La voie de gauche doit être utilisée pour dépasser uniquement

Au Québec, sur l’autoroute, la voie de gauche, c’est fait pour dépasser

Ça vous est déjà arrivé de vous promenez sur l’autoroute 10, l’autoroute 13, l’autoroute 15, l’auroroute 20, l’autoroute 30, l’autoroute 40 , l’autoroute  440 ou une autre autoroute au Québec et que des gens dans la voie de droite roulent plus vite que ceux dans la voie de gauche où que ça roule que 75 km/h dans la voie de droite mais que vous ne pouvez pas dépasser dans la voie de gauche car ça ne roule pas beaucoup plus vite?

Certainement!

Sur les autoroutes du Québec, il est trop fréquent de devoir ralentir en raison d’automobilistes qui utilisent la voie de gauche à vitesse moindre et qu’ils n’ont aucun dépassement à effectuer. Nous avons aussi observé le même comportement chez des conducteurs de véhicules récréatifs ou de conducteurs de camions tirant une énorme roulotte.

Ils se tiennent là, même si aucune voiture n’est à leur droite.

Malheureusement, un tel comportement, c’est un problème qui causent de la congestion et qui cause aussi des ralentissements majeurs.

Nous croyons chez AutoCarbure.com que le principal corps de police de la province devrait y voir. En 2015, nous avions déjà identifié le problème des automobilistes fautifs dans la voie de gauche sur les autoroutes du Québec. Quatre ans plus tar, le tout est encore pire.

Pour deux raisons. La première pour assurer une certaine fluidité sur les autoroutes du Québec. La seconde, pour pemettre aux automobilistes d’optimiser leur consommation d’essence plutôt que de l’augmenter jusqu’à 30% en freinant souvent sur les autoroutes à cause des ralentissements de conducteurs délinquants qui se tiennent inutilement dans la voie de gauche.

Ailleurs au Canada, la police a frappé. En Colombie-Britannique en 2015 une nouvelle loi a fait passer à 167$ et trois points d’inaptitude la sanction infligée aux automobilistes circulant trop lentement dans la voie de gauche.

En Ontario, on voit plusieurs panneaux le long des autoroutes qui indiquent clairement en noir sur blanc que la voie de gauche doit être utilisé seulement pour effectuer un dépassement. « Keep right except to pass ».

Et au Québec, rien de tout ça?

Effectivement il n’y a pas de panneaux qui indiquent que la voie de gauche doit être utilisée uniquement pour dépasser. Mais, il y a une législation pour les fautifs dans la voie de gauche, mais elle est très peu appliquée, malheureusement!

Ainsi, selon l’article 324 du Code de la sécurité routière québécois, rédigé par la SAAQ, il est stipulé que « sur une chaussée à deux voies de circulation à sens unique, le conducteur d’un véhicule routier doit utiliser la voie d’extrême droite ». Il est aussi mentionné que  « sur une chaussée à trois voies ou plus de circulation à sens unique, il doit utiliser l’une des voies de droite ».

Le même article explique ensuite que « pour dépasser un véhicule, pour effectuer un virage à gauche, pour utiliser une voie de sortie d’un chemin à accès limité ou lorsque la voie qu’il utilise est obstruée ou fermée à la circulation, [l’automobiliste] peut emprunter la voie d’extrême gauche ».

Donc, si vous n’avez pas à dépasser, à tourner ou à éviter un obstacle, vous n’avez pas d’affaires dans la voie de gauche.

Il y a aussi l’article 325, du même Code de la sécurité routière qui indique que « le conducteur d’un véhicule routier qui circule à une vitesse inférieure à celle de l’allure de la circulation ou d’un véhicule à basse vitesse doit conduire sur la voie d’extrême droite, à moins qu’il s’apprête à tourner à gauche, à stationner ou à effectuer un arrêt sur le côté gauche et qu’il en ait signalé son intention ».

Noter que ces deux articles du Code de la sécurité routière ne s’appliquent qu’aux chaussées à plusieurs voies de circulation à sens unique dont la limite de vitesse permise est supérieure à 80 km/h.

Les mêmes articles vont même jusqu’à indiquer combien il en coûte si un conducteur est fautif. Le montant de l’amende peut osciller entre 60$ et 120$.

Qu’attendent les forces de l’ordre pour appliquer ces règles du Code de la sécurité routière du Québec?

C’est bien beau faire des lois, mais il faut aussi les appliquer et s’assurer que le message est compris de la part de tout le monde.

Souvenez-vous les années passées les campagnes de la SAAQ sur le « mover over » afin de ne pas nuire aux véhicules d’urgence arrêtés sur une autoroute.

Pourquoi pas autant d’efforts pour vanter l’utilisation de la voie de gauche sur les autoroutes?

 

tracé proposé du Réseau élecrtrique métropolitain (REM)

Réseau électrique métropolitain: un projet prématuré selon AutoCarbure

On apprenait hier que le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) trouvait le projet de réseau électrique métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et de placement du Québec un projet prématuré.

AutoCarbure est du même avis mais pour des raisons distinctes.

Le BAPE estime-donc qu’il serait prématuré d’autoriser la réalisation du projet REM en raison du manque d’information disponible sur le plan financier et environnemental, et sur l’achalandage potentiel de ce réseau de transports collectifs de 5,5 milliards.

Sur ce point AutoCarbure est en accord. Comment l’achalandage de ce réseau pourrait être viable alors que la tendance depuis quelques années pour les entreprises est d’établir leur siège social sur la Rive-Sud de Montréal ou sur la Rive-Nord à Laval ou Terrebonne, la ville avec la plus forte croissance au Québec.

Le tracé du REM proposé par la filiale de la Caisse, CDPQ Infra, permettrait de relier le centre-ville de la métropole à la Rive-Sud, à la banlieue nord, à l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau à Dorval et à l’ouest de l’île de Montréal. Malheureusement il ne relie presque pas Laval, la troisième ville en importance au Québec.

Certes l’aéroport de Montréal est mal désservie. Mais peut-être que la CDPQ devrait justement tabler sur un nouvel aérport plutôt que sur un train. L’aéroport Pierre-Elliot Trudeau est situé sur l’île de Montréal est beaucoup de citoyens se plaignent du bruit.

Pourquoi pas construire un nouvel aéroport sur la Rive-Sud de Montréal? L’infrastructure routier est déjà en place et il y aurait simplement besoin d’ajouter un autre lien autoroutier entre les autoroutes 20 et 10, quelque part entre les autoroutes 30 et 55.

Pour des raisons de logistique, l’aéroport de Dorval pourrait être utilisée pour le freight comme c’est le cas de Mirabel en ce moment. Mirable pourrait éventuellement être remis à l’agriculture après décontamination des lieux. Ainsi cela désengorgerait les autoroutes 13 et 15 du flots de camions lourds qui transigent de l’aéroport de Mirabel vers plusieurs endroits sur l’île de Montréal.

Le développement actuel sur la Rive-Sud de Montréal ne peut pas être renversé. C’est une tendance qui est ancrée et qui ne cessera de croître. Pourquoi? Il y a de la place sur la Rive-Sud de Montréal. Brossard est appellé à croître davantage de même que les autres villes comme Longueuil, Sainte-Julie, Boucherville, Varennes et même jusqu’à Saint-Hyacinthe.

Le gouvernement du Québec doit aller avec cette tendance. Montréal sera toujours Montréal, cela ne changera pas. Mais le gouvernement doit se plier à un fait accompli. Montréal n’est pas une ville que l’on peut développer comme une ville moderne… il n’y a plus de place.

Il ne faut pas se leurrer non plus, le projet REM ne coûtera pas 5,5 milliards mais probablement le double voire le triple. À Montréal dès que vous creusez, c’est une boître à surprise. Regardez juste les projets du nouveau CHUM et de l’équivalent anglophone. Des projets qui ont dépassé les coûts et il est clair que le projet de REM dépassera les coûts.

Au niveau du financement, le gouvernement n’a pas les moyens, et tout il se sert de façon maladroite de la CDPQ pour arriver à ses fins politiques. La CDPQ c’est le bas de laine des québécois. Aucun politicien ne devrait toucher à cela.

Si le gouvernement n’a pas les moyens de ses ambitions, c’est qu’il doit mieux gérer les zillions de dollars que les québécois et le gouvernement fédéral lui envoient chaque année.

Dans un volumineux rapport de 323 pages, le BAPE a estimé que le promoteur du REM a manqué à ses obligations de transparence  en tardant à rendre publiques des données sur l’achalandage des trois antennes du train projeté qui desserviraient la banlieue nord, l’ouest de l’île de Montréal et l’aéroport international Trudeau, à Dorval.

C’est un projet voué à l’échec ou qui deviendra le projet de trains le plus coûteux de la planète, frisant les 20 milliards.

AutoCarbure n’entrera pas dans les détails et les règles de construction au Québec. Mais quand on regarde ce qui se fait en Corée du Sud et en Chine, on a le droit de se questionner sur les méthods de construction au Québec qui disons-le, sont devenues obsolètes et non compétitives. Ce qui se bâtit en Chine en 3 mois en prend dix fois le temps ici. Ce n’est pas normal.

Le BAPE reproche aussi à CDPQ Infra de n’avoir pas évalué les répercussions de son projet sur les sociétés de transport existantes, qui seront forcées d’adapter leurs activités en fonction de l’exploitation du réeseau électrique métropolitain. AutoCarbure ajoute aussi que la CDPQ n’a pas non plus réalisé les impacts de VIa Rail dans le projet.

Le Canada est le plus grand pays du monde où le train de passagers demeure le plus mal exploité.

Pourquoi tout à coup le Québec aurait cette expertise?

Regardez les américains? Le train y est presqu’absent. Pourquoi? Pourtant ils sont 310 millions. Parce qu’ils ont su développer un bon réseau routier, solide et efficace et ils ont des tarifs aériens qui favorisent les déplacements dans leurs pays.

Le Québec, et le Canada, doit développer des aéroports efficaces et des réseaux routiers efficaces. Le réseau électrique métropolitain de la CDPQ est un projet bâclé qui doit mourir. On espère tous que la CDPQ a de meilleurs idées pour le bas de laise des québécois.

Et si jamais on voulait donner le contrat des trains du réseau électrique américain à Bombardier, bien il faudrait regarder ce qu’ils ont fait récemment à Toronto et à Montréal avec les trains Azur…

Montréal, le Québec et le Canada doivent s’ouvrir sur le monde et aller chercher des idées, des nouvelles façons de faire et surtout s’adapter.

Dans un contexte où le Québec est l’État le plus règlementé et le plus syndiqué en Amérique du Nord, l’efficacité à beaucoup de place à croître.

Le Réseau électrique métropolitain, proposé par la Caisse de dépôt et placement du Québec, est un projet de train électrifié de 5,5 milliards qui s’étendrait sur 67 kilomètres et qui comptera 24 stations dans sa phase initiale.

Tout à coup on dirait que la CDPQ s’est dit, tiens le métro de Montréal est vétuste on va en bâtir un nouveau avec le réseau électrique métropolitain.

Nous sommes en 2017 et le métro de Montréal exige encore d’avoir un opérateur à bord de chaque rame. Alors qu’à Vancouver, ville du même pays que Montréal, le tout s’opère sans opérateur à bord depuis près de 30 ans.

Dès sa présentation, en avril 2016, le projet de réseau électrique métropolitain a été salué comme le plus ambitieux projet de transport en commun au Québec depuis l’inauguration du métro, il y a 50 ans. Mais tournons-nous vers le monde et regardons ce qui se fait de mieux ailleurs avant d’accoucher d’une souris de 20 milliards.

Peut-être que de juste avoir une portion du métro de Montréal avec des trains à voies extérieures ou surélevées comme à Boston, Chicago ou New York est une meilleure solution pour le développement simultanée des rives Sud et Nord de la métropole qui se meurent qu’est Montréal.

Non seulement le projet de réseau électrique métropolitain de la CDPQ est un projet prématuré mais surtout très questionnable dans sa forme et dans ses objectifs.

 

Devrais-je m’abonner à la radio satellite pour mon véhicule?

La belle saison sera à nos portes dans quelques mois, certains ont déjà débuté le magasinage de leur véhicule neuf ou encore débuter à faire des recherches pour bien planifier leurs vacances de l’été 2016.

Quoi de mieux que de se promener sur la route avec de la bonne musique sortant des hauts-parleurs de votre véhicule? Certains considèrent l’achat d’un abonnement à la radio satellite pour leur véhicule.

Pourquoi pas?

Mais attention, connaissez-vous bien la radio satellite?

Au Canada, c’est SiriusXM qui offre des abonnements à la radio satellite. En quelques sortes un abonnement peut vous faire profiter de multiples chaînes de musique sans pauses publicitaires.

La radio satellite en soit est d’avoir toujours le même signal radio qu’importe où vous allez en Amérique du Nord et le signal sera clair. En fait ce n’est pas toujours vrai. Si par exemple vous êtes pris dans un bouchon sur le boulevard Décarie un mardi matin,il se peut qu’à l’occasion vous perdiez le signal. Bien sûr le signal satelitte ne traverse pas le béton des viaducs et des tunnels ou encore il peut s’avérer plus faible si vous êtes dans un petit véhicule entouré de camions remorques.

Mais ce sont là de rares exceptions quant à la faiblesse du signal.

Il faut comprendre aussi que la plupart des chaînes de musiques de la radio satelitte sont exempts de publicités mais pas d’interruption par le placotage de l’animateur, un désagrément tout de même à considérer.

Noter bien qu’on parle de chaînes musicales sans commerciaux, si vous optez pour l’écoute d’une chaîne télévisé mais à la radio satelitte comme CNN, CNBC, vous aurez des commerciaux.

Qu’importe vos goûts musicaux, la radio satellite a une chaîne pour vous. Si vous êtes un amateur de sports, il y a tout plein de talk radio sur le sport et aussi des chaînes qui retransmettre la radio description de matchs (basketball, football, baseball, hockey) et en direct.

Pour ceux qui tiennent mordicus à se tenir au courant de l’actualité sur la route, la radio satelitte offre des chaînes radio de nouvelles en continue tels que CNN, Fox News et autres.

Pour ceux qui tiennent à suivre l’évolution des marchés boursiers nord-américains tandis qu’ils conduisent, la chaîne CNBC offre même l’affichage de quelques cotations boursières sur l’afficheur de votre radio satelitte. Ainsi vous pourrez suivre le cours du Dow Jones ou d’une action importante ce jour là sur les marchés.

Au niveau de l’équipement, si vous avez une voiture récente, il y a fort à partier que l’option XM Satellite est déjà inclus dans votre radio d’auto mais que l’abonnement n’est pas activé.

Mais désirez-vous avoir la radio satellite que dans un seul véhicule ou encore aussi à la maison sur votre chaîne audio ou encore aussi sur votre ordinateur via Internet?

Là ça prend un équipement qui peut s’adapter à votre chaîne maison ou votre radio auto. Sirius XM offre cela. C’est l’option préférée de plusieurs amateurs de camping, qui peuvent ainsi profiter de la radio satellite à la maison tout autant que dans leur VR.

L’abonnement est offert à partir de 9,99$ par mois pour différents forfaits. Pour le renouvellement ne vous inquiétez pas, SiriusXM veulent vous gardez et vous offrirons toutes sortes de forfaits annuels et même sur deux ans, pour vous gardez via divers promotions.

Que vous soyez un fan de Pearl Jam, de Elvis, ou de musique des années 2000, la radio satellite est très plaisante à écouter en conduisant, que vous alliez au dépanneur du coin, ou faire le tour de la Gaspésie ou vous rendre à Myrtle Beach à partir de Québec.

Pour en savoir plus sur la radio satellite, consulter le site Internet de SiriusXM.

H Grégoire Nissan s’établira au complexe Val-des-Brises de Laval

À l’automne 2014, le revendeur de véhicules usagés H Grégoire acquérait la concession Auto Gouverneur Nissan de Vimont (Laval) et devenait ainsi le propriétaire unique de toutes les concessions du constructeur nippon sur le territoire de l’île Jésus.

H Grégoire possède donc H Grégoire Nissan Chomedey, H Grégoire Nissan Saint-Eustache et aussi H Grégoire Nissan Vimont.

En allant près du complexe Val-des-Brises de Laval, dans l’Est au coin des autoroutes 19 et 440, on peut voir sur le boulevard Robert-Bourassa une pancarte indiquant « Bientôt H Grégoire Nissan ».

C’est la concession de Vimont qui y déménagera en 2016 nous a confirmé la coordonnatrice aux communications et médias sociaux de Hssion de H Grégoire.

Le complexe de magasins Val-des-Brises est en grande évolution depuis l’implantation du Walmart Supercentre il y a quelques années.  Par la suite de nombreux magasins ont poussé, pour former une disposition commerciale comme le Marché Central à Montréal ou à plus petite échelle que le complexe Dix-30 de Brossard.

S’est aussi rajouté à proximité du complexe, en 2015, de nombreux projets de condominiums et tout récemment une épicerie Adonis y a ouvert ses portes.

L’achalandage est donc au rendez-vous à cet endroit et l’idée d’y établir une concession automobile n’est peut-être que la suite des choses.

Les concessionnaires H Grégoire Nissan vend autant des véhicules neufs qu’usagés.

Est-ce que l’établissement de ce concessionaire à Val-des-Brises est le début d’un concept comme à Kanata, banlieue d’Ottawa, où on y retrouve sept concessionnaires automobiles regroupés dans un rond-point du nom de Autopark tout près de la 417 et du Canadian Tire Centre où évoluent les Sénateurs d’Ottawa?

 

Pourquoi les routes du Québec sont-elles aussi massacrées avec un prix de l’essence élevé alors qu’aux États-Unis c’est tout le contraire?

En se promenant récemment sur de magnifiques routes et autoroutes du New Hampshire, du Vermont et de l’État de New York, l’équipe d’AutoCarbure.com en est venue à poser la question suivante au Ministère des Transports du Québec:  Pourquoi le prix de l’essence est 60% moins cher aux États-Unis et que les routes y sont impéccables alors qu’au Québec l’essence est hors de prix et les routes massacrées?

On entend souvent parler que c’est une question de climat.

Bon il semble que dans la tête des personnes qui émettent ces commentaires que le froid ne passerait pas aux douanes de Lacolle à Stanstead. Pourtant non, le Vermont, le New Hampshire, le Maine et le Nord de l’État de New York ont exactement le même climat que le Québec à disons plus ou moins 2 degrés.

Donc s’il fait -25 à Magog, il fait -24 à Stanstead.  Ça gèle et dégèle autant que nous.  Le problème n’est donc pas là?

La logique veut donc qu’on se tourne vers le copinage, la règlementation et la corruption.

Mais ça on ne peut présumer de rien.

Par contre on sait qu’au Québec le lobby du transport est très puissant.  On sait que les camions roulent souvent surchargés sur nos routes et que ça fait des dégâts considérables.  Jamais ces camions rouleraient avec le même chargement sur les routes de la Nouvelle-Angleterre.  Là-bas ils ne badinent pas avec les délinquants.  Demandez à des camionneurs vous saurez.  Souvent la règlementation étouffe le contribuable mais il arrive que comme dans le cas du camionnage, que la règlementation ne soit pas assez lourde et qu’encore une fois ce soit le contribuable qui en fasse les frais.

Le copinage. Bien difficile de dire s’il est existant ou non comme observateurs mais c’est quand même drôle que ce soit souvent les mêmes entreprises qui ont les contrats d’asphaltage.

La corruption? Aucun preuve encore mais pour que si peu de règlementation s’applique et pour que ce soit toujours les mêmes entreprises d’asphaltage, on peut en douter.

Qu’ont les ingénieurs du Ministère des Transports à répondre à tout cela?

L’équipe d’AutoCarbure.com vous invite à prendre la route 25 qui va du Vermont au New Hampshire, vous verrez c’est quoi une belle route de campagne tout bien pavée et bien construite.

Parcourez 200km sur la I89 ou la I93 vous verrez c’est quoi de vraies autoroutes.  Elles sont magnifiques par rapport aux autoroutes du Québec.

Pourquoi quand il s’agit du Québec que trop souvent tout est médiocrement différent? Est-ce ça notre société distincte? Sommes-nous une société médiocrement distinct?  Les automobilistes du Québec payent fort le prix de cette distinction.

Si vous êtes tannés du piètre état des routes au Québec n’hésitez pas à écrire au Ministère des Transports du Québec, soyez en grand nombre pour réveiller ces gens là.  Faites-leur part de votre mécontentement.

 

 

Sur les autoroutes, la conduite dans la voie de gauche est un problème plus criant à combattre au Québec.

Récemment la Sûreté du Québec annonçait qu’elle allait pénaliser les conducteurs qui suivent de trop près. Effectivement c’est dangereux. et une bonne chose à pénaliser.  Mais l’équipe d’AutoCarbure.com juge qu’il y a un problème plus criant à combattre sur les autoroutes du Québec.

La conduite inutile dans la voie de gauche sur les autoroutes.

En Ontario ils ont réglé ce problème il y a longtemps. Si vous avez déjà pris la 401 vers Toronto ou la 417 vers Ottawa vous êtes au courant de la façon simple à laquelle les autorités ontariennes ont réglé ce problème.  Même dans les états américains limitrophes au Canada ils ont réglé le problème des lambineux dans la voie de gauche sur les autoroutes.

Identification du problème

Vous n’êtes pas sans savoir quel est le problème de cette conduite qui s’éternise dans la voie de gauche sur les autoroutes du Québec, que vous circuliez sur la 40, la 30, la 20 ou la 10 où c’est plus criant.  La même situation est observée sur la 132, la 116 et beaucoup de routes provinciales qui sont à quatre voies aux abords des grands centres urbains.  Ça cause des bouchons monstres.  Les gens roulent à gauche à une vitesse parfois inférieur à 100 km/h ou même inférieure à ceux qui circulent dans la voie de droite, ce qui rend totalement impossible tout dépassement.

Vous pouvez compter des dizaines de minutes de perte de temps à cause de ces situations facheuses où un ou des véhicules roulent dans la voie de gauche à une vitesse inférieure à celle du flot de trafic dans la voie de droite.

La solution simple

En Ontario et aux États-Unis ils ont réglé le problème tout simplement en plaçant des pancartes le long des autoroutes qui mentionnent «Slower traffic keep right» ou encore « Left lane for passing only». Traduction pour ceux qui leur Anglais est déficient, « Circulation lente gaerdez votre droite » et « Voie de gauche pour dépasser seulement ». Les State troopers américains et l’OPP ontarienne sont sans pitié si vous n’appliquez pas cela.

Pas de baladeurs du dimanche dans la voie de gauche, sinon on vous colle une contravention. Même chose si vous circulez dans la voie de gauche à une vitesse inférieure a flot du trafic dans la voie de droite.

Au Québec

On ignore ce que les autorités attendent pour mettre pareille mesure en place au Québec.  Déjà que les autoroutes 10, 20 et 40 ne fournissent pas au flot de trafic les week-ends, si la circulation ne peut s’effectuer dans une logique, bienalors  compter de 25 à 40% plus de temps pour vous rendrez à Québec, Drummondville ou Sherbrooke durant les jours de week-end à partir de Montréal et l’inverse est tout autant vrai.

De plus le fait de devoir freiner à plusieurs reprises à gauche qu’il vous est impossible de dépasser par la voie de gauche, augmente votre consommation d’essence donc du même coup la quatité de CO2 que votre véhicule relâche dans l’atmosphère de la belle province québécoise.  Ainsi, dans une province qui se dit très verte, il serait temps que le gouvernement y voit et applique des mesures simples et efficaces.

La méthode ontarienne et américaine est peu coûteuse à instaurer et très efficace.  Rendez-vous à Ottawa, Toronto, Boston, Portsmouth ou Albany et jamais votre circulation ne sera perturbée par des lambineux dans la voie de gauche.

Qu’attend le gouvernement du Québec pour rendre nos autoroutes plus efficaces?

Des haltes texto mais pourquoi le wi-fi?

Lorsque le ministre des Transports du Québec, Robert Poëti, a annoncé l’implantation de haltes texto au Québec, l’équipe d’AutoCarbure.com s’est réjouie.  Il y a des années que l’on observait aux États-Unis des zones pour texter le long des autoroutes.

Mais une question est apparue.  Pourquoi offrir le wi-fi gratuitement?

Les restaurants McDonald’s de tout le Québec offrent le wi-fi gratuitement, le gouvernement veut-il les compétitionner?  Beaucoup de leurs restaurants sont déjà  établis le long des autoroutes du Québec.

On se questionne sur la pertinence de dépenser encore en 2015 des deniers publics pour offrir un service que des entreprises privées offrent?

De plus, est-ce réellement la mission d’un gouvernement d’offrir des aires de détente avec wi-fi le long des autoroutes?

Bien sûr texter au volant c’est dangereux.  Mais est-ce que les gens vont texter moins s’ils savent qu’ils peuvent arrêter à un endroit pour le faire?

Probablement pas plus que maintenant car il y a déjà des endroits pour le faire.  Envoyer des textos est déjà inclus dans la plupart des forfaits cellulaires disponibles, pas besoin d’un borne wi-fi pour cela.  Les panneaux vont-ils faire patienter les gens jusqu’à la prochaine halte texto avant d’envoyer leur réponse?

Bien sûr que non!  Il y a déjà des panneaux indiquant des aires de repos.

Donc à part de dépenser des dizaines de milliers de dollars en panneau et en coûts Internet pour offrir la borne wi-fi, l’équipe d’AutoCarbure.com se questionne sur la pertinence d’une telle annonce.

Où est le gain pour les automobilistes payeurs de taxes dans tout cela?

Sur un autre ordre d’idées, taponner sur son GPS ou envoyer un texto, qu’est-ce qui est le plus dangereux au volant?

Montréal: le pont de la 25 et le prolongement de l’autoroute 30 ont-ils réglé le problème de congestion sur l’autoroute métropolitaine?

Lorsqu’il a lancé les travaux du pont de la 25 en partenariat public-privé (ppp), le gouvernement du Québec avait annoncé que ce projet une fois réalisé désengorgerait l’autoroute métropolitaine à Montréal, la portion entre les deux « 15 » sur les heures de pointes.  Ainsi pour se rendre à Laval à partir de la Rive-Sud de Montréal, selon le gouvernement, les remorques emprunteraient le pont de la 25 à partir du tunnel Louis-H. Lafontaine au lieu de l’autoroute 15 à partir de l’autoroute métropolitaine.

Même chose lorsqu’il ont lancé le projet de prolongement de l’autoroute 30, le gouvernement avait annoncé que cela désengorgerait l’autoroute métropolitaine Ouest.

Or, ces deux projets ont été réalisés, et ce, depuis bientôt deux ans.

Quelle est la situation actuelle sur l’autoroute métropolitaine à Montréal aux heures de pointes?

Jamais autant de camions ont été vus sur l’autoroute métropolitaine qui doit assumer des bouchons monstres et ce parfois même hors des heures de pointe.

Un cauchemar que les automobilistes se passeraient bien et ce même après plusieurs centaines de millions puiser à même leurs poches dans un but bien précis de régler un problème mais celui-ci persiste.

Maintenant, qu’a à offrit le Ministère du Transport du Québec comme solutions, autres que d’afficher sur les panneaux de la métropolitaine «Circulation fluide» alors que ça ne l’est pas?

 

 

Comme aux USA, des haltes textos sur les routes du Québec

Lors de sa récente annonce du bilan routier 2014, le ministre des Transports du Québec, Robert Poëti, a confirmé que les textos au volant représentent une des plus grandes problématiques en matière de sécurité routière.

Ainsi, le gouvernement du Québec souhaite équiper haltes routières pour qu’elles servent de refuge aux automobilistes qui ont un urgent besoin d’écrire un texto ou de lire leurs courriels.

Les québécois sont déjà familiers avec de telles haltes, les états de la Nouvelle-Angleterre en sont parsemés même le très libre New Hampshire.

Maintenant, est-ce que l’État a les moyens de ses ambitions afin de doter le réseau routier d’haltes textos et d’haltes courriels avec des Wi-Fi à haut débit?

Le ministre des Transports du Québec espère que le secteur privé, par exemple certains gestionnaires d’haltes routières, financeront l’achat et l’implantation de la technologie nécessaire.

Le ministre mentionne que selon lui ce n’est pas à l’État nécessairement de prendre en charge un tel service, service qu’il voudrait disponible au courant de la prochaine année.

 

Des travaux qui s’éternisent sous Métropolitaine

Ça fait des mois que ça dure et ça s’éternisent. Des travaux qui s’éternisent sous Métropolitaine à Montréal.

C’est le genre de travaux qu’en Corée ou en Chine sont effectués en dedans de deux à trois semaines, 24h sur 24.

Mais vous savez au Québec, en termes de travaux routiers tout s’éternise, sans aucune raison mais appelez le syndicat, ils vont vous trouver toutes sortes de raisons.

Dans tout ça au bout du compte, ce sont les citoyens qui endurent le bruit qui ne fini plus et les usagers de la route qui en souffre.

Qu’en a à foutre le syndicat?

Certaineemnt pas grand chose.

Alors voici un aperçu de l’évolution des travaux.  Si jamais vous voyez une once d’évolution, écrivez-nous à AutoCarbure.com

AutoCarbure.com a aussi constaté que ces gens là ont clôturé le chantier, ce qui est correct, mais sont réellement traîneux.

Des photos valent plusoieurs milliers de mots.

 

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