2015 Ford Transit Connect

Essai 2015 Ford Transit Connect

Le Ford Transit Connect est selon AutoCarbure.com le véhicule idéal pour la petite entreprise malgré son prix neuf à partir de 29 099$. En version usagé de 5 ans, vous pourrez trouver un Ford Transit Connect aux alentours de 12 000$ plus taxes, ajouter environ 2 000$ au prix par tranche d’année de moins d’usure. Ainsi un modèle 2014 se vendrait aux alentours de 18 500$ par rapport à un modèle 2011. Évidemment, pour le prix tout dépendra de l’usure du véhicule pour une année donnée.

Avec sa porte arrière et ses portes coulissantes sur les deux côtés, le Ford Transit Connect est très utile pour la livraison de marchandise, que ce soit des fleurs, des ordinateurs, des fruits et légumes, des cadres, des petits meubles ou encore des colis ou des épiceries.

Ce qui frappe quand on prend place à bord du Ford Transit Connect c’est la visibilité offerte au conducteur autant qu’au passager.

Le véhicule est équipé d’un moteur 4 cylindres de 2,5 litres déployant 169 chevaux et vu que c’est un véhicule de type fourgon, ce n’est pas très écomomique si on compare à une Honda Civic ou un Hyundai Elantra.

Mais il faut comparer les pommes avec les pommes et les poires avec les poires.

Selon Ford, la consommation en ville du véhicule est de 12,4 litres au 100 kilomètre et sur la route de 8,7 litres au 100 kilomètre pour une consommation combinée de 10,7 litres au 100 kilomètres.

La beauté du Ford Transit Connect est sa versalité et ses options de configuration. Vous pouvez l’obtenir avec des sièges arrières, ou sans. Avec des fenêtres sur le côté ou pas. Vous pouvez avoir un habitacle fermé de la zone de chargement ou complètement ouvert.

Pour le confort dans une Ford Transit Connect, c’est surprenant, très confortable. Évidemment la position du conducteur n’est pas celle d’un pickup. Elle est plutôt située entre une voiture et un pickup.

La suspension est très bonne, AutoCarbure.com l’a testé a chargement vide (sans aucun siège arrière) et chargée.

Évidemment la puissance n’est pas au rendez-vous côté motorisation. C’est bien, mais il faut se rappeler que nous sommes en présence d’un véhicule de type fourgon. Avec sa capacité de chargement de 1 270 livres, évidemment, plus le véhicule est chargé, plus il est lent à accélérer. Notre essai a été réalisée avec environ 450 livres de chargement à l’arrière.

Tant du côté passager que du côté conducteur, il y a de la place pour les jambes et la tête et les sièges sont confortables. L’habitacle est spacieux. Pas de problème non plus côté rangement. Même qu’il y a beaucoup de rangement. Au-dessus des pare-soleil, en pleine largeur de l’habitacle avant, vous pouvez ranger tout plein de chose, il y a un petit filet pour toute la largeur pour retenir les objets rangés.

Si vous optez pour la configuration où l’habitacle est séparé de la zone de chargement vous devrez adapter votre conduite. Avec un habitacle fermé de la zone de chargement, vous n’aurez pas de rétroviseur central vous permettant de voir immédiatement derrière le véhicule. C’est une adaptation à faire dans votre conduite. AutoCarbure.com recommande un habitacle ouvert ou semi-ouvert de la zone de chargement. Ainsi vous aurez votre rétroviseur central.

Le Ford Transit Connect est équipé d’une transmission automatique à 6 rapports et les changements de vitesse se font en douceur. Tout est en douceur sur se véhicule incluant le freinage avec les freins à disque aux quatre roues.

La finition intérieure du véhicule tant qu’extérieure est très bien.

L’ajustement des rétroviseurs est bien, et ces derniers sont équipés du petit carré intégré permettant de voir un plus grand angle. Ça aide à couvrir les angles morts.

L’habitacle du Ford Transit Connect offre une belle insonorisation, on entend très peu de bruits de l’extérieur.

L’aérodynamise du véhicule est bien et ses réactions aux vents latéraux sont très bonnes.

Le système de son nous a agréablement surpris, d’habitude dans les véhicules de type fourgon ça sonne pas très bien. Là franchement, Ford a fait un excellent travail.

Côté déception, Ford aurait pu doter le véhicule d’un plus grand réservoir d’essence. Sa capacié n’est que de 59 litres. Si vous faites beaucoup de livraison en zone urbaine, vous devrez faire le plein pratiquement aux trois jours. Pas très pratique non plus pour de longue distance. Il vous sera presqu’impossible de faire Montréal-Québec aller-retour sans faire le plein de carburant à moins que vous aimiez avoir une aiguille collé sur le E de l’indicateur du niveau d’essence pendant que vous êtes en plein trafic urbain.

L’équipe d’AutoCarbure.com attribue la note globale en 50 points au 2015 Ford Transit Connect de

78% ou 3.9 

 

Essai

Essai 2015 Honda Civic Si

Chez Honda, un véhicule fait la convoitise de plusieurs adeptes d’accélération.  La Honda Civic Si. Un véhicule avant taxes de toute sorte en vente au prix de 26 850$.

L’équipe d’AutoCarbure a eu la chance d’essayer le modèle berline de la 2015 Honda Civic Si.

« Pour ceux qui ont la passion de la conduite » dit le slogan chez Honda. Un peu surfait comme slogan.

Le véhicule est équipe d’un moteur i-VTEC de 2,4 litres, 4 cylindres et DACT offrant une puissance motrice de 205 chevaux et un couple de 174 lb-pi.  Sincèrement pour le couple, pas de quoi écrire à sa mère. Le 2015 Hyundai Veloster fait mieux à ce chapître avec un couple de 195 lb-pi et un moteur légèrement moins puissant de 4 chevaux et de seulement 1.6 litre. On s’attendrait à davantage de performance pour un moteur de 2.4 litres.

Pour le confort dans une 2015 Honda Civic Si on repassera. C’est fait sport, avec des sièges sport, une suspension sportive, on est confortable mais pas très confortable.

La suspension c’est quelque peu « tape cul» mais ça répond bien aux défauts de la chaussée.

Quand le véhicule accélère, on a l’impression que le devant nous tire et on ne sait pas trop si l’arrière va suivre. On a souvent l’impression que le moteur s’emballe au niveau sonore pour pas grand chose en retour de au niveau de la puissance. On aurait aussi aimé que l’option quatre roues motrices soit disponible sur la Civic Si, peut-être qu’ainsi on aurait pas l’impression que l’arrière ne suivrait pas.

Tant du côté passager que du côté conducteur, il y a de la place pour les jambes et la tête. C’est pas trop restreint comme habitacle. On ne peut pas en dire autant à l’arrière, où l’espace pour les jambes est assez pour des enfants, un peu serré pour des adultes. Il est difficile d’accéder aux sièges arrières.  À l’avant, quand on quitte le véhicule, c’est difficile de sortir. En comparaison, la Hyundai Veloster offre une sortie plus facile de l’habitacle avant.

Honda offre sa Civic Si munie que d’une transmission manuelle. C’est dommage. De nos jours la transmission manuelle n’a plus l’écart de performance qu’elle avait jadis sur les transmissions automatiques. On aurait aimé que le véhicule soit disponible avec la transmission automatique comme chez Hyundai et son Veloster.

Ainsi, sa transmission manuelle à 6 rapports semble insuffisante pour la puissance que le moteur devrait offrir. On semble arrivé trop rapidement au 6e rapport, à 95 km/h il n’y a plus de rapport, on aurait aimé un 7e et même un 8e rapport.

Les changements de vitesse s’effectue malgré tout en douceur, ça ne cogne pas trop, l’embrayage répond bien et n’est pas trop capricieux.

On a aimé le changement manuelle de vitesse en ville, ainsi on a meilleur contrôle sur la boîte à basse vitesse. Une transmission automatique aurait été préférable pour l’essai mais ça n’existe pas.

Côté rangement, c’est dans le standard tant dans l’habitacle que dans le coffre. La Honda Civic Si offre un coffre-arrière assez spacieux.

Point de vues cadrans mis à votre disposition dans le tableau de bord, l’indicateur de vitesse est à revoir, pour une voiture sport on aurait aimé un indicateur de vitesse à cadran et non numérique.  Les flèches de couleurs au-dessus du le tableau de bord sont quelque peu achalantes, surtout de soir.

La finition intérieure du véhicule tant qu’extérieure est bien. L’intérieur avec ses sièges sports est correct. Il faut aimer. On se questionne également sur l’utilité de l’aileron arrière sinon que c’est de la pure décoration.

La possibilité de désactivé les freins ABS serait aussi souhaitable pour avoir plus de plaisir.

L’ajustement des rétroviseurs est bien.  Sur la Honda Civic Si les ingénieurs ont incorporé la caméra  à l’écran pour les changements de voie à droite. Une aide que l’on juge inutile et qui heureusement se désactive.

L’habitacle offre une belle insonorisation mais les ingénieurs de Honda aurait pu faire mieux. Comme les modèles d’antan de la Civic, on entend beaucoup le bruit du moteur et le roulement aux pieds.

L’aérodynamise du véhicule est bien et ses réactions aux vents latéraux sont à améliorer.

Le système de son nous a quelque peu déçu. On s’attendait à mieux mais on est content de l’incorporation de la radio satellite.

Bonne consommation d’essence, sur la route, ce qui déçoit c’est l’obligation de mettre de l’essence super qui fait gonfler la facture de la consommation d’essence de 20%.

Le modèle essayé n’avait pas 4 000km au compteur et l’essai s’est déroulée de jour, de soir, sous la pluie, sous le soleil, un peu de neige, très tard à l’automne 2015.

On sait que Honda devrait présenter un tout autre Si pour 2016, AutoCarbure suivra le dossier.

L’équipe d’AutoCarbure.com attribue la note globale en 50 points à la 2015 Honda Civic Si de

74% ou 3.7

À moins que les quatre portes vous soient nécessaires, nous vous recommandons la Hyundai Veloster à la place de la Honda Civic Si que nous croyons être un véhicule destiné à l’individu qui peut être père de famille mais qui peut aussi facilement installé bébé dans son siège derrière.Voici le modèle essayé en quelques clichés et plus bas la publicité amusante du véhicule par le fabricant.

 

 

Essai 2016 Fiat 500X Sport

Comme dans la publicité, imaginez une Fiat 500 avec du Viagra… vous obtenez une Fiat 500X. Un modèle créer par le constructeur italien pour rivaliser avec la Cooper S.

Si vous avez déjà conduit une Fiat 500, la 2016 Fiat 500X c’est autre chose, en fait, quelques similitudes mais vous passez au niveau supérieur.  Plus de confort pour les sièges avants et une ceinture de sécurité ajustable sur la hauteur.  Pour derrière, il y a bien deux portes mais les places sont restreintes.  Pas assez d’espace pour les jambes si le conducteur et le passager de devant font plus de 5’11 ».

Fiat veut rivaliser avec la Cooper S pour ce modèle mais elle n’a pas mis suffisament de chevaux sous le capot.  180 chevaux vs 189 pour la Cooper S Clubman.

Son moteur 4 cylindres en ligne Tigershark MultiAir de 2.4 litres ne déploit pas assez de force.  Un moteur de 200 chevaux aurait été le bienvenue.  C’est le même moteur qui peut équiper la Dodge Dart et certains modèles de Jeep. Son livre-couple de 175 n’est pas assez puissant en comparaison au 207 livres-pied de couple chez la Cooper S Clubman.

Sa transmission automatique de 9 vitesses est agressive. Mais un peu trop en ville.  La boîte est constamment en train de changer les rapports à basse vitesse. Tellement qu’il n’est pas rare d’observer qu’à 38 km/h vous êtes déjà en 4e vitesse.  Le changement de vitesse entre la première et la seconde est loin de s’effectuer en douceur.

On a aimé le changement manuelle de vitesse en ville, ainsi on a meilleur contrôle sur la boîte à basse vitesse.

Côté rangement, la Fiat 500x est pas mal.  Un coffre-arrière assez spacieux mais ne rêvez pas, votre sac de golf et votre chariot suffiront, un second… il faudra abaisser les banquettes arrières. À l’avant il y a deux coffres à gant côté passager et des portes-gobelets un peu trop serrés entre les deux sièges avant.

Pour la conduite il y a le mode sport qui est rigolo. Rigolo parce qu’un contrôle sur les forces G appliquées au véhicules s’affichent.  Dans l’inutile, Fiat s’est surpassée.

Point de vues cadrans mis à votre disposition dans le tableau de bord, l’indicateur de vitesse est à revoir.  Les chiffres sont trop près les uns des autres et il est complètement à gauche alors qu’on aurait aimé le voir en plein centre.

Quelques embêtements, si vous déposez un sac légèrement pesant sur le siège du passager avant, un indicateur rouge s’affichera de tant à autre dans le cadran gauche du tableau de bord pour indiquer que le coussin gonflable côté passager n’est pas activé.

Côté suspension rien à dire.  Les ingénieurs de Fiat a fait un bon travail.

La finition intérieure du véhicule tant qu’extérieure est raffinée.

L’ajustement des rétroviseurs est bien mais celui de droite semble trop rapproché.

L’habitacle offre une belle insonorisation mais les ingénieurs de Fiat aurait pu faire mieux.

L’aérodynamise du véhicule est bien et ses réactions aux vents latéraux sont excellentes.

Il est difficile de changer les options d’affichage dans le cadran principal du tableau de bord.

De plus le système de son, pourrait être de meilleur qualité.

La radio satellite a également un problème de réception qu’on a pas observé sur d’autres essais de véhicules.  Roulez sur un boulevard urbain et la radio de perdre son signale une seconde de temps en temps et ce sans passer sous viaducs ou ponts.

Comme c’est un modèle 2016, on a pas pu observer qu’elle était la valeur de revente pour ce véhicule.

Bonne consommation d’essence, 7.9l sur la route et 11 en ville selon le fabricant.  C’est pas mal ce à quoi on a eu droit.

Le modèle essayé n’avait pas 9 000km au compteur et l’essai s’est déroulée de jour, de soir, sous la pluie et sous le soleil, cet automne sur 550km.

Quand la température descend sous les 3 degrés celcius, il y a un indicateur jugé inutile par l’équipe d’AutoCarbure.com qui indique qu’il y a possibilité que la route soit glissante.  Par beau temps, cet indicateur est d’un ridicule déconcertant.

L’équipe d’AutoCarbure.com attribue la note globale en 50 points à la 2016 Fiat 500x Sport de

79% ou 4

Une meilleure note aurait été attribué si le moteur aurait été plus puissant et la boîte automatique avec des changements moins saccadés à basse vitesse. Mais malheureusement la puissance du moteur a fait en sorte que notre plaisir à conduire n’a pas été celui espéré.

Voici le modèle essayé en quelques clichés et plus bas la publicité amusante du véhicule par le fabricant.

 

Essai 2015 Hyundai Elentra GL

Imaginez une Hyundai Accent gonflé mais pas trop pour pas qu’elle ait l’air d’une Sonata et vous obtenez une Hyundai Elentra.

L’éternel milieu entre la Hyundai Accent et la Hyundai Sonata.

Dans les années passées la marche était haute entre une Accent et une Sonata, de nos jours, point de vue look, ce ne sont que de petits pas à franchir.

L’équipe d’AutoCarbure.com a mis à l’essai un 2015 Hyundai Elentra GL.

La Hyundai Elantra est confortable, rien à dire de ce côté, même que les places arrières sont faciles d’accès.

L’espace de rangement dans son coffre-arrière est généreux.

La puissance du moteur est correcte sans plus.  Le véhicule est dotée d’un moteur 4 cylindres de 1,8 litres développant 148 chevaux.

Bien chargé avec quatre adultes, le moteur est juste assez puissant sans plus.

Sa consommation d’essence correct pour les 260 kilomètres parcourus réparti sur  20, 20, 60 c’est à dire, 20% de ville, 20% de chemins de campagne et 60% d’autoroute.

La suspension laisse à désirer, particulière à l’arrière.  Lors de cahotement de la chaussée on a l’impression que l’arrière dandine.

La même chose a été observée sur une autre Hyundai Elentra essayé quelques semaines après notre essai.

Sinon, pour le rester, le véhicule offre une bonne tenue de route et une bonne réaction aux vents latéraux.

L’habitacle offre une belle insonorisation.

Sinon, la finition intérieure est bien, côté extérieur également.  On aime le désign et l’aérodynamisme que présente le véhicule.

Point de vue conduite, on dirait que le nouvelle palme de la conduite pépère revient maintenant à la Hyundai Elentra dans cette catégorie qui a longtemps été dominée par Toyota Corolla.

L’Elentra est une bonne voiture, on ne se casse pas la tête mais le plaisir à conduire n’y est pas.  Mais on a rien de bien grand à reprocher à la voiture.

La valeur de revente du véhicule est très bonne.  On trouve le véhicule peu abordable avec son prix de 22 000$ pour le modèle essayé (taxes incluses).   En fait on ne voit pas l’intermédiaire entre l’Accent et la Sonata. Rien ne justifie l’existence de l’Elantra.

L’équipe d’AutoCarbure.com attribuée la note globale en 50 points à la 2015 Hyundai Elentra GL de

78% ou 3.9

 

Essai 2016 Dodge Journey SXT

Imaginez un Dodge Caravan plus petit et sans portes coulissantes. Voilà, vous obtenez un Dodge Journey.

L’équipe d’AutoCarbure.com a mis à l’essai un 2016 Dodge Journey SXT.

Le Dodge Journey est un véhicule multisegment assemblée au Mexique à l’usine Toluca.

C’est le confort, rien à dire de ce côté à part que le siège du conducteur est un peu mou.

La puissance du moteur, le légendaire Pentastar V6 de 3.6 litres. Peu gourmand, les résultants sont épatants après un essai de 1 200 kilomètres parcourus sur une répartition de 20, 30, 50 c’est à dire, 20% de ville, 30% de chemins de campagne et 50% d’autoroute.

Le moteur nous a toujours bien servi avec ses 283 cheveux et son couple de 260 lb-pi. Quand c’est le temps de rentrer sur l’autoroute, l’accélération est au rendez-vous, tout comme le moment d’un dépassement.

La suspension est très bonne, voire remarquable.

Le véhicule offre aussi une bonne tenue de route.

Côté du nombres de passagers que le véhicule permet, là c’est un problème. La troisième banquette a certainement été conçue pour les nains.  Une personne mesurant 5 pieds et plus qui s’assoit là sera inconfortable. Aucune place pour les jambes.

Avec la troisième banquette installée, il y a trop peu de place dans le coffre arrière. À peine de la place pour une valise et deux sacs d’épicerie. Vous ne partez pas sur la Côte Est américaine avec 6 personnes et leurs bagages en Dodge Journey, c’est impossible.

Sinon, la finition est bien, tant du côté intérieur qu’extérieur du véhicule. On ne nage pas dans le luxe mais c’est bien.

Au niveau de la conduite, rien a reproché au Dodge Journey.  Les changements de rapport de la transmission automatique se font en douceur.

S’aurait été bien d’avoir une caméra pour reculer, c’est tout de même un véhicule assez long.

Autre point négatif du véhicule, son aérodynamisme est pas mal carré, donc vous aurez deviné, il est pas mal imposant lors de grands vents ce qui fait qu’on sent beaucoup les vents latéraux sur la route.

Il y a de petits points achalants avec le Dodge Journey. Tout d’abord l’insonorisation est déficiente du côté du conducteur.  On entend beaucoup les bruits extérieurs. Espérons que Dodge va corriger cela dans les années à venir.

Aussi, il y a la fenêtre électrique lorqu’on l’abaisse.  Vraiment, pourquoi s’en va t’elle jusqu’en bas automatiquement?  Pas très pratique.  Ce serait pratique si cette option était optionnelle.

Au niveau de l’ajustement du chauffage ou de la climatisation, ça se fait assez bien mais il est difficile de maintenir la bonne température.  Ça devient toujours trop froid ou trop chaud.

Sinon, le Dodge Journey dans son ensemble est un bon véhicule et il est plaisant de s’y promener à bord pour de longues distances.

Malheureusement l’équipe d’AutoCarbure.com avait pris des photos du Dodge Journey mais la carte sur laquelle elles ont été prises a connu des problèmes. Donc nous devons prendre la photo du site de Dodge.ca.

La note globale en 50 points attribuée au 2016 Dodge Journey SXT est

76% ou 3.8

 

Essai 2013 Hyundai Sonata GL

AutoCarbure.com a fait l’essai d’un 2013 Hyundai Sonata GL. Il faut dire que la Sonata et le Québec c’est pas toujours une histoire d’amour. Rappelez-vous qu’à la fin des années 80, Hyundai assemblait cette voiture à Bromont au Québec. Elle l’assemble maintenant à quelques endroits en Asie, et aussi une usine à Montgomery, Alabama, aux États-Unis.

Depuis longtemps l’usine est chose du passée et certains québécois l’ont encore sur le coeur et boude volontairement la Sonata.

Caractéristiques du véhicule:

couleur extérieure: charcoal
couleur intérieure: noir
sièges en tissu
4 portes
nombre de passagers possibles:  5
moteur 4 cylindres de 2.4 litres
puissance de 198 chevaux
transmission automatique à six rapports
prix neuf: 23 999$ (source site Internet du fabricant)
garantie de base du fabricant 5 ans 100 000 km
lieu de fabrication:  Montgomery, Alabama, États-Unis

Détails de l’essai:

Nombre de kilomètres parcourus pour l’essai:  411.
% de l’essai réalisé en ville: 20
% de l’essai réalisé en campagne: 30
% de l’essai réalisé sur autoroute: 50
Comditions climatiques durant l’essai: hiver, beau temps
Date de l’essai: février 2015

Le véhicule mis à l’essai est le modèle GL de la Sonata, en 2013, c’est la sixième génération du modèle qui a débuté en 2010 avec comme principal fait marquant, l’abandon du moteur V6.

Il est dotée d’une transmission à six rapports, d’un moteur 4 cylindres de 2.4 litres très nerveux et surprenant avec ses 198 chevaux et ses 184 livres de couple. Il producre de belle accélération. Tellement surprenant comme puissance, que l’équipe d’AutoCarbure.com a dû ouvrir le capot pour voir si Hyundai n’avait pas équipé la voiture d’un moteur 6 cylindres.

La Sonata est très confortable, la direction normale, la suspension bien correcte. L’antipatinage est très sensible. Ce n’est pas l’idéal pour la conduite hivernale. Moins de boutons sur le volant seraient bien. Si on a les mains basses sur le volant en conduisant, on accroche des boutons et ce n’est pas agréable.

Côté insonorisation c’est à revoir. On entend toujours un sifflement de vent, comme sur beaucoup de voitures américaines.

Le siège du conducteur est confortable de même que celui du passager. Les sièges chauffants sont appréciés l’hiver.

Les commandes pour le chauffage sont modernes avec une belle indication d’où l’air ira. (voir photo plus bas).  La console est facile à utiliser.

La radio est correct sans plus.  Pour un véhicule de moyenne gamme comme la Sonata, je m’attendais à une meilleure sonorisation de la radio de série.

L’esapace dans l’habitacle du Sonata 2013 est appéricé. Mais il faut avouer qu’avec les années antérieures, le comparatif d’espace entre une Accent et une Sonata diminue considérablement.

De l’extérieur, la Sonata offre un bel aérodynamisme et des lignes fluides.

Le véhicule a beaucoup d’espace de rangement dans le coffre. Sur la banquette arrière, il y a aussi un range gobelets de disponible et qui se rabat.

Avec la Hyundai Sonata, la valeur de revente est excellente. Comme les gens ne désiraient plus la version V6, Hyundai a cessé de la produire. Dommage! La valeur de revente des Hyundai Sonata avec le moteur V6 était très déficiante. C’était un excellent véhicule à se procurer pour un acheteur et elle ne consommait pas plus de 20% de carburant que la version 4 cylindres.

L’équipe d’AutoCarbure.com a vu de très bels occasions sur les sites LesPacs et Kijiji de Hyundai Sonata, années antérieures à notre essai et pourvu d’un moteur v6. Par exemple, une 2009 Hyundai Sonata GL v6 en vente à seulement 7000$.

Revenons au véhicule en essai. Durant les 400 kilomètes d’essai la voiture s’est très bien comporté.

De l’intérieur, le véhicule manque de raffinement dans sa finition si on compare à la Toyota Camry.

C’est aussi très dommage qu’il ne soit plus offert en version V6. On dirait que Hyundai a décidé d’équipé sa Sonata d’un moteur 4 cylindres plus puissant et d’abandonné son V6. Le v6 qui équipait la Sonata à l’époque était un moteur de 3.3 litres déployant 249 chevaux et 229 livres de couple.

Ce qui est aussi déçevant pour la Sonata est que l’écart du format du modèle entre la Elantra et la Accent est de plus en plus mince. Bien sûr l’Accent 2013 est 18 pouces moins longue et 5 pouces moins large, mais la différence est moins flagrante que dans les modèles antérieurs.

Côté consommation d’essence l’ordinateur de bord a indiqué 9.1 litres au 100km.  Ce qui est respectable compte tenu de la puissance du véhicule et de son ampleur.

L’équipe d’AutoCarbure.com attribue la note suivante à la 2013 Hyundai Sonata GL.

78% ou 3.9

Voici quelques photos du modèle essayé.  Malheureusement des problèmes techniques on fait en sorte que le nombre de photos disponibles a été très restreint. Désolé des inconvénients.

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2014 GMC Terrain SLE

Essai 2014 GMC Terrain

AutoCarbure.com a mis à l’essai un SUV 2014 GMC Terrain SLE.

Quand j’ai eu le véhicule je croyais que c’était un GMC Acadia, vraiment la ressemblance est frappante.  Mais c’était un Terrain 2014, un peu plus petit que son grand frère l’Acadia mais presqu’identique à son cousin le Chevrolet Equinox.

Lorsque je me suis assis dans le véhicule j’ai trouvé que la position de conduite était intéressante tout comme la vue.  La prise du volant est bien, le siège du conducteur est bien correcte tout comme celui du passager.  Il y a beaucoup de rangement dans l’habitacle.

Rendu sur l’autoroute j’ai trouvé que le GMC Terrain manquait de puissance.  Effectivement le modèle essayé n’avait qu’un moteur 4 cylindres de seulement 182 chevaux et que de 172 livres de couple.  Définitivement ça manque de puissance pour un véhicule de 1823 kilogrammes.

Le véhicule est doté d’une transmission automatique à 6 vitesses.

L’espace pour les jambes est super tant pour les gens à l’avant que les passagers derrière.

Caractéristiques du véhicule:

  • couleur extérieure: blanc sommet
  • couleur intérieure: noir
  • sièges en tissu
  • 5 portes
  • nombre de passagers possibles:  5
  • moteur 4 cylindres de 2.4L DACT
  • puissance de 182 chevaux
  • transmission automatique à six rapports
  • prix neuf: 29 995$ (source site Internet du fabricant)
  • garantie de base du fabricant 3 ans 6 000 km
  • lieu de fabrication:  Ontario, Canada

Détails de l’essai:

  • Nombre de kilomètres parcourus pour l’essai:  290.
  • % de l’essai réalisé en ville: 20
  • % de l’essai réalisé en campagne: 20
  • % de l’essai réalisé sur autoroute: 60
  • Comditions climatiques durant l’essai: automne, beau temps
  • Date de l’essai: décembre 2014

La suspension du GMC Terrain est bien mais pourrait être améliorer.

La transmission du GMC Terain aurait intérêt à être mieux ‘gearer’.  La première et la seconde rentre beaucoup trop rapidement.  Ça donne de petits coups constamment et c’est pas génial.

Le véhicule est doté d’un beau tableau de bord.  Mais je ne sais pas pourquoi chez GM c’est rarement simple utiliser ce qu’on voit.  On doit constamment réfléchir au comment et au pourquoi.  Quand je suis derrière le volant d’un véhicule sur l’autoroute, j’ai pas 15 secondes à réfléchir comment un truc fonctionne dans le tableau de bord.  Ça doit être instinctif.  Même chose pour le régulateur de vitesse.

Côté positif sur du GMC Terrain on y est très confortable, le véhicule se comporte bien, un bon système audio avec écran tactile, l’espace dans le coffre arrière est généreux.

Chose que je n’aime pas d’un véhicule c’est lorsque je fais le plein et que l’ouverture du réservoir d’essence est du côté passager. Il me semble que ça devrait être un standard de placer ça du côté du conducteur.  Mais bon chez le GMC Terrain c’est du côté passager.

Parlant essence, je considère que la consommation d’essence du GMC Terrain est moyenne.  Disons que pour l’essai le véhicule a eu une consommation de 11,6 litres au 100km.  On est loin du 9.2l indiqué par le fabricant.  Bien sûr lors de l’essai j’étais chargé mais quand même pas de 1 000 livres, qu’une grosse épicerie et un passager.

Pour la conduite c’est pépère, le moteur manque de puissance, les virages s’effectuent bien, le freinage est adéquat.  L’insonorisation est à revoir, c’est déficient.  Le véhicule est très fragile aux vents latéraux et évidemment sa carrure n’est pas une championne de l’aérodynamisme.

Un point intéressant, GMC a aussi inclus dans les rétroviseurs du Terrain un petit carré grand angle qui couvre l’angle mort.

De l’extérieur le SUV a belle allure avec ses jantes de 17 pouces mais côté design je n’aime pas la carrure de ses ailes.

J’attribue la note suivante au GMC Terrain 2014 SLE.

79% ou 4

Ça peut paraître généreux mais le confort a penché dans la balance malgré un moteur qui devrait offrir plus de puissance.  De série il devrait venir avec le moteur à 6 cylindres de 301 chevaux et 272 livres de couple.  Pour le reste des points négatifs, tout peut s’améliorer et une nouvelle génération du véhicule est pour bientôt.

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Essai 2014 Mitsubishi Mirage ES CVT

AutoCensure.com a mis à l’essai un Mitsubishi Mirage ES CVT 2014.

Quand j’ai eu le véhicule j’étais fébrile a essayé cette nouvelle petite voiture dont j’avais vu les commerciaux et qui vantait son économie d’essence.  De plus le dernier véhicule que j’avais conduit de Mitsubishi était un Outlander 2008, à un époque où AutoCensure.com n’était même pas en chantier.

Lorsque je me suis assis dans la voiture, une chose que j’ai remarqué tout de suite…  Ça manque de fini.  On dirait une voiture fin des années 90 de l’intérieur.  La seule chose d’intéressante, le logo de Mitsubhishi sur le volant.

Le siège du conducteur n’est vraiment pas confortable. Celui du passager c’est la même chose.  Les places arrières, même résultats.  Mitsubishi devra retravailler cet aspect.  Même que durant le voyage, la personne qui était passagé a réclamé d’arrêter au Canadian Tire pour acheter un coussin d’appoint tellement que son siège n’était pas confortable.

L’espace pour les jambes est a revoir également tant des places avant que derrière.

Caractéristiques du véhicule:

  • couleur extérieure: noir mystique
  • couleur intérieure: gris
  • sièges en tissu
  • 5 portes
  • nombre de passagers possibles:  6 ou 7 selon le fabricant (6 adultes c’est correct)
  • moteur 3 cylindres de 1.2L
  • puissance de 74 hp
  • transmission automatique à variation continue
  • prix neuf: 15 148$ (source site Internet du fabricant)
  • garantie du fabricant 5 ans 100 000 km
  • lieu de fabrication:  Laem Chabang, Thaïlande

Détails de l’essai:

  • Nombre de kilomètres parcourus pour l’essai:  477.
  • % de l’essai réalisé en ville: 25
  • % de l’essai réalisé en campagne: 10
  • % de l’essai réalisé sur autoroute: 65
  • Comditions climatiques durant l’essai: été, pluie et soleil
  • Date de l’essai: juin 2014

La suspension du Mitsubishi Mirage est désolante.  En fait parfois je me demande même s’il y en a une.  Ça tape dure, on sent toutes mais toutes les imperfections de la route.

Côté positif sur l’auto et aussi bien vous le dire tout de suite, ce sera le seul point, la consommation d’essence est excellente.  Normal le moteur est un petit 3 cylindres.  Sincèrement ce moteur est nul.  Pour un véhicule au centre-ville de Tokyo je comprends que les ingénieurs japonais de Mitsubishi ont dû adorer.  Mais sur une autoroute du Québec c’est nul.

Justement ce moteur.  Bon sens, aucune puissance.   Dépasser sur l’autoroute est difficile à faire tellement que le moteur n’a pas de puissance.  Seulement que 74hp.  C’est ridicule.

Les virages… bon sens d’habitude les petites voitures sont bien maniables, la Mitsubishi Mirage ne l’est pas.  Les virages ne se font pas en continue comme sur toute voiture normale.

Le petit véhicule est aussi fragile aux vents latéraux et ce malgré une coupe aux allures aérodynamiques.

Je n’ai sincèrement pas eu aucun plaisir à conduire cette voiture.  En fait je dirais plutôt que c’est un mirage d’une automobile.  Probablement de là qu’elle tire son nom.

Dommage, la voiture est quand même correcte vu de l’extérieure. C’est fait cheap mais une fois à l’intérieure et en roulant, ça l’est encore plus.

Pour en rajouter sur la médiocrité, l’espace du coffre est nul.  Heureusement que les bancs arrière se baissent pour obtenir davantage ce capacité pour le coffre.

Côté système de son… même niveau de médiocrité.

Tout juste au-dessus du retroviseur, près di plafonnier, un indicateur pour savoir si le coussin gonflable du passager est activé.  Non mais tellement inutile de l’avoir à cette position. Pourquoi ne pas l’avoir mis près de la radio, comme sur la plupart des sous-compactes.

Définitivement je me demande si cette voiture n’est pas un projet de stage d’un groupe d’ingénieurs chez Mitsubishi.

Au moins le tableau de bord de la Mirage ainsi que la console sont faciles à lire et à comprendre.  Bien oui je me suis échappé avec un second point positif et malheureusement le dernier.

Mitsubishi aurait intérêt à mettre un petit moteur 4 cylindres dans la Mirage et d’améliorer la suspension du véhicule.  Déjà avec ces deux choses améliorées elle pourrait améliorer sa note de 15 à 20%.

Parlant note, pour cette essai, j’attribue au Mitsubishi Mirage ES CVT 2014 une note globale en 50 points de

39% ou 2

Avec une pareille note j’espère que tout acheteur potentiel, et même les parents qui veulent acheter une voiture neuve à leur enfant, se tiendront loin, mais très loin de cette la Mitsubishi Mirage. Attendez un an ou deux, vous l’obtiendrez usagée pour moins de $6 500 et déjà si vous désirez dépenser cette somme sur une voiture, à ce prix vous obtiendrez mieux dans l’usagé.

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2013 Ford Flex SEL

Essai 2013 Ford Flex SEL AWD

Le Ford Flex SEL 2013 est un SUV aux allures carrés.  Honnêtement quand on le regarde de l’extérieure la première fois, on est pas très certain de ce qui nous attend.

Une fois à l’intérieur par contre les préjugés tombent.  Le Ford Flex est un véhicule luxueux.  Un toit ouvrant des plus ensoleillés.  Un puit de lumière est disponible pour les passagers de la seconde banquette et aussi un autre pour les passagers de la troisième banquette. C’est génial quand vous visitez une grande ville, vous pouvez avoir les yeux presque partout, vous ne manquerez presque rien avec toute la fenestration du Flex.

Il y a beaucoup d’espace pour les jambes sur la seconde banquette et pas mal aussi sur la troisième.

Les places sont confortables sur la première et la seconde banquette, la troisième pour un adulte ce serait plus restreint mais quand même acceptable.

Caractéristiques du véhicule:

  • couleur extérieure: brun kodiak
  • couleur intérieure: gris
  • sièges en cuir
  • 5 portes
  • nombre de passagers possibles:  6 ou 7 selon le fabricant (6 adultes c’est correct)
  • moteur v6 3.5L
  • puissance de 287 hp
  • transmission automatique à 6 vitesses
  • prix neuf: 40 699$ (source site Internet du fabricant)
  • garantie du fabricant 3 ans 60 000 km
  • lieu de fabrication:  Oakville, Canada
  • quatre roues motrices

Détails de l’essai:

  • Nombre de kilomètres parcourus pour l’essai:  2344.
  • % de l’essai réalisé en ville: 15
  • % de l’essai réalisé en campagne: 15
  • % de l’essai réalisé sur autoroute: 70
  • Comditions climatiques durant l’essai: été, pluie et soleil
  • Date de l’essai: mai 2013

La suspension du Flex est excellente. C’est le confort suprême.  Le freinage est super, quasiment identique à une berline.  L’accélération, tout va.  Les virages se font très bien.  Presque pas de défaut.

Consommation d’essence. C’est correct.  Aussi gourmand qu’un Ford Fusion mais pas plus qu’un Chevrolet Traverse.  Honnêtement le véhicule n’est pas très aérodynamique de par son désign mais au volant on ne sent pas sa carrure qui fait face au vent.

Le Ford Flex essayé était quatre roues motrices.  Assez inutile en été.
Le Ford Flex a une belle gueule quand on sort de l’habitacle.  Autrement dit au premier coup d’oeil on trouve qu’il est proche d’un corbillard, après avoir visité l’intérieur, on trouve qu’il a de la gueule.
J’ai trouvé que le Flex avait une puissance intéressante au niveau du moteur.  On ne manque pas de puissance lors des accélérations pour entre sur l’autoroute.  Nous étions quatre adultes à voyager avec et le coffre plein de bagages.  Franchement un sentiment de légèreté habitait le Flex.
Si vous voyagez six adultes vous aurez très peu de place pour loger les bagages dans le Flex.  Avec la troisième banquette installée, si y a personne qui s’y assoeit, génial vous obtiendrez plus de rangements pour les bagages.

Sur l’autoroute avec le vent, on sent rien avec le Flex.  La pluie.  Même chose.  Sérieusement il est d’un confort incroyable.  La conduite est tellement agréable que le changement de chauffeur est déplaisant, on a pas envie de lâcher la roue.

La radio est correcte et dotée du système satellite XM, c’est génial.  La connexion d’un iPod se fait facilement, petit bémol, encore une fois avec Microsoft Sync, difficile de jumeler un iPhone.  Ça se fait mais il faut redoubler d’efforts.

La console, le tableau de bord.  Très facile à comprendre et à utiliser.  Rien à dire de ce côté.  C’est un très beau désign intérieur.  Franchement les gens de Ford ont de quoi être fiers de produire un aussi beau véhicule.

Les sièges avant sont très confortables et facile à ajuster.

L’accès aux places arrières est parfait.  La troisième banquette s’accède mieux que dans un Traverse, franchement chez Chevrolet ils ont beaucoup à apprendre de Ford.

Je reviens à la conduite du Flex, franchement c’est le véhicule essayé qui m’a le plus enchanté au niveau de la conduite.  C’est d’un charme agréable et d’un confort incroyable tant derrière la roue, sur le siège du passager ou sur la seconde banquette.  Reculer avec le Flex, pas de problème, il y a une caméra qui nous guide.

Il y a beaucoup de rangement dans le Flex et la capacité du coffre avec les banquettes abaissées est impressionnante.

La finition extérieure du Ford Flex est impéccable et plus on le regarde et plus on le trouve beau.  Seul point à améliorer, rendre légèrement le véhicule moins carré, ça le rendrait vraiment d’une beauté incroyable et la note se rapprocherait de la perfection.

Bravo Ford!

J’attribue au Ford Flex 2013 SEL AWD une note globale en 50 points de

93% ou 4.7

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Essai 2011 Chevrolet Traverse LT

Le Chevrolet Traverse LT 2011 est un gros SUV capable techniquement de loger 8 passagers. Mais pas 8 adultes.  Les places de la troisième banquette sont davantage destinées à des enfants et sont très à l’étroit pour un adulte de taille moyenne.  Les places de la seconde banquette sont correctes, sans plus. Mais on ne loge pas trois adultes sur la seconde et la troisième banquette. À six adultes c’est correct et encore, les deux sur la troisième banquette ne sont pas dans le gros confort mais très à l’étroit.  De petits adultes oui mais pas des gaillards de 6 pieds et plus.

La position de conduite est idéale, magnifique vue avant, surélevée comme tout les suv. La place côté passager offre également une belle vue.  Un toît ouvrant éclaire davantage l’habitacle.

Le Chevrolet Traverse ne tourne pas sur un 10 cents comme tous les gros SUV.  C’est virage sont un peu plus long mais se font tout de même avec aisance.  Reculer, la caméra aurait été la bienvenue car la vision arrière est défaillante vue la longueur du véhicule.  Disons qu’on ne stationne pas le Traverse aisément dans une cour de centre d’achat à l’étroit.

Caractéristiques du véhicule:

  • couleur extérieure: bleu marine
  • couleur intérieure: noire
  • sièges en tissus
  • 4 portes
  • nombre de passagers possibles:  8 selon le fabricant (6 adultes c’est correct)
  • moteur v6 3.6L
  • puissance de 281 hp
  • transmission automatique à 6 vitesses
  • prix neuf: 41 860$ (source site Internet du fabricant)
  • garantie du fabricant 3 ans 60 000 km
  • lieu de fabrication:  Michigan, États-Unis

Détails de l’essai:

  • Nombre de kilomètres parcourus pour l’essai:  2036.
  • % de l’essai réalisé en ville: 15
  • % de l’essai réalisé en campagne: 20
  • % de l’essai réalisé sur autoroute: 65
  • Comditions climatiques durant l’essai: été, pluie et soleil
  • Date de l’essai: juillet 2010

La suspension du Traverse est bien.  Pas trop molle comme sur certains SUV ni trop dure.  C’est confortable.  Le freinage est normal pour un SUV de ce type.

Consommation d’essence. Gourmand mais pas trop. C’est tout de même un SUV que je dirais beaucoup plus léger que le Suburban ou le Yukon.

Le Traverse essayé était d’un beau marine à l’extérieure avec l’intérieur noir.  Il a une belle coupe, il n’a pas la gueule carré des gros SUV chez Chevrolet.
J’ai trouvé que le Traverse manquait de puissance sur l’autoroute. Je comprends qu’avec six adultes à l’intérieur et tout plein de bagages, nous étions lourd. Mais tout de même j’aurais aimé plus de puissance. L’accélération est lente et le moteur semble vouloir sortir du capot. Mais une fois en vitesse de croisière ça se replace. C’est juste à l’accélération.
Si vous voyagez six adultes vous aurez très peu de place pour loger les bagages.  Avec la troisième banquette installée, n’aller même pas faire un épicerie vous ne saurez pas où ranger les sacs. L’espace est vraiment limité.

Sur l’autoroute avec le vent, le Traverse n’a pas grand aérodynamisme, alors il prend le vent. Ça tangue un peu mais pas non plus au point d’être effrayé.  Ce n’est pas un Nissan Versa mais un SUV capable d’en prendre.

La radio est correcte sans plus. De toute façon quand vous voyager six adultes, ça jase en masse, la radio est peu utile, sauf pour connaître la situation du trafic sur la route.  La connexion d’un iPod se fait facilement.

La console, le tableau de bord.  Très facile à comprendre et à utiliser.  Rien à dire de ce côté.

Les sièges avant sont très confortables et facile à ajuster.

L’accès aux places arrières est parfait.  Encore une fois je reviens sur la troisième banquette, je vais passer pour un plaignard, mais ces places sont très difficiles d’accès, c’est un gros point négatif de ce véhicule.

J’attribue au Chevrolet Traverse 2011 une note globale en 50 points de

72% ou 3.6

Chevrolet Traverse 2011