taxi

Québec viens d’accorder une aide de 32 000$ pour chaque permis de taxi

Sans tambour et surtout sans trompette, le gouvernement du Québec viens d’accorder une aide de 32 000$ pour chaque détenteur d’un permis de taxi,

250 000 000$ au total. Vu le nombre de permis de taxi en vigueur cela équivaut à une aide de 32 000$.

C’est passé en douce dans le budget du gouvernement qui a été dévoilé hier à l’Assemblée Nationale du Québec.

Pire encore, le gouvernement est en train d’étudier à savoir si 250 millions seront suffisants.

Cette première tranche de 250 M$ proviendra du Fonds des réseaux de transport terrestre, financé principalement par la taxe d’accise sur l’essence et les droits d’immatriculation des automobilistes québécois. Le projet-pilote d’Uber (oui c’est toujours un projet pilote) finance également le Fonds, à hauteur d’environ 10 M$ annuellement.

L’industrie du taxi réclamait 1 milliards, elle aura 250 millions.

Il a été établit qu’en 2014, la valeur moyenne d’un permis de taxi au Québec était d’environ 200 000 $. Depuis l’arrivée d’Uber, celle-ci est passée à 118 375 $ sur l’île de Montréal et à 144 333 $ dans la ville de Québec. Oui plus cher à Québec car c’est ministériel, n’oubliez pas!

Le gouvernement du Québec avait déjà octroyé 44 millions à l’industrie du taxi afin de se moderniser.

Ce gouvernement aime aider des industries sur le déclin. Dans le même budget il est prévu une compensation afin d’aider les médias (lire ici les journaux) à prendre le virage numérique.

1961 Alfa Romeo

1961 Alfa Romeo Giulietta Sprint notre trouvaille de la semaine du 11 décembre 2017

Sur le populaire site Internet d’annonces classées LesPAC, nous avons trouvé une 1961 Alfa Romeo Giulietta à vendre. C’est notre trouvaille de la semaine du 11 décembre 2017.

Sans aucun doute cette 1961 Alfa Romeo Giulietta Sprint est une voiture de collection. Elle n’a été produite qu’à 24 084 exemplaires de par le monde.

Le véhicule, deux portes, est très propre. De couleur blanc ivoire à l’extérieur et navy à l’intérieur.

Elle a seulement 42 725 kilomètres au compteur.

Son moteur de 1,6 litres déploie 91 chevaux. Malgré ce petit moteur, le véhicule peut tout de même atteindre 160 km/h (100 mph).

Elle est dotée d’une transmission manuelle et d’une motricité sur les roues arrière.

Elle est en vente à Montréal le revendeur, Ferrari Maserati Québec demande 89 900$.

 

 

 

Formule E

Formule E: Lucas di Grassi couronné champion à Montréal

Le pilote Brésilien Lucas di Grassi couronné champion à Montréal ce dimanche suite à la seconde épreuve ePrix de Montréal et dernière de la saison 2016-2017 de la Formule E.

Après avoir remporté l’épreuve du ePrix de Montréal samedi et suite à la disqualification de Sébastien Buemi en soirée, Di Grassi était meneur par 6 points au points du classement général avant la seconde épreuve, dimanche à Montréal et ce devant le pilote Suisse Sébastien Buemi qui a glissé au dernier rang après le 3e tour lorsque son protège pneu arrière-droit a décroché de sa voiture et alors  les autorités l’ont obligé par la ligne des puits.

Parti de la 7e position, di Grassi n’avait besoin que de compléter l’épreuve devant Buemi, parti 15e, pour s’assurer du championnat de la saison.

C’est ce qu’il a fait avec brio. Il a terminé 7e et Buemi en 11e position, ce qui a couronné le brésilien comme champion 2016-2017 de la Formule E.

Montréal n’aura pas été très accueillante pour Sébastien Buemi, deux épreuvent ont ruiné toutes ces chances de remporter le championnat de formule E.

Jean-Éric Vergne a remporté la 2e épreuve à Montréal, sa première en carrière.

Renault e.Dams remporte le championnat des constructeurs devant ABT Schaeffler Audi Sport.

C’est ce qui clos la 3e saison de la Formule E.

La saison 2017-2018 des monoplaces élecrtriques s’amorçera en décembre prochain.

Voici le calendrier provisoire de Formule E pour la saison 2017-2018:

*sujet à confirmation

2 décembre: Chine Hong Kong

3 décembre: Chine Hong Kong

13 janvier: Maroc Marrakech

3 février: Chili Santiago du Chili

3 mars: Mexique Mexico City

17 mars: Brésil Sao Paulo*

14 avril: Italie Rome

28 avril: France Paris

19 mai: Allemagne à définir

9 juin: à définir à définir

7 juillet*: USA New York

8 juillet*: USA New York

28 juillet: Canada Montréal

29 juillet: Canada Montréal (Finale du championnat)

Dodge Challenger orange à Montréal

Rencontre inattendue d’un Dodge Challenger orange à Montréal

À Montréal, rue Sainte-Catherine Ouest, AutoCarbure a fait la rencontre inattendue d’un Dodge Challenger orange.

Avec une telle couleur flamboyante, le véhicule ne passait pas inaperçu tout près de l’église St-James.

La Dodge Challenger est un modèle qui se vend très bien chez Chrysler. Ce n’est plus une voiture hors du commun à rencontrer mais il fait toujours plaisir d’en rencontrer une, elles sont tous autant racées et flamboyantes les unes que les autres.

AutoCarbure a hâte de rencontré de façon inattendue la version Demon de la Challenger dans un endroit au Québec. La Dodge Challenger Demon est une version très puissante de la Challenger avec ses 840 chevaux.

 

 

Déneigement Montréal

Les montréalais en ont ras-le-bol des cowboys du déneigement

Dans un article publié ce matin dans La Presse on apprend que les montréalais en ont ras-le-bol des cowboys des équipes de déneigement.

Mais la direction d’AutoCarbure.com aimerait en rajouter.

Ce n’est pas juste les véhicules froissés, les bicyclettes tordues (à quelque part que fait une bicyclette dehors en hiver) mais ce qui agace le plus c’est la pollution par le bruit que ces équipes de déneigement font.

La grosse machinerie, on comprend. C’est essentiel, il n’est pas possible encore d’avoir de la grosse machinerie qui opère sans bruit.

Ce sont les équipes attritrées au remorquage qui polluent par le bruit. Sirène stridente tôt le samedi ou le dimanche matin, tirant du lit bon nombre de citoyens qui sont en règle avec les heures de déneigement.

Que ces équipes remorquent les cancres qui n’ont pas vu les petites pancartes annonçant un déneigement et qu’elles laissent dormir les autres citoyens.

Leur façon cavalière et surtout amusée, ça se voit dans la face du gars qui conduit la remorque, de tirer les citoyens de leur lit est tout simplement inacceptable.

Que ce soit dans Villeray, Rosemont, Cartierville, Ahuntsic, Saint-Michel, le Vieux-Montréal, Anjou, Pointe-aux-Trembles ou encore Ville-Marie, ces remorqueurs ont des agissements à faire perdre des claques sur la marboulette et des coups de pied au cul.

On demande aux citoyens d’être disciplinés et d’adopter un bon code de conduite envers tous et chacun. Pourquoi ces remorqueurs devraient faire exception?

Les autorités de la ville doitvent mettre au pas ces individus encore plus dérangeant qu’un Témoin de Jéhovah qui sonne à votre porte un dimanche matin.

Si quelqu’un n’est pas dans les règles avant l’arrivée des équipes de déneigement, remorquez-les, point à la ligne!

Après avoir reçu quelques contraventions, ces cancres vont probablement penser à regarder les pancartes indiquant qu’il y aura un déneigement.

Pas besoin de réveillez toute un quartier pour quelques cancres qui ont oublié de déplacer leurs véhicules.

N’hésitez pas à interpellez vos élus, à vous plaindre au service 3-1-1  et sur les pages Facebook des arrondissements de Montréal ainsi que leurs sites Internet et si vous le pouvez aux réunions des conseils d’arrondissement ou même à la mairie de Montréal.

Il n’y a rien de plus dérangeant pour un politicien que des citoyens mécontents. Alors n’hésitez pas à vous plaindre massivement.

 

Le prix du litre d’essence à 1,16$ n’est pas justifié à Montréal

Le prix du litre d’essence à 1,16$ n’est pas justifié à Montréal.

Montréal, 20 octobre 2016, le prix du litre d’essence est à 1,16$ à la pompe tant chez Petro-Canada que Esso ou Ultramar.

Ce jeudi, à la fermeture des marchés, le dollar canadien était à $0,7553 américain et le baril de pétrole est à $50.60.

Rien ne justifie un prix si élevé à la pompe.

Pendant ce temps, dans la capitale fédérale le litre d’essence est à 94 cents.

À Toronto il est un cent plus cher.

À Kingston, 98,9 cents.

À Québec, 1,018$

À Drummondville, 1,094$

À Vancouver, 1,199$ le litre. C’est connu, en Colombie-Britannique les taxes sur l’essence sont plus élevées car la province est plus pro-verte et de moins en moins favorable aux véhicules à moteur à essence.

Rien ne justifie à Montréal un prix de 1,16$ le litre.

Rien sauf l’appétit insatiable du gouvernement du Québec, lui qui fixe le prix plancher du litre l’essence.

Ce qu’il y a de dangereux pour le consommateur québécois c’est que ce litre d’essence était à peu près le même prix lorsque le baril de pétrole était à $40. Vous aurez compris que le danger est de laisser le gouvernement décidé du prix plancher et vous empêchez de profiter de bons prix à la pompe.

Le gouvernement dit que le prix plancher est selon le marché.

Donc quelqu’un ment quelque part et on sait que ce ne sont pas les pétrolières car elles vendent à des prix plus avantageux en dehors de Montréal.

Certes Montréal a une taxe supplémentaire qui s’applique sur le litre d’essence vendu dans sa ville pour cause de transport en commun.

Mais il est injustifié que l’essence se vende 23 cents plus cher à Montréal qu’à Ottawa ou 15 cents plus cher qu’à Québec.

Si vous désirez protester contre ce prix élevé du litre d’essence à Montréal, contactez votre député provincial et ne vous gênez surtout pas d’écrire au bureau de la mairie. C’est en faisant pression sur les politiciens que vous arriverez à faire changer les choses et obtenir un juste prix sur le litre d’essence. Comme c’est le gouvernement du Québec qui fixe un prix plancher pour l’essence, c’est sur les politiciens que vous devez mettre de la pression.

Rien ne justifie le litre d’essence à 1,16$ à Montréal sinon pour le gouvernement du Québec de collecter davantage de taxes sur chaque litre vendu.

Montréal à éviter pour les touristes automobilistes cet été

Montréal à éviter cet été, voilà la recommandation qu’AutoCarbure.com fait aux automobilistes québécois.

La ville est charmante, aucun doute. Il y a plein de festivals, plein d’endroits à visiter.

Mais y accéder et en sortir pour des automobilistes, l’enfer.

La ville et le ministère des Transports du Québec ont planifié beaucoup trop de travaux qui entravent la circulation dans la ville.

Travaux majeur sur Décarie, l’Autoroute Bonaventure, le Pont Mercier, le Pont Jacques-Cartier (fermé le samedi soir à cause des feux). L’échangeur Turcot, des travaux majeurs qui s’éterniseront. La partie Sud du boulevard Pie-IX en bordure du Stade Olympique. L’Avenue Pierre-de-Coubertin. La rue Ontario et on en passe sans compter les cônes oranges ici et là au centre-ville. La construction du nouveau pont Champlain aussi.

Accédez à Montréal par bus, avion, train, pas de problème. Quoi que de l’aéroport au centre-ville, un parcours très long qui devrait grandement être amélioré. Malheureusement tout les décideurs se regardent comme des chiens de faillance et rien ne se fait. Accéder et circuler en ville par automobile, vous méritez mieux que perdre du temps précieux de vos vacances dans d’interminables embouteillages.

Les travaux s’éternisent, les firmes québécoises ont perdu le contrôle. Elle ne l’ont plus. Il serait temps que la ville et le Ministère des Transports fassent appel à des firmes étrangères plus rapide en exécution des travaux et plus efficace au niveau du résultat. En ouvrant ainsi le marché des travaux routiers à des étrangers, cela créerait une saine compétition et c’est le payeur de taxes qui sortirait le grand gagnant au bout de la ligne avec un réseau routier plus agréable à circuler.

Comble de malheur, Montréal sera ainsi «orangée de cônes» jusqu’en 2021, donc encore pendant au moins 5 ans.

Dommage car la ville est en train de se faire belle pour son 375e anniversaire en 2017. Malheureusement, les chemins pour venir la voir sont trop compliqués et plusieurs non résidents de la ville vont tout simplement refuser de venir à la fête.

 

 

Belle BMW des années 80

Rencontre inattendue d’une belle BMW des années 80

Une belle BMW des années 80, une rencontre inattendue sur une rue à Montréal la semaine dernière.

Parfois il arrive qu’on prenne des clichés et que malheureusement la technologie ne suivent pas.

Il n’a pas donc pas été possible de retenir exactement le modèle écrit sur le derrière de la belle BMW rencontrée puisque des photos ont été malheureusement mal enregistrées.

D’une belle couleur silver, dotée de deux portes et très bien conservée, cette BMW est sublime.

Aux dires de certains il pourrait s’agir d’une BMW année 1983 peut-être une 323i ou encore une 320i.. Malheureusement on ne le saura jamais vraiment.