve du jour où des concessionnaires offriront une vraie location et qu’ils assumeront tous les frais d’entretien du véhicule.

 

 

Max "Worsthappen" Verstappen qui vient d'entrer en collision avec Sebastian Vettel

F1: Max Worsthappen frappe encore

Au Grand Prix de Chine à Shanghai, Max Verstappen, qu’AutoCarbure surnomme maintenant Worsthappen, a encore frappé.

Son agressivité et sa témérité ont encore pris le dessus dans sa tête pour causer d’autres dommages à ses adversaires.

Cette fois-ci sa victime est Sebastian Vettel de chez Ferrari avec qui il est entré en collision au 44e tour et ce sans équivoque.

Nous pensons chez AutoCarbure que Max Verstappen doit être sanctionné par la FIA. Une suspension, rien de moins. Une sanction qui le fera réfléchir. Les pilotes de F1 sont en danger quand Verstappen est sur la piste. Nous pensons que les pilotes de F1 devraient tenir une réunion et donner un sévère avertissement à Verstappen.

Verstappen s’est vu imposer une pénalité de 10 secondes pour avoir causer délibérement une collision. 10 secondes ajoutées à son temps final.

Mais une telle pénalité est une vraie farce pour la F1 et ses fans.  Cette pénalité de 10 secondes a coûté à Verstappen qu’une place mais n’a aidé en rien sa victime Sebastian Vettel qui au final aura terminé 8… loin derrière Verstappen.

La pénalité imposée à Verstappen aurait dû être rien de moins qu’un drapeau noir (disqualification) ou du moins un passage obligatoire par les puits et l’imposition d’un décompte de 10 secondes.

Au final Daniel Ricciardo sur Red Bull aura remporté ce Grand Prix devant Valterri Bottas et Kimi Raikkonen. Lewis Hamilton termine 4e et Max Worsthappen termine 5e.

Quant au québécois Lance Stroll, parti en 18e position, il a connu un excellent départ gagnant 6 places après le premier tour au final il termine en 14e place.

Cet incident de Worsthappen relance le championnat des conducteurs. Sebastian Vettel est toujours en tête avec 54 points mais Lewis Hamilton n’est plus qu’à neuf points de lui.

En entrevue à la fin du Grand Prix, Sebastian Vettel a mentioné que Verstappen a passé le cap de mettre un tel incident sur la faute de son inexpérience en F1.

Tesla Model X de Tesla

Une piste de solution pour les déboires financiers de Tesla

On l’a tous lu récemment en ce qui concerne Tesla, l’entreprise a une croissance des dettes plus rapides que son chiffres d’affaires depuis quelques trimestres. Elle a même vu la semaine dernière les agences de crédits décoter sa dette. Dorénavant pour emprunter Tesla devra donc payer davantage d’intérets.

Tesla produit de bons véhicules et qui sont très appréciés de ses propriétaires. Lorsqu’ils recoivent leur véhicule la plupart des propriétaires deviennent membre d’un club Tesla et vante les mérites de la marque. Ils sont de réels ambassadeurs pour la marque. Ce qui fait que Tesla est ainsi victime de son succès. Elle aurait cumulé des commandes sur plus de 500 000 unités de sa Tesla Model 3 depuis mars 2016…. mais elle en aurait livré que 11 418 jusqu’ici (selon Bloomberg). Donc elle a cumulé jusqu’ici un retard de production de 488 000 unités. Certains disent mêment qu’à chaque mois ils se commandent davantage de Model 3 chez Tesla que l’entreprise californienne peut en livrer.

Tesla vit donc sans aucun doute sur les dépôts reçus des propriétaires qui commandent les dits véhicules et ensuite sur le paiement de ceux-ci à la livraison. Ce n’est pas pyramidal comme procédé mais on s’en rapproche drôlement quand on prend le temps de comprendre que l’entreprise ne dégage aucun profits et qu’elle vit sur les dépôts de ceux qui commandent mais peine à leur livrer ce qu’ils commandent.

Pour se sortir de ce bourbier financier, il y aurait une piste de solution pour Tesla afin d’obtenir davantage de liquidités. Comme ses clients sont de grands fans et défenseurs de la marque, ainsi lors du dépôt requis à la réservation d’un modèle de Tesla, l’entreprise pourrait proposer au client l’achat de nouvelles actions de l’entreprise. Si par exemple chaque personne ayant réservé une Tesla Model 3 aurait avancé 2 000$ supplémentaires pour acquérir des actions de l’entreprise, c’est 1 milliard de dollars additionnels qui se retrouveraient dans les coffres de Tesla. Compte tenu de l’amour des propriétaires de Tesla pour la marque, il va sans dire qu’ils conserveraient les actions de l’entreprise et ne les liquideraient pas dès la réception de leur modèle ou au moindre soubresaut en bourse.

Imaginez maintenant si ses futurs propriétaires de Tesla achetait pour 4 000$ en actions de Tesla lors de la réservation d’un modèle, c’est 2,5 milliards de dollars additionnels qui se seraient retrouvés dans les coffres de Tesla. Imaginez si d’éventuels clients corporatifs qui ont commandé des remorques électriques à Tesla achetaient eux aussi de nouvelles actions lors de la réservation de leurs véhicules. UPS, Pepsi, Coke, Fedex pour ne nommer que celles-là.

Tesla figure parmi les entreprises les plus appréciés dans le monde parmi les consommateurs. Les gens aiment leurs innovations et bien sûr leurs produits qui sont peu polluants à l’utilisation et ils adorent Elon Musk.  « In Musk we Trust » qu’on peut lire un peu partout. En fait Tesla est tellement apprécié que leurs fans courent ces événements autant que les fans courent les événements d’Apple.

De vendre des actions directement aux propriétaires ou futurs propriétaires de voitures Tesla pourrait être belle une solution aux déboires financiers de Tesla.  Actuellement 59% de l’actionnariat (source NASDAQ.com) de Tesla est institutionnel. C’est donc dire que 41% des actionnaires sont des individus. En comparaison, Microsoft est détenu à 74% par des institutions tandis que 69% des institutions représentent l’actionnariat de Google. Chez les constructeurs automobiles américains, Ford, une entreprise familiale, possède un actionnariat institutionnel à raison de 57% tandis que chez GM c’est 73%.

Maintenant est-ce que le brillant Elon Musk, pdg de Tesla a pensé à cette solution? Peut-être! Il faut dire qu’un tel exercice diluerait l’actionnariat actuel de Tesla. D’un autre côté, de vendre des actions à des amants de la marque peut très bien empêcher d’augmenter la volatilité de l’action. Aucun doute que les amants de la marque vont conserver leurs actions comme un jeune conserverait les cartes de hockey de Connor McDavid ou de Jack Eichel.

Finalement, est-ce qu’une telle solution peut être viable pour Tesla? Oui à condition que les propriétaires de Tesla aiment la marque au point de sortir quelques milliers de dollars supplémentaires de leur compte et décident d’acheter de nouvelles actions de l’entreprise californienne. Tesla pourrait même pousser le tout et émettre des actions spéciales pour les propriétaires de Tesla. Par exemple, cela pourrait être des actions de catégories O (pour Owner)  à raison de, par exemple, trois de droits de votes par actions ou encore rattaché d’un dividende d’un montant X lorsque l’entreprise fera des profits.

The Grand Tour

Série The Grand Tour sur Prime Video

En rafale nous avons écouté les deux saisons disponibles de la série The Grand Tour sur Prime Video d’Amazon.

Jeremy Clarkson (présentateur et journaliste britannique spécialisé dans l’automobile), James May (présentateur de la BBC, journaliste et écrivain) et Richard Hammond (animateur de télévision et de radio britannique), trois anciens collaborateur de la série Top Gear, vous amènent ailleurs avec The Grand Tour, une cette série sur l’automobile. Des critiques sur des supercars, des essais colorées et surtout beaucoup d’aventures de par le monde.

Une série d’émissions très bien filmée et disponbles en format 4K. La série est également traduite en Français.

Le public cible de la série The Grand Tour est l’amateur automobile mais l’humour est aussi au rendez-vous! Rares sont ceux qui n’apprécieront pas une telle série.

Nous avons beaucoup aimé. Deux exceptions, la section « Celibrity Brain Crash » trop prévisible de la première saison. Et remplacée en longueur dans la seconde saison. Mais exception de cela c’est une grande série d’émissions sur le monde automobile.

Durant la saison 1 la tente des trois animateurs parcourent le monde. Durant la saison 2, celle-ci est établie en permanence en Angletere. Il était plaisant de voir en rafale la préparation de la tente épisode après épisode, Amazon a probablement coupé dans les coûts de production au niveau du voyagement de la tente afin de certainement maximimer les aventures de par le monde.

The Grand Tour, à voir et revoir! La 3e saison est attendue tard à l’automne 2018 mais aucune date n’est encore annoncée.

En voici un aperçu:

 

 

Tesla - remboursements demandés

Rien ne vas plus en bourse pour Tesla

Après avoir été le fabricant automobile américain pesant le plus cher en bourse, voilà que depuis 15 jours rien ne va plus chez Tesla.

Les investisseurs continuent de larguer le titre en bourse. Celui-ci est passé de $357,42 le 26 février à $257,48 ce 28 mars. 18 Tesla ne pèse plus que 43,5 milliards en bourse, elle en qui en pesait 61 milliards en février.

Une seule chose évidente peut expliquer ce largage de la part des actionnaires. Le titre de Tesla n’a rien rapporté en un an en bourse.

Mais attention si ce rendement continue d’être nulle, voire négatif, de gros investisseurs pourraient alors larguer leurs actions. Ce qui pourrait entraîner une chute encore plus abrupte pour l’action de Tesla.

Comme Tesla a une lourde dette qui croit plus rapidement que ses revenus, il y a aucun doute qu’à moyen terme elle devra emprunter. Il sera alors difficile de se tourner vers le marché et émettre de nouvelles actions si celles-ci tombe comme des roches dans l’eau claire.

Pour ne rien aider à la cause des actions de Tesla qui chutent en bourse, en fin d’après-midi mercredi, Moody’s a lourdement sanctionné Tesla en abaissant sa carte de crédit de B3 à CAA1.  Ce qui fera en sorte qu’il sera difficile pour l’entreprise californienne d’emprunter à de bons taux d’intérêt. En ce sens, une prochaoine décote de Moody’s pourrait être fatale à Tesla dont les liquidités pourraient manquer dès le mois d’août prochain.

En plus, à long terme ce qui pourrait peser davantage sur l’action de Tesla et qui est actuellement une épée de Damoclès au-dessus de l’entreprise, c’est la compétition. Celle-ci est de plus en plus féroce.

Il ne se passe pas deux semaines sans qu’un nouveau modèle de véhicule hybride, 100% électrique ou à hydrogène soit annoncé dans les médias. Chaque nouveau véhicule annoncé représente un nouveau compétiteur pour les véhicules de Tesla.

Tout cette pression n’aide en rien Tesla qui peine à faire des profits. L’entreprise californienne a perdu 1,9 milliards l’an dernier et espère toujours afficher des profits.

De plus une mauvaise posture financière pourrait éloigner des acheteurs potentiels de véhicules de la marque Tesla et se tourner vers la compétition.

Par exemple, est-ce que le dépôt demandé par Tesla pour commander un modèle via son site Internet est garanntie dans le cas où l’entreprise se met à l’abri de ses créanciers (chapter 11)?

Le Retour (The Return)

Le retour, documentaire sur Prime Video

Le Retour (The Return), documentaire disponible sur Prime Video d’Amazon.

Durée: 78 minutes.

Année de sortie: 2017 (juin)

Langue: Anglais

C’est un documentaire sur le retour de Ford, en 2016, au 24 heures du Mans 50 ans après avoir tout raflé en 1966 occupant toutes les marches du podium.

Nous avons trouvé que c’était un excellent documentaire qui couvre tout sur ce retour de Ford aux 24 heures du Mans. De la conception de la nouvelle Ford GT, à l’embauche de Chip Ganassi pour son support en course et la progression des voitures jusqu’aux 24 heures du Mans.

Voyez un aperçu:

taxi

Québec viens d’accorder une aide de 32 000$ pour chaque permis de taxi

Sans tambour et surtout sans trompette, le gouvernement du Québec viens d’accorder une aide de 32 000$ pour chaque détenteur d’un permis de taxi,

250 000 000$ au total. Vu le nombre de permis de taxi en vigueur cela équivaut à une aide de 32 000$.

C’est passé en douce dans le budget du gouvernement qui a été dévoilé hier à l’Assemblée Nationale du Québec.

Pire encore, le gouvernement est en train d’étudier à savoir si 250 millions seront suffisants.

Cette première tranche de 250 M$ proviendra du Fonds des réseaux de transport terrestre, financé principalement par la taxe d’accise sur l’essence et les droits d’immatriculation des automobilistes québécois. Le projet-pilote d’Uber (oui c’est toujours un projet pilote) finance également le Fonds, à hauteur d’environ 10 M$ annuellement.

L’industrie du taxi réclamait 1 milliards, elle aura 250 millions.

Il a été établit qu’en 2014, la valeur moyenne d’un permis de taxi au Québec était d’environ 200 000 $. Depuis l’arrivée d’Uber, celle-ci est passée à 118 375 $ sur l’île de Montréal et à 144 333 $ dans la ville de Québec. Oui plus cher à Québec car c’est ministériel, n’oubliez pas!

Le gouvernement du Québec avait déjà octroyé 44 millions à l’industrie du taxi afin de se moderniser.

Ce gouvernement aime aider des industries sur le déclin. Dans le même budget il est prévu une compensation afin d’aider les médias (lire ici les journaux) à prendre le virage numérique.

2018 Toyota Prius V groupe technologie

2018 Toyota Prius v avec Groupe Technologie à 992$ par mois

La mode de mise en marché sur les véhicules ces dernières années est l’environnement et le plus petit paiement possible en jouant sur les termes et la période de celui-ci.

AutoCarbure a voulu savoir ce qu’il en était vraiment du paiement d’un véhicule hybride acheté à un standard de jadis, c’est à dire payé en 48 mois, 4 ans.

Nous nous sommes donc rendus sur le site Internet de Toyota Canada.

Nous avons regardé le modèle 2018 Toyota Prius v avec en option le Groupe Technologie. Quelques options ont été ajoutées tels que les tapis proctecteurs toutes saisons, la doublure de compartiement de charge ainsi que le déflecteur de capot. À cela il faut ajouter les taxes de ventes.

On invente rien, le prix de la mensualité pour un terme de 48 mois monte à 992,19$. Bien sûr le tout avant la subvemtion versée par le gouvernement du Québec. Celle-ci s’élève à… 0$… Selon le site Internet du gouvernement ce modèle 2018 n’entre pas dans les critères pour une subvention.

Le prix total demandé par Toyota est de 43 951,45$.Le tout financé à 3,99% par année.

Maintenant, que pouvons-nous obtenir à 43 951,45$ si on ne tombe pas dans l’électrique ou l’hybride chez Toyota et comparable à la Prius en termes de grandeur et de confort?

On s’est donc tourné vers la 2018 Toyota Corolla IM CVT, donc avec transmission automatique, toujour sur le site Internet de Toyota Canada. Le prix total avec des options similaires choisies avec la Prius, le tout taxes incluses: 29 030,27$. Pour des mensualités de 604,80$ toujours pour un termes de 48 mois et financé à 0%. C’est tout de même une différence mensuelle de 383$.

Alors que préférez-vous? Payez davantage maintenant pour la Prius ou avoir 14 900$ dans vos poches pour payer de l’essence en optant pour la Corolla IM. Avec autant d’argent vous pourrez rouler avec 11 000 litres d’essence avec la Corolla. La Prius pour le même prix, vous n’avez encore rien débourser pour rouler.

11 000 litres d’essence c’est assez pour parcourir 145 000 kilomètres avec votre 2018 Toyota Corolla IM CVT.

De plus, il vous est possible de diminué la mensualité de votre Corolla IM à 489,89$ en choisissant un terme de 60 au taux de financement fort avantageux et plus avantageux que la Prius, à 0,49%.

Prix total de la configuration de la 2018 Toyota Prius

2018 Toyota Prius V groupe technologie

Prix total de la configuration de la 2018 Toyota Corolla IM Cvt

2018 Toyota Corolla IM cvt

Même configuration avec un terme de 60 mois.

2018 Toyota Corolla IM CVT terme de 60 mois

On a fait le même exercice d’étirer le terme avec la 2018 Toyota Prius mais le taux de financement augmentait à 4,49% pour 60 mois et à 4,79% pour 72 mois, 6,34% pour un terme de 84 mois.

Nous comprenons parfaitement chez AutoCarbure que les deux véhicules comparés n’ont pas la même empreinte écologique à l’utilisation mais il semble que le souci d’écologie a un fort prix à payer dans ce cas-ci.

 

Le halo de sécurité imposé est comme un masque à long nez. Ça bouche une vue.

F1: le halo de sécurité est tout sauf beau

En 2018, la FIA impose aux écuries de F1 le halo de sécurité pour la protection accru du pilote.

Ce halo est en fait esthétiquement tout sauf beau.

On pourrait le comparer à un masque de fer que les anciens combattants utilisait pour se protéger le nez. On pourrait aussi le comparer à un masque d’Halloween avec un long nez. Ça vous bouche une vue.

Pour le téléspectateur ce halo n’est pas très plaisant car durant un tour avec caméra à bord, la vue montrée est pas mal moins intéressante que par les années passées.

Décidemment on se demande pourquoi ce halo n’est pas transparent ou mieux encore, qu’il disparaisse pour être remplacé par une vitre protectrice qui offrirait tout autant de sécurité mais bien sûr davantage de résistances aérodynamiques.

 

Renault

F1: Le nom Renault devrait briller davantage comme motoriste en 2018

Pour ceux qui ne le savent pas encore , lors de la saison 2016 ça été le grand retour de Renault en F1 comme constructeur. Ça passé inaperçu pour plusieurs car l’an passée pour la majorité des fans de F1 québécois, tous les yeux étaient rivés sur Lance Stroll.

La performance de Renault durant les saisons 2016 et 2017 ont aussi passé inaperçu. 41 Grand Prix de disputés, aucune victoire, aucun podium… aucun meilleur tour. 9e constructeur au championnat en 2016, 6e en 2017.

La saison 2018 de Renault Sport Fomula One Team se fera encore avec les pilotes Nico Hückenberg (Allemagne) et Carlos Sainz Jr. (Espagne). Passablement les mêmes que l’an passée alors que Joylon Palmer (Angleterre) a quitté après le Grand Prix du Japon.

Rien ne s’annonce bien mieux sous le soleil pour la saison 2018 de Renault Sport Formula One Team.

Bien camouflé sous une tonnes de commanditaires, Renault flamboyait plutôt dans l’ombre pendant les dernières saisons sous l’écurie Red Bull qui devient en 2018 l’écurie Aston Martin – Red Bull mais toujours propulsé par un moteur Renault masqué au nom du commanditaire suisse TAG Heuer.

Renault devrait à nouveau flamboyer, avec mention cette saison, du côté de l’écurie McLaren puisqu’elle leur fournira le moteur, alors que McLaren a mis fin à son entente avec le motoriste japonais Honda. Des problèmes de moteurs à répétitions sont venus minés la collaboration des deux entreprises.

Ainsi Renault va doublement compétitionner sa propre écurie en fournissant son moteur à McLaren qui elle semblait posséder tout les éléments sauf un moteur fiable et bien sûr à Aston Martin – Red Bull.

McLaren est certaine que le problème qui l’empêche de redevenir compétitive est le moteur (on a pu le voir dans la mini série Grand Prix Driver produite par Michael Douglas). Alors elle espère accumuler des podiums avec le moteur Renault cette saison. McLaren a un historique de victoire en F1, elle se classe seconde parmi tous les constructeurs pour le nombre de victoires avec 182. Seule l’écurie Ferrari est devant eux.

Sauf que McLaren n’a pas goûté à la victoire d’un championnat de constructeur depuis 1998 et elle a connu un hiver difficile avec les essais. Malgré tout, toute l’équipe de McLaren est optimiste et toujours satisfaite de son choix de délaisser Honda au détriment de Renault. Si les résultats sont là, cela fera briller le nom Renault comme motoriste.

Ainsi cette saison, qui débute le 25 mars en Australie, il y a 10 écuries inscrites au championnat et les moteurs de ces 10 écuries sont fournis par Ferrari (3), Mercedes (3), Renault (3) et Honda (1). Avec l’américaine Liberty Media propriétaire du grand cirque de la F1 à quand le retour d’un motoriste américain en F1 ?