Enzo Ferrari

Enzo Ferrari

Qui était Enzo Ferrari?

Enzo Ferrari était un entrepreneur automobile et un pilote de course italien qui a fondé la société automobile éponyme Ferrari en 1947. Il est né le 18 février 1898 à Modène, en Italie, et a grandi dans une famille aux moyens modestes. Malgré son milieu modeste, Ferrari a développé une profonde passion pour les voitures et la course dès son plus jeune âge, et est devenu l’une des figures les plus influentes de l’histoire de l’industrie automobile.

Début de la vie et de la carrière d’Enzo Ferrari

L’intérêt de Ferrari pour les voitures a été éveillé par le travail de forgeron de son père, et il est rapidement devenu fasciné par le fonctionnement mécanique des automobiles. Il abandonne l’école à l’âge de 10 ans pour travailler dans une usine automobile locale et, à l’adolescence, il participe déjà à des courses de motos et de voitures en tant que passe-temps.

En 1916, à l’âge de 18 ans, Ferrari est enrôlé dans l’armée italienne pour participer à la Première Guerre mondiale. Il sert comme muletier dans les régions montagneuses du nord de l’Italie, puis est transféré dans un corps de chars d’assaut. Après la guerre, il retourne à Modène et commence à travailler pour un concessionnaire automobile local, où il acquiert une réputation pour ses compétences en matière de réparation et de modification des voitures.

En 1920, Ferrari s’installe à Milan et rejoint l’équipe de course du constructeur automobile Alfa Romeo. Il devient rapidement l’un des meilleurs pilotes de l’équipe et remporte sa première grande course en 1924. Au cours des années suivantes, il participe à de nombreuses courses prestigieuses dans toute l’Europe et s’impose comme l’un des meilleurs pilotes de sa génération.

Fondation de Ferrari

En 1929, Ferrari quitte Alfa Romeo pour fonder sa propre écurie, la Scuderia Ferrari, qui deviendra l’une des équipes les plus performantes et les plus emblématiques de l’histoire du sport automobile. L’équipe Ferrari s’est rapidement fait une réputation pour ses conceptions innovantes et sa compétitivité féroce, et est devenue une force dominante dans le monde de la course.

Dans les années 1930 et 1940, l’équipe Ferrari a participé à de nombreuses courses, notamment la Mille Miglia, la Targa Florio et les 24 heures du Mans. Ferrari lui-même a continué à courir pendant cette période et a remporté un certain nombre de victoires notables, dont les 24 heures du Mans en 1949.

Après la Seconde Guerre mondiale, Ferrari s’est tourné vers la construction de voitures de route et, en 1947, il a fondé l’entreprise automobile Ferrari. L’entreprise acquiert rapidement une réputation pour ses voitures de sport hautes performances et devient l’une des marques les plus connues au monde. Ferrari est resté activement impliqué dans l’entreprise tout au long de sa vie et a supervisé le développement de bon nombre de ses modèles les plus emblématiques, notamment la 250 GTO et la Testarossa.

L’héritage d’Enzo Ferrari

Enzo Ferrari est décédé le 14 août 1988, à l’âge de 90 ans. Il a laissé derrière lui un héritage qui continue de façonner l’industrie automobile jusqu’à aujourd’hui. Les voitures Ferrari restent parmi les véhicules les plus recherchés et les plus emblématiques au monde, et la marque Ferrari est synonyme de haute performance, de vitesse et de luxe.

La passion de Ferrari pour la course et l’innovation a contribué à transformer le monde du sport automobile, et son héritage continue d’inspirer des générations de pilotes et de passionnés de voitures dans le monde entier. Outre ses contributions à l’industrie automobile, Ferrari a également exercé une grande influence sur la culture italienne et reste un symbole de la richesse de l’histoire et des traditions du pays.

logo du Salon de l'auto de Montréal

Le Salon de l’Auto de Montréal 2023, un beau gâteau, sans saveur

Le Salon de l’Auto de Montréal vient de clore ses portes pour son édition 2023, la première depuis 2020, les éditions 2021 et 2022 ayant été annulées par la pandémie de COVID-19. L’édition 2023 a été très difficile. Bien que l’événement ait été tout de même de qualité au niveau professionnel, il manquait beaucoup de saveurs par rapport aux années précédentes, au point de dire que l’événement était presque sans saveur.

Bon nombre de personnes s’y sont rendus uniquement pour voir les Ferrari exposées de la collection du millionnaire Luc Poirier. C’était le pôle d’attraction du salon en 2023.

D’autres, évidemment, pour voir les modèles de véhicule de l’année. Plusieurs de ces personnes ont été déçues.

Historiquement, il faut comprendre que depuis son déménagement du Stade Olympique au Palais des Congrès de Montréal, le Salon a perdu du lustre aux yeux de plusieurs personnes. La visite du salon sur multiples paliers en dérange plusieurs.

Mais, revenons à l’édition 2023 et la déception de plusieurs visiteurs.

Le gros problème cette année a été l’absence de nombreux constructeurs d’importances, et parmi eux, de très gros noms. Dont toutes les marques du fabricant Stellantis qui a décidé de se présenter qu’au salon de Toronto, boudant ainsi le marché du Québec, en étant absent à Montréal.

Alfa Romeo, Fiat, Maserati, Dodge, Chrysler, Ram, Jeep, Honda, Mazda, Volkswagen, Ford, Mitsubishi et presque toutes les marques de luxe.

Alfa Romeo ce sont des voitures d’entrée de gamme exotique italienne.

Fiat, le bas de gamme de ce qui se fait en Italie, mais qui en intéresse plusieurs malgré les déboires de la Fiat 500 en termes de fiabilité.

Maserati, c’est un constructeur de voitures de luxes qui font tourner les têtes.

Dodge, ce sont des véhicules comme le Charger et le Challenger qui a sont lots d’amateurs au Québec.

Chrysler n’a plus beaucoup de modèles mais en a quand même certains qui intéressent la population québécoise.

Ram, ce sont les pick-up. Déjà que d’avoir changé leurs publicités de la voix de Dan Bigras, aux annonces insignifiantes de Martin Petit était une erreur, leur absence à ce salon pourrait avoir de lourdes conséquences. Mais, en même temps, leur gros compétiteur en matière de pick-up, Ford, était aussi absent.

Jeep, aussi dans le giron Stellantis, était absent. Il y a tellement d’amateurs de plein-air qui sont de fervents de Jeep au Québec. Dommage!

Honda était un absent de taille, le fabricant nippon a tout de même le véhicule le plus vendu au Québec. A-t-il décidé de s’asseoir sur ses lauriers?

Mazda, la voiture du peuple japonaise, était aussi absent.

Mitsubishi s’est aussi absenté du salon de l’auto de Montréal.

Ford, avec autant d’amateurs de F-150 et de Mustang dans la province, a décidé en 2023 de se permettre l’absence à tous les salons de l’auto d’envergure au Canada. Probablement là une erreur stratégique qui pourrait finir par coûter cher à Ford.

Finalement, Volkswagen, le constructeur des voitures allemandes les plus abordables, a aussi décidé de bouder l’événement.

Les marques de luxe étaient aussi absentes dont BMW.  BMW y est même allé de publicités sur les médias sociaux durant la tenue du salon, faisant foi que le vrai salon de l’auto se déroulait dans leurs salles de montres.

Avec tous ces constructeurs absents, il était difficile pour les visiteurs de comparer les modèles des différentes marques. Qui n’aime pas visiter le kiosque Toyota et ensuite de voir ce qui se fait chez le compétiteur Honda? La majorité des consommateurs font cela.

Qu’adviendra-t-il du Salon de l’auto de Montréal?

Une des solutions pourrait d’être de changer de lieu. Présenter l’événement dans un endroit que les gens vont s’y sentir plus à l’aise et où il sera plus facile d’y stationner. Le Stade Olympique était un endroit très intéressant et le stationnement plus facile qu’au Palais des Congrès.

Il pourrait aussi être plus intéressant de présenter ce salon en avril plutôt qu’en janvier.

Les gens sortent à peine des fêtes, ils viennent de dépenser beaucoup. Peut-être que le salon pourrait être plutôt présenté en avril. Où la température est plus idéale que la neige de janvier qui est parfois abondante et les températures qui sont aussi glaciales.

Certaines personnes croient que c’est la fin des salons automobiles.

Chez AutoCarbure nous n’en croyons rien. Pour la simple raison que les gens aiment voir des véhicules en présentiel, qu’ils soient neufs ou anciens. Le succès des différentes expositions de voitures anciennes du printemps à tard en automne prouvent que les gens aiment voir les voitures en présentiel.

Il faut donc une vitrine renouvelée pour présenter les voitures neuves aux consommateurs.

Une vitrine abordable et qui offrira une meilleure expérience aux visiteurs. Pourquoi pas, pour un constructeur, amener sur les lieux ses nouveaux modèles et des modèles anciens de leurs modèles populaires.

Par exemple chez Ford, une Mustang de l’année avec pas très loin un modèle de l’édition 1969, et pourquoi pas aussi, une 2005 Ford GT.  La même chose pourrait se voir chez plusieurs constructeurs avec une grande histoire.  Volkswagen, Porsche, Mercedes, Chevrolet, Dodge, et plus encore Après tout, c’est le salon de l’auto et non le salon de l’auto neuve. L’événement doit être rassembleur et fêter en quelque sorte l’automobile. Certes le but d’un tel salon est mercantile et de vendre des véhicules. Mais, il pourrait y avoir un volet historique à chaque constructeur.

Cela pourrait aussi s’étendre aux véhicules de services publics tel que des autopatrouilles, des ambulances et des camions de pompiers.  Les nouveaux modèles et les anciens. Quel amateur de voiture n’aime pas voir de vieux ou nouveaux véhicules de police?

À 18$ par adulte et 15 $ par étudiant, une entrée au salon de l’auto en a déçu plus d’un cette année.

En 2023, ce dont vous avez besoin est d’attirer l’attention des gens. Il y a tellement de chaînes de télé et de streaming, de médias sociaux, d’événements sportifs et culturels, vous devez innover pour attirer leur attention.

Les constructeurs automobiles et leurs concessionnaires doivent innover leur façon de tenir un événement pour présenter leurs nouveaux véhicules. Comme dans toute industrie, innover ou périr.

Niki Lauda

Le grand Niki Lauda est mort

C’est avec tristesse tôt ce mardi matin que l’équipe d’AutoCarbure a appris la nouvelle de la mort de l’ancien pilote, triple champion du monde, Niki Lauda, à 70 ans.l

Lauda est décédé lundi, paisiblement, à Zurich en Suisse. La nouvelle a été confirmé par le docteur Walter Klepetko qui avait procédé a une transplantation pulmonaire sur Lauda l’année dernière. Lauda avait subitement disparu des paddocks de l’écurie Mercedes, il avait été annoncé que ce dernier devait subir une greffe pulmonaire.

On aura jamais revu Lauda dans les paddocks de la F1.

Il était devenu ces dernières années un important conseiller dans l’écurie Mercedes. Il a entre autre été longtemps le médiateur entre Nico Rosberg et Lewis Hamilton qui ne cessaient de se chamailler durant les années 2014 à 2016.

Auparavent, Lauda a été une légende de son sport. Né d’une famille très riche en 1949, il s’est acheté un volant au sein de l’écurie March en 1971. Ce n’est qu’en 1974 que sa première victoire surviendra, alors qu’il aura joint Ferrari. Il gagne en Espagne. La saison suivante, 1975, il remporte le championnant avec 5 victoires.

En 1976, une rivalité éclate avec James Hunt qui pilote pour McLaren. Leur rivalité a fait l’objet d’un film en 2013, Rush, de Ron Howard. Lors de cette saison 1976, le grand prix d’Allemagne change le cours de sa vie. Il est alors sur le légendaire circuit du Nürburgring et Lauda crashe avec sa Ferrari qui s’enflamme subitement. Lauda est prisonnier de son cockpit, plusieurs pilotes s’arrêtent alors pour l’aider à sortir de sa voiture. Lauda subit de profondes brûlures internes et externes. Il aura été dans sa voiture en flammes environ 50 secondes. Ses plus profondes blessures sont aux poumons pour les gaz et les flammes inhalés durant l’accident.

Un coma de quelques jours et après avoir subi quelques greffes de peau, six semaines plus tard Lauda se dit fin près à prendre le volant pour l’épreuve de Monza. Il terminera 4e.

Niki Lauda s’était ça. Une force de caractère, une détermination, un vainqueur. C’était un grand pilote et il connaissait la mécanique. Il rentrait aux puits après des essais et savait exactement quels réglages effectuer sur la voiture pour gagner ce petit quart de seconde qui fait parfois toute la différence. Lauda perdra le championnant par 1 point, abandonnant la course au Japon sous une pluie après deux tours. Hunt remporta le championnat 1976.

La saison suivante, 1977, Lauda remporte le championnant des conducteurs. Assuré du titre, il décidera de quitter Ferrari après la 15e course de la saison, le Grand Prix des États-Unis. Ce fût une saison horrible au plan personnel pour lui, la rivalité avec coéquipier Carkis Reutemann. Plus tard cette saison là, Ferrari donne un volant à un certain Gilles Villeneuve.

Lors des saisons 1978 et 1979, Lauda pilote pour Brabham. Il annoncera sa retraite au Grand Prix du Canada à Bernie Ecclestone, alors responsable de l’écurie Brabham.

Lauda aura aussi connu du succès en affaires lui qui était un passionné d’aviation. Dès sa première retraite en 1979, il décide d’administrer à temps plein la compagnie qu’il avait fondé, Lauda Air.

En 1982, Lauda décide de revenir en F1, il pilotera une McLaren. En 1984, il remportera son 3e titre. En 1985, il prendra définitivement sa retraite comme pilote.

En 1993, il revient en F1 comme administrateur dans l’équipe Ferrari.

Plus tard son rôle le plus récent, en 2012, il est nommé directeur non exécutif chez l’écurie Mercedes AMG Petronas. Il a pris part aux négociations qui ont amené Lewis Hamilton à piloter chez Mercedes.

Niki Lauda un grand, qui aura marqué son sport et, outre parents et amis, il laisse dans le deuil de nombreux fans et admirateurs.

 

Sergio Marchionne, ex grand patron de Ferrari, est décédé

Sergio Marchionne est mort!

Le grand patron de FIAT et Ferrari jusqu’à la semaine dernière, l’Italo-Canadien Sergio Marchionne, est décédé à l’âge de 66 ans. C’est une terrible nouvelle dans la stratosphère automobile.

M. Marchionne, était la figure emblématique et grand patron du géant automobile Fiat Chrysler (FCA) (incluant Ferrari) pendant 14 ans.

Il est mort ce mercredi matin , plongeant toute la nation italienne dans le deuil.

M. Marchionne était hospitalisé à Zurich, depuis une opération subie en fin juin et officiellement à une épaule. Mais il aurait souffert de complications inattendues tellement que samedi par communiqué le groupe FCA a annoncé qu’il ne reviendrait pas à la tête de Fiat, le plius important employeur privé d’Italie et 9e constructeur automobile de la planète.

Pour l’italie c’est une perte presqu’aussi légendaire que celle d’Enzo Ferrari en 1988.

La famille Agnelli, propriétaire historique de Fiat s’est dit, par voie de communiqué, que c’était avec grande tristesse qu’ils apprennaient la mort de Sergio Marchionne.

Un peu à la Steve Jobs, Sergio Marchionne était le dirigeant d’entreprise aux éternels pulls ou polos noirs.

Il est l’homme qui a sauvé Fiat de la faillite. Il avait pris les commandes du groupe Fiat en 2004, pour le remodeler profondément, en le redressant, puis en 2014, le fusionné en parti avec le 3e constructeur américain, Chrysler, tout en créant une division CHN Industrial pour y regrouper les activités de gros moteurs et camions et séparer le joyau du groupe, Ferrari.

À l’annonce du décès de Sergio Marchionne, les députés de la Camera dei deputati du parlement de la République italienne ont observé une minute de silence, qui s’est ensuite terminée par des applaudissements.

Les médias et une grande partie de la classe politique de par le monde n’ont d’ailleurs cessé ces derniers jours de lui rendre hommage, même si son franc-parler et sa culture anglo-saxonne en ont souvent fait grincer des dents plus d’un.

Silvio Berlusconi, ancien chef du gouvernement italien, a souligné que l’histoire de Marchionne était une belle histoire italienne, celle du fils d’un carabinier obligé d’émigrer, qui a su faire honneur à son pays par les études et le travail jusqu’à devenir l’une des figures emblématique du génie italien dans le monde.

Samedi dernier, face l’éminnence de sa mort, le groupe FCA a dû trouver en urgence des successeurs à Sergio Marchionne. Ainsi, le patron de la division Jeep, Mike Manley, a pris la tête de FCA, et l’ancien directeur général de Philip Morris, Louis Carey Camilleri, celle de Ferrari, tandis que la présidence de CNH Industrial est désormais assurée par la Britannique Suzanne H. Wood. Trois personnes pour en remplacer une.

Dans les paddocks à Hockenheim le week-end dernier, plusieurs rumeurs couraient au sujet de qui s’alignera avec Ferrari l’an prochain aux côté de Sebastian Vettel. Marchionne était un grand partisan de Charles Leclerc. Maintenant mort, est-ce que Leclerc ira chez Ferrari ou bien si son directeur Maurizio Arrivabene resignera Kimi Raikkonen.  À en croire la conversation radio interceptée durant le Grand Prix de Hockenheim entre Raikkonen et Jock Clear son ingénieur en chef, alors que ce dernier lui demande indirectement de laisser passer Vettel derrière lui, et que Raikkon répond d’être plus clair, on peut croire que les tensions sont vives actuellement entre Raikkonen et la Scuderia.

Malgré le décès de Sergio Marchionne, FCA a maintenu l’annonce de ses résultats trimestriels prévus ce 25 juillet. Ces résultats, les derniers de l’ère Marchionne, s’annoncent pour être un record.

À l’ouverture des marchés boursiers les actions de FCA (en Italie et aux États-Unis) décroche respectivement de 9% et 10%.

Max "Worsthappen" Verstappen qui vient d'entrer en collision avec Sebastian Vettel

F1: Max Worsthappen frappe encore

Au Grand Prix de Chine à Shanghai, Max Verstappen, qu’AutoCarbure surnomme maintenant Worsthappen, a encore frappé.

Son agressivité et sa témérité ont encore pris le dessus dans sa tête pour causer d’autres dommages à ses adversaires.

Cette fois-ci sa victime est Sebastian Vettel de chez Ferrari avec qui il est entré en collision au 44e tour et ce sans équivoque.

Nous pensons chez AutoCarbure que Max Verstappen doit être sanctionné par la FIA. Une suspension, rien de moins. Une sanction qui le fera réfléchir. Les pilotes de F1 sont en danger quand Verstappen est sur la piste. Nous pensons que les pilotes de F1 devraient tenir une réunion et donner un sévère avertissement à Verstappen.

Verstappen s’est vu imposer une pénalité de 10 secondes pour avoir causer délibérement une collision. 10 secondes ajoutées à son temps final.

Mais une telle pénalité est une vraie farce pour la F1 et ses fans.  Cette pénalité de 10 secondes a coûté à Verstappen qu’une place mais n’a aidé en rien sa victime Sebastian Vettel qui au final aura terminé 8… loin derrière Verstappen.

La pénalité imposée à Verstappen aurait dû être rien de moins qu’un drapeau noir (disqualification) ou du moins un passage obligatoire par les puits et l’imposition d’un décompte de 10 secondes.

Au final Daniel Ricciardo sur Red Bull aura remporté ce Grand Prix devant Valterri Bottas et Kimi Raikkonen. Lewis Hamilton termine 4e et Max Worsthappen termine 5e.

Quant au québécois Lance Stroll, parti en 18e position, il a connu un excellent départ gagnant 6 places après le premier tour au final il termine en 14e place.

Cet incident de Worsthappen relance le championnat des conducteurs. Sebastian Vettel est toujours en tête avec 54 points mais Lewis Hamilton n’est plus qu’à neuf points de lui.

En entrevue à la fin du Grand Prix, Sebastian Vettel a mentioné que Verstappen a passé le cap de mettre un tel incident sur la faute de son inexpérience en F1.

Ferrari

Sebastian Vettel remporte le Grand Prix d’Australie

Sebastian Vettel a remporté le Grand Prix d’Australie 2018 au volant de sa Ferrari tout juste devant le champion du monde en titre Lewis Hamilton sur Mercedes.

Kimi Raikkonen, sur Ferrari, a terminé en 3e position.

Daniel Ricciardo sur Aston Martin – Red Bull termine 4e et ce qui augure bien comme résultat pour McLaren, Fernando Alonso termine 5e. Il semble que le pari de McLaren d’abandonné le motoriste Honda pour Renault rapporte déjà.

Le québécois Lance Stroll termine quant à lui en 14e position.

Pour se hisser en tête, Sebastian Vettel a profité d’un ralentissement du peloton provoqué par la voiture de sécurité virtuelle (VSC), tout juste avant la mi-course, pour ressortir de son arrêt aux puits juste devant Lewis Hamilton et lui résister jusqu’à la fin afin de décrocher sa troisième victoire en carrière en Australie.

On a pu apprendre durant cette course que Sebastian Vettel est entré dans un club très sélect. Celui d’avoir effectué un 3 000e tour du meneur d’un Grand Prix en carrière. Il rejoint ainsi Lewis Hamilton et Michael Schumacher dans ce club très sélect.

L’écurie américaine Haas dont Ferrari fournit les moteurs étaient en belle position sur la grille 4e et 5e mais les pilotes Danois Kevin Magnussen et le Français Romain Grosjean ont dû coup sur coup avandonné quelques secondes après avoir ravitaillé et ce pour la même raison: mauvais serrage d’une roue.

La voiture Haas de Grosjean étant très mal placée, la VSC a été remplacée par une vraie voiture de sécurité, sur la piste ce qui a permis à Sebastian Vettel de confirmer sa 1ere position sur la piste avant la relance.

La toute nouvelle saison de F1 a offert une nouvelle signature infographique pour mieux suivre le Grand Prix. Ainsi tout au long de l’événement lorsque des prises de vue suivaient des voitures, il était indiqué à l’écran à quel section du circuit, Albert Park, l’angle de caméra était pris. Aussi lorsqu’il y avait une « bataille » pour une position, c’était bien indiqué dans l’infographie. Les pilotes ayant abandonné sont aussi mieux indiqué dans l’infographie cette saison.

Dans l’ensemble ce fût une meilleure expérience télévisuelle que l’an passé.

Le Grand Prix d’Australie aura permis de constater de belles avancées pour les écuries McLaren et Haas. Il pourrait donc y avoir une rivalité à 3 écuries pour la 3e position du championnat des constructeurs entre McLaren, Hass et Aston Martin – Red Bull.

Quant à Williams, le très expérimenté et retraité Felipe Massa risque de manqué pour son apport aux différents réglages. Le pilote doyen de l’équipe est maintenant Lance Stroll. Évidemment Robert Kubica est le pilote d’essai. Mais ce dernier ne participe pas aux essais libres du vendredi ni aux qualifications du samedi.

 

Le circuit d'Albert Park à Melbourne hôte du Grand Prix d'Australie

La saison 2018 de F1 débute ce week-end en Australie

Les voitures F1 ont roulé cette nuit en Australie (heure du Québec) pour les premiers essais libres du Grand Prix de Melbourne, première épreuve de la saison 2018.

Le champion du monde en titre, Lewis Hamilton a dominé ces essais avec un temps de 1:23.931 devant Max Verstappen et son coéquipier chez Mercedes Valtteri Bottas.

Ensuite viennent les deux Ferrari en 4e et 5e position, dans l’ordre Raikkonen et Vettel.

Le Québécois Lance Stroll  et sa Williams n’a pu faire mieux qu’une 14e place à près d’une seconde et demie de Hamilton.

Du côté de McLaren et son nouveau moteur Renault, le pilote Espagnol Fernando Alonso a fait le 8e meilleur temps ce qui augure bien.

La saison 2018, a de grandes expectations pour les écuries de haut niveau. Celles de second plan espère atteindre un podium de temps à autre et se classer parmi les 4 et 5 top écuries.

Ce qui retient l’attention en F1 ces jours-ci sont les menaces de départ du grand patron de Ferrari, Sergio Marchionne, qui menace de quitter le grand cirque de la F1 à la fin de la saison si Liberty Media s’acharnait à ne pas les laisser travailler en toute liberté.

Au final le grand patron de la Scuderia a dit « Si l’on ne peut plus différencier un concurrent de l’autre d’un point de vue technique », alors ce sport « ne l’intéresse plus ».

Ferrari qui quitterait la F1 serait comme les Yankees de New York qui quitte la MLB, les Canadiens de Montréal la LNH ou encore les Celtics de Boston quittant la NBA.

Liberty Media devrait s’ajuster et se rappeler que la F1 ce n’est pas le NASCAR et quant au PDG de Ferrari il devra se mettre en tête qe son écurie ne peut être plus grande que son sport.

C’est toute une saison 2018 qui promet tout au cours des 21 épreuves de la saison. Ne manquer pas la 7e épreuve, le Grand Prix du Canada.

N’oubliez pas que si vous désirez suivre le Grand Prix d’Australie, celui-ci a lieu dans la nuit de samedi à dimanche pour les québécois.

Renault

F1: Le nom Renault devrait briller davantage comme motoriste en 2018

Pour ceux qui ne le savent pas encore , lors de la saison 2016 ça été le grand retour de Renault en F1 comme constructeur. Ça passé inaperçu pour plusieurs car l’an passée pour la majorité des fans de F1 québécois, tous les yeux étaient rivés sur Lance Stroll.

La performance de Renault durant les saisons 2016 et 2017 ont aussi passé inaperçu. 41 Grand Prix de disputés, aucune victoire, aucun podium… aucun meilleur tour. 9e constructeur au championnat en 2016, 6e en 2017.

La saison 2018 de Renault Sport Fomula One Team se fera encore avec les pilotes Nico Hückenberg (Allemagne) et Carlos Sainz Jr. (Espagne). Passablement les mêmes que l’an passée alors que Joylon Palmer (Angleterre) a quitté après le Grand Prix du Japon.

Rien ne s’annonce bien mieux sous le soleil pour la saison 2018 de Renault Sport Formula One Team.

Bien camouflé sous une tonnes de commanditaires, Renault flamboyait plutôt dans l’ombre pendant les dernières saisons sous l’écurie Red Bull qui devient en 2018 l’écurie Aston Martin – Red Bull mais toujours propulsé par un moteur Renault masqué au nom du commanditaire suisse TAG Heuer.

Renault devrait à nouveau flamboyer, avec mention cette saison, du côté de l’écurie McLaren puisqu’elle leur fournira le moteur, alors que McLaren a mis fin à son entente avec le motoriste japonais Honda. Des problèmes de moteurs à répétitions sont venus minés la collaboration des deux entreprises.

Ainsi Renault va doublement compétitionner sa propre écurie en fournissant son moteur à McLaren qui elle semblait posséder tout les éléments sauf un moteur fiable et bien sûr à Aston Martin – Red Bull.

McLaren est certaine que le problème qui l’empêche de redevenir compétitive est le moteur (on a pu le voir dans la mini série Grand Prix Driver produite par Michael Douglas). Alors elle espère accumuler des podiums avec le moteur Renault cette saison. McLaren a un historique de victoire en F1, elle se classe seconde parmi tous les constructeurs pour le nombre de victoires avec 182. Seule l’écurie Ferrari est devant eux.

Sauf que McLaren n’a pas goûté à la victoire d’un championnat de constructeur depuis 1998 et elle a connu un hiver difficile avec les essais. Malgré tout, toute l’équipe de McLaren est optimiste et toujours satisfaite de son choix de délaisser Honda au détriment de Renault. Si les résultats sont là, cela fera briller le nom Renault comme motoriste.

Ainsi cette saison, qui débute le 25 mars en Australie, il y a 10 écuries inscrites au championnat et les moteurs de ces 10 écuries sont fournis par Ferrari (3), Mercedes (3), Renault (3) et Honda (1). Avec l’américaine Liberty Media propriétaire du grand cirque de la F1 à quand le retour d’un motoriste américain en F1 ?

 

 

Ferrari

Dévoilement de la voiture SF71H chez Ferrari pour la saison 2018

La Scuderia Ferrari a dévoilé hier sa voiture 2018 SF71H pour la saisons de F1 à venir.

Le directeur technique de l’écurie italienne, Mattia Binotto, a indiqué que les principales différences avec la voiture de 2017 sont un empattement un peu plus allongé, des prises d’air latérales plus agressives et une carrosserie très étroite.

C’est au niveau de l’aérodynamisme que la voiture aurait été le plus amélioré.

Obligation 2018, la voiture est également équipée du halo protecteur requis. Beaucoup de pilotes se sont plaint de ce halo qui leur coupe la vue en deux. Sa présence est un peu comme si vous conduisiez votre véhicule avec une barre noire en plein centre de votre champ de vision dans votre pare-brise.

Le pilote quadrule champion du monde, Sebastian Vettel a déclaré: « Cette voiture est une grande amélioration par rapport à celle de l’an dernier.»

Avant même les essais, les preneurs aux livres de Las Vegas établissent les chances de Sebastian Vettel de remporter le championnat du monde à 4 contre 1. Celle de Lewis Hamilton, le favori, à 11 contre 8.  Max Verstappen est favori à 9 contre deux.

Les fans de la Scuderia espèrent enfin une victoire d’un de leur pilote Ferrari au championnat des conducteurs, elle qui n’a pas remporté ce titre depuis 2007.

Toujours pour le plaisir des fans et aussi pour la constance de la marque, Ferrari a dévoilé une SF71H avec beaucoup plus de rouge sur celle-ci.

Voyez cette vidéo qui dévoile la SF71H.

2014 Ferrari California

2014 Ferrari California notre trouvaille de la semaine du 29 janvier 2018

AutoCarbure.com a cette semaine une trouvaille de luxe. Une 2014 Ferrari California. Notre trouvaille de la semaine du 29 janvier 2018.

Le véhicule a été trouvé sur le populaire site Internet d’annonces classées LesPacs.com.

Comment cette Ferrari California a-t-elle été trouvée? En cherchant le véhicule de luxe le plus cher en vente sur ce site Internet.

La Ferrari California est une belle décapotable. Elle est encore sous garantie jusqu’au 8 mai 2019 et l’entretien complète assurée jusqu’au 8 mai 2021.

Elle n’a que 15 600 kilomètres au compteur.

Un véhicule de type coupé deux portes, idéal pour deux personnes car les places arrières sont restreintes.

Cette Ferrari California est munie d’une transmission automatique à double embrayage à 7 vitesses avec un mode manuel.

Son moteur est un 8 cylindres de 4,3 litres. Sa puissance est de 490 chevaux et son torque de 373 livres-pied. Elle peut faire le 0-100 km/h en 3,8 secondes. Elle peut atteindre une vitesse de pointe de 310 km/h.

Point de vue aérodynamisme, en 2014, cette Ferrari était la plus aérodynamique jamais construite avec un coefficient de traînée de 0,32 et ça avant la construction de la Ferrari F12 Berlinetta qui elle possède un coefficent de traînée de 0,29.

La couleur du véhicule est bleu pozzi. Son intérieur est beige.

Le véhicule est en vente à Brossard en Montérégie et le prix demandé est de 209 000$.

La Ferrari California est assemblée à l’usine de Maranello en Italie. Elle a été construire de 2008 à 2014.