2018 Toyota Prius V groupe technologie

2018 Toyota Prius v avec Groupe Technologie à 992$ par mois

La mode de mise en marché sur les véhicules ces dernières années est l’environnement et le plus petit paiement possible en jouant sur les termes et la période de celui-ci.

AutoCarbure a voulu savoir ce qu’il en était vraiment du paiement d’un véhicule hybride acheté à un standard de jadis, c’est à dire payé en 48 mois, 4 ans.

Nous nous sommes donc rendus sur le site Internet de Toyota Canada.

Nous avons regardé le modèle 2018 Toyota Prius v avec en option le Groupe Technologie. Quelques options ont été ajoutées tels que les tapis proctecteurs toutes saisons, la doublure de compartiement de charge ainsi que le déflecteur de capot. À cela il faut ajouter les taxes de ventes.

On invente rien, le prix de la mensualité pour un terme de 48 mois monte à 992,19$. Bien sûr le tout avant la subvemtion versée par le gouvernement du Québec. Celle-ci s’élève à… 0$… Selon le site Internet du gouvernement ce modèle 2018 n’entre pas dans les critères pour une subvention.

Le prix total demandé par Toyota est de 43 951,45$.Le tout financé à 3,99% par année.

Maintenant, que pouvons-nous obtenir à 43 951,45$ si on ne tombe pas dans l’électrique ou l’hybride chez Toyota et comparable à la Prius en termes de grandeur et de confort?

On s’est donc tourné vers la 2018 Toyota Corolla IM CVT, donc avec transmission automatique, toujour sur le site Internet de Toyota Canada. Le prix total avec des options similaires choisies avec la Prius, le tout taxes incluses: 29 030,27$. Pour des mensualités de 604,80$ toujours pour un termes de 48 mois et financé à 0%. C’est tout de même une différence mensuelle de 383$.

Alors que préférez-vous? Payez davantage maintenant pour la Prius ou avoir 14 900$ dans vos poches pour payer de l’essence en optant pour la Corolla IM. Avec autant d’argent vous pourrez rouler avec 11 000 litres d’essence avec la Corolla. La Prius pour le même prix, vous n’avez encore rien débourser pour rouler.

11 000 litres d’essence c’est assez pour parcourir 145 000 kilomètres avec votre 2018 Toyota Corolla IM CVT.

De plus, il vous est possible de diminué la mensualité de votre Corolla IM à 489,89$ en choisissant un terme de 60 au taux de financement fort avantageux et plus avantageux que la Prius, à 0,49%.

Prix total de la configuration de la 2018 Toyota Prius

2018 Toyota Prius V groupe technologie

Prix total de la configuration de la 2018 Toyota Corolla IM Cvt

2018 Toyota Corolla IM cvt

Même configuration avec un terme de 60 mois.

2018 Toyota Corolla IM CVT terme de 60 mois

On a fait le même exercice d’étirer le terme avec la 2018 Toyota Prius mais le taux de financement augmentait à 4,49% pour 60 mois et à 4,79% pour 72 mois, 6,34% pour un terme de 84 mois.

Nous comprenons parfaitement chez AutoCarbure que les deux véhicules comparés n’ont pas la même empreinte écologique à l’utilisation mais il semble que le souci d’écologie a un fort prix à payer dans ce cas-ci.

 

smart effectue un virage électrique en Amérique du Nord

La raison du virage électrique de smart en Amérique du Nord

Aujourd’hui on apprenait le virage électrique de smart en Amérique du Nord dès l’arrivée de ses modèles 2018.

Après supposément avoir déçue avec des modèles à essence 2017, voilà que smart offrira à ses clients nord-américain que des versions électriques.

Son prix est encore incinnu, son autonomie sera d’environ 160 km, et son arrivée au Canada est prévue pour juillet.

La version à essence de base de la smart est à 17 300$, un prix élevé alors qu’au même prix on peut avoir une berline pas mal plus spacieuse chez un compétiteur.

La version électrique à venir pourrait se vendre aux alentours de 25 000$. Somme à laquelle il faut soustraire 8 000$ du rabas accordé au Québec pour l’acquisition d’une voiture électrique.

17 000$ pour un véhicule électrique ça devient abordable.

Mais tout ça est de la bouillie pour les chats.  Actuellement la version électrique de la smart se vend aux alentours de 26 990$ auquel vous déduisez le rabais de 8 000$ accordé par le gouvernement.

La raison logique est que Daimler AG, fabricant de la smart, continuera à offrir ailleurs dans le monde sa version à essence. Mais en amérique du Nord et surtout au Québec, elle sera épié de quota de voitures électriques vendues versus ses modèles diesel et à essence.

Quoi de mieux alors que de plaire aux gouvernements, régisseur de cette loi, que d’offrir un modèle de smart uniquement électrique.

Qu’on se comprenne, la smart électrique se vend très peu actuellement. Il ne se vendra pas plus de smart lors de l’arrivée du modèle 2018. Mais Mercedes pourra continuer de vendre ses voitures plus haut de gamme à essence sans pénalité car son offre de voiture électrique aura augmenté parmi ses concessionnaires à travers l’Amérique du Nord.

Tout le monde n’y verra que du feu.

La directrice des communications de Mercedes-Benz Canada a confirmé en entrevue à La Presse que la catégorie microvoiture est en baisse, nettement partout.

C’est très simple à expliquer pourquoi la microvoiture est en baisse partout. De un ce sont de véritables tape cul pas adapté à la vie nord-américaine. De plus, le prix de l’essence à la pompe a baissé partout en Amérique du Nord, sauf au Québec où le gouvernement nous rit en pleine face avec son prix plancher et son appétit pour les taxes. Pas besoin d’aller bien loin pour voir un écart de 30 à 50% plus bas à la pompe. Allez juste en Ontario, au New Hampshire, au Vermont et dans l’État de New York.

Autrement dit, bientôt les québécois rouleront massivement avec des brouettes subventionnées alors que le reste de l’Amérique du Nord va rouler en confort et de façon plus spacieuse.

 

Jauge essence

De l’essence à 0,947$ le litre en Montérégie et gel de prix pour vos achats futurs?

De l’essence à 0,947$ le litre en Montérégie, ce prix était disponible tard samedi soir dernier le long de l’autoroute 20, à deux endroits.

Au légendaire Big Stop de Saint-Liboire qui se passe maintenant de présentation tellement que cet arrêt sur l’autoroute Jean-Lesage est devenue un incontournable. Jadis tout près du Big Stop, inexistant à l’époque, l’endroit était connu pour des raisons plus légères, maintenant fermé, et le Big Stop ouvert, Saint-Liboire est connu pour des raisons de ravitaillement. Le même prix a été observé un peu plus loin à Sainte-Hélène-de-Bagot, et ce, dans les stations-service localisées des deux côtés de l’autoroute.

Est-ce un prix avantageux de milieu d’été avant l’assomoir de l’automne, où à peu près tous les spécialistes s’attendent à une flambé du prix du brut, i.e. donc de l’essence, sur les marchés mondiaux? On le saura lors du prochain solstice.

En attendant, il faut en profiter, ça risque certainement d’être le calme avant la tempête.

Aussi, une chose qui serait intéressante de développer au Québec, c’est la possibilité d’acheter d’avance, un nombre déterminé de litres d’essence, afin de profiter d’un gel de prix.

Par exemple, si je trouve qu’à 94,7 cents le litre, que c’est un prix avantageux, j’achète en avance auprès de la station services 300 litres d’essence. Celle-ci m’assure de me procurer de l’essence dans le futur, à ce prix et ce mallgré les hausses potentielles du prix à la pompe. Évidemment, si les prix chutent, c’est malheureux, mais vous payerez tout de même 94,7 cents le litre.

Cela serait un excellent moyen pour le consommateur de profiter de rabais sur une plus longue durée et pour le revendeur d’essence d’augmenter ses liquidités immédiates, i.e. ses ventes.

Si cette possibilité de gel de prix existe déjà, il faudrait qu’elle soit publicisée davantage par les grandes pétrolières, car elle est présentement méconnue du grand public. Sinon AutoCarbure.com est fier de lancée l’idée en espérant que des décideurs du milieu pétrolier sauront attraper la balle au bond.

Concours. Jusqu'à 600$ d'essence avec Girard Automobile

Gagner jusqu’à 600$ d’essence avec Girard Automobile

Courez la chance de gagner jusqu’à 600$ d’essence avec Girard Automobile. C’est le concours que AutoCarbure.com vous fait connaître en cette semaine du 27 juin 2016.

Le prix initial est 300$ en essence et il peut être doubler si vous partagez avec 3 de vos amis sur Facebook.

Pour participer, il suffit  d’aimer la page Facebook de Girard Automobile et de compléter le bulletin de participation en remplissant correctement tous les champs. Suivez les instructions afin de confirmer que vous êtes admissible et que vous avez lu et accepté de vous conformer aux règlements de participation.

Vous devez soumettre votre bulletin de participation au plus tard le 4 juillet 2016 à 15 h HE

 

Bond de 19% de l’essence ce 17 février à Montréal

Bond de 19% de l’essence ce 17 février à Montréal, subitement les pétrolières affichent le litre d’essence à 1,05$ alors que la veille il était 88,9 cents.

Qu’est-ce qui peut justifier une telle hausse du prix de l’essence à la pompe?

Bon nombre d’entre-vous vont dire que les pétrolières veulent s’en mettre davantage dans les poches.

C’est faux. Pendant ce temps à Edmonton, même pays et mêmes pétrolières, le prix du litre d’essence est à 57,4 cents.

Qu’est-ce qui fait donc que le prix de l’essence a subitement augmenté à Montréal pour se vendre 82% plus cher qu’à Edmonton?

Il faut se tourner vers le gouvernement du Québec et sa Régie de l’Énergie qui fixe le prix plancher auquel les pétrolières n’ont pas le droit de vendre plus bas.

Ainsi via cette régie, le gouvernement du Québec s’assure d’un taux minimal de taxation.

En fait lorsque le prix est à 1,05$ le litre comme présentement à Montréal, le gouvernement récolte plus de taxes que le prix de vente du litre d’essence à Edmonton.

Alors cessez chers consommateurs de blâmer les pétrolières mais blâmez plutôt le gouvernement.  Ce dernier empêche une vive compétition entre les pétrolières afin qu’elles vous offrent un meilleur prix à la pompe.

Que chantait Charlebois déjà? « . Blâme pas le gouvernement. Mais débarrasse toi z’en ».

Le Québec est-il prêt pour de la livraison d’essence à domicile?

AutoCarbure s’est demandé si le Québec était prêt pour de la livraison d’essence à domicile ou au bureau.

Dans les journaux de ce temps là, il ne se passe pas une journée sans qu’on parle d’oléoduc, d’exploitation pétrolière à Anticosti, les médias du Québec semble être anti-pétrole et anti-essence.

Paraît-il que les propriétaires de voitures électriques sont contents de ne plus aller aux station-service allant même pour certains à faire un doigt d’honneur en passant devant une ou encore une petite grimace espiègle.

Ce bonheur pourrait maintenant être à la portée des propriétaires de véhicules à essence.

Une petite entreprise du Texas, Booster Fuels, propose avec sa flotte de véhicule, de faire la livraison d’essence à votre domicile ou au bureau. L’entreprise offre aussi la possibilité aux compagnies de location de faire le plein de tout leurs véhicules le soir avant qu’ils soient loués le lendemain.

Le service est simple et efficace. Le client, via une application installée sur son téléphone intelligent commande un plein d’essence de Booster Fuels et un camion de l’entreprise via les coordonnées GPS livrés par l’application s’occupe d’effectuer la livraison d’essence à l’heure choisie par le client.

Pour l’instant Booster Fuels offre de l’essence ordinaire et du super, peut-être qu’éventuellement elle étendra cette offre à du diesel pour permettre aussi de servir les camionneurs.

Difficile de dire si le Québec est prêt pour de la livraison d’essence à domicile, mais étant donné qu’il y a déjà depuis des années de la livraison d’huile à chauffage à domicile et qui se fait en toute sécurité, on peut croire que c’est aussi sécuritaire de livrer de l’essence et pourquoi pas en livrer également pour un tracteur à pelouse, moto ou tout autre véhicule à essence ou diesel?

De l’essence à 89 cents à Montréal, du jamais vu depuis 7 ans.

C’était en 2009 la dernière fois qu’on a vu de l’essence à 89 cents à Montréal le litre, il y 7 ans, en pleine crise économique aux États-Unis.

L’essence était à 88,9$ le litre, vendredi soir, au coin De Lorimier et Maisonneuve.

Avec un baril de pétrole sous les $27, on peut parier que le prix de l’essence pourrait se chiffrer à 82 cents d’ici 6 semaines.

Six semaines, c’est le temps en moyenne que le baril extrait du sol, soit converti en essence.

Mais au Québec il y a un facteur qui est différent qu’ailleurs en Amérique du Nord. L’appétit vorace du gouvernement qui veut toujours de plus en plus de taxes. Cet appétit fait varier le prix de l’essence du côté du gouvernement et non du côté du consommateur.

C’est via la Régie de l’Énergie que le gouvernement s’assure de son niveau de taxation sur un litre d’essence, en établissant un prix plancher. Soit un prix sous lequel les pétrolières ne peuvent pas vendre. Chaque semaine la Régie de l’Énergie émet le prix plancher par région et les pétrolières doivent respecter ce prix.

C’est pour cette raison qu’actuellement à Montréal l’essence est à 88 cents le litre alors qu’à Ottawa, mêmes pétrolières, même pays mais province différente, le prix du litre d’essence est à 79 cents le litre.

Certes, ce n’est que 9 cents de différence le litre, mais tout de même 12% plus cher à Montréal qu’à Ottawa et ce simplement à cause du prix plancher de la Régie de l’Énergie qui empêche toute compétition entre les pétrolières au Québec. À la place le gouvernement fait exactement ce qu’il empêche par des lois, c’est à dire, la fixation de prix.

Le consommateur est celui qui a le plus à perdre dans tout cela. Si seulement la Régie de l’Énergie fixait un prix plafond, là on pourrait dire que ça sert le consommateur, non à la place, elle fixe un prix plancher.

En terminant si vous croyez que de l’essence à 89 cents c’est une bonne affaire, imaginez les habitants de Rochester au Minnesota pour qui l’essence est présentement à $1,34 le gallon soit l’équivalent en litre et en dollars canadiens à 49 cents. Soit 55% moins cher qu’à Montréal, Québec, Canada.

Société distincte avec un gouvernement qui carbure aux taxes, ce devrait être ça la vraie devise du Québec. En attentant que ça change, profitez de l’essence à 89 cents à Montréal.

Des recharges aux bornes électriques si populaires au Québec? On se calme!

Le Circuit électrique de bornes électriques alimentées par Hydro-Québec a connu une année 2015 que la société d’État qualifie «d’exceptionnelle».

Qu’est-ce qu’il y a de si exceptionnel?  46 000 recharges effectués aux bornes du réseau en 2015.

La société en rajoute en mentionnant qu’en un an, le nombre de recharges mensuelles sur les bornes électriques de son réseau a plus que doublé, passant de 2 600 à 6 300 recharges.

Sincèrement, y a pas de quoi écrire à sa mère, pourquoi donc?

Parce que si le parc automobile québécois n’avait qu’un simple 5% de véhicules élecriques, le réseau en place ne tiendrait pas la route et la société d’État devrait sortir les milliards pour mettre en place un réseau efficace avec davantage de bornes électriques et ce en augmentant davantage le coût du kilowatt/heure aux clients résidentiels québécois.

Or, le parc automobile actuel au Québec n’a même pas 1% de véhicule électrique, en fait quelque part entre 0,13% et 0,16% probablement moins de 8 000 véhicules. Or avec 8 000 véhicules, il est normal que les bornes du réseau d’Hydro-Québec aient connu 46 000 recharges en 2015, même que être la société d’État je me questionnerait à savoir pourquoi les 8 000 véhicules n’ont utilisé le réseau que moins de 6 fois chacun en moyenne pour l’année.

Rappelons que le gouvernement du Québec veut atteindre la cible de 80 000 véhicules électriques sur le parc automobile québécois pour 2020. C’est dans moins de quatre ans. Il faudrait qu’au courant des 47 prochains mois, que les québécois achètent par mois 1 500 véhicules électriques pour atteindre cette cible. La marche est donc très haute voire impossible. Mais il y a fort à parier que le gouvernement va user de généreuses subventions à la hausse pour insciter les québécois acquérir des véhicules électriques ou encore il va taxer davantage l’essence pour étouffer davantage les contribuables et ainsi qu’ils rangent leur véhicule pour opter pour le transport en commun et ainsi que la proportion de la voiture électrique augmente versus le parc automobile en place en 2020.

Avec les récentes hausses des droits d’immatriculation à la SAAQ pour les véhicules ayant un moteur de plus de 3,9 litres, le gouvernement québécois est en train d’étouffer l’automobiliste.

Pour l’instant peu d’automobilistes ont réussit à être convaincus de payer 35 000$ pour acquérir une Chevrolet Volt alors que pour le même montant ils peuvent s’acheter une Hyundai Elentra et mettre 10 000$ d’essence dans leur réservoir afin de pouvoir parcourir plus de 100 000 kilomètres.  La plupart de ceux qui l’ont fait sont des travailleurs professionnels, des entrepreneurs ou ceux qui sont appellés en technologie les early adapters qui sont toujours une poignée à se lancer sur les nouvelles technologies parfois de façon aveugle.

Ventes automobiles records aux États-Unis en 2015

L’essence à bas prix a contribué à faire augmenter les ventes automobiles aux États-Unis en 2015. Des ventes records pour l’ensemble des constructeurs (GM, Ford, FCA, Nissan, Toyot, Mazda…).

Selon les données de décembre, l’industrie automobile américaine a vendu 17,47 millions de véhicules neufs en 2015.

Le chiffre record de 17,35 millions de véhicules vendus a été établi en 2000.

Pour Ford, premier dans les ventes de camions aux États-Unis, 2015 est aussi une année record, la précédente où elle a vendu autant de camions est en 2006.

2016 pourrait aussi être une année record de ventes automobiles selon les spécialistes du milieu automobile, mais deux points d’interrogation demeurent et pourraient grandement influencer les ventes.  La hausse des taux d’intérêts qui fait aussi augmenter les paiements mensuels des véhicules financés est un point majeur.

L’autre point majeur est le prix de l’essence. Demeurera-t-il aussi bas en 2016? Un prix de l’essence aussi bas est bon pour les ventes de véhicules mais à trop long terme cela affectera le marché de l’emploi du lucratif secteur pétrolier des états américains comme le Texas, l’Alaska et la Pennsylvannie qui est déjà affecté avec de nombreuses mises à pied du côté des extracteurs de gaz de schiste.

 

 

2016 Chevrolet Bolt EV

La 2016 Chevrolet Bolt EV, l’avenir du véhicule électrique?

Selon GM, la toute nouvelle Chevrolet Bolt EV promet d’être l’avenir du véhicule électrique.

C’est pompeux et même très prétentieux. L’annonce-t-on pour la lignée 2016 ou 2017? Ce n’est pas clair.  Sur le site web de Chevrolet, dans l’URL on peut lire 2016, mais il semble qu’elle serait dévoilée en janvier 2016 pour la lignée 2017. Rien de clair de ce côté.

Chevrolet écrit sur son site web que la Bolt est l’avenir du véhicule électrique à grande autonomie, la voiture concept Bolt EV oriente le design Chevrolet dans d’audacieuses nouvelles directions. Avec une autonomie évaluée à plus de 300 kilomètres1, la voiture concept matérialise la vision Chevrolet d’un véhicule électrique mondial abordable.

Abordable, vraiment?

$30 000 US (40 000 dollars canadiens ) avant la préparation, le transport et les taxes. Aussi bien dire 48 000$. À 48 000$ taxes incluses, vous obtenez un beau véhicule à essence avec une autonomie de plus de 500 km.  Au prix que se vend l’essence en ce moment, il faut y penser deux fois avant de se tourner vers e véhicule électrique qui est loin d’être abordable.

48 000$ pour un véhicule de type  crossover qui offre une autonomie de charge de 320 km.  Il faut avoir le goût de l’électricité à tout prix.

Ça demeure un véhicule de type Chevrolet, un genre de Spark surgonflé mais plus joli que la Chevrolet Volt.

Impossible de connaître au moment d’écrire ses lignes, les dimensions du véhicule. Peut-être que le véhicule sera en montre au Salon Internatonial de l’Auto de Montréal, plus tard ce mois de janvier.

Est-ce que la Chevrolet Bolt est fait sur mesure pour compétitionner le Model X de Tesla Motors? Aucunement, on ne parle pas ici de la même gamme de véhicule et surtout pas du même prix, $132 000 US.