Pléonasme publicitaire

Le pléonasme publicitaire de certains concessionnaires automobiles

J’ai récemment constaté le péonasme publicitaire de certains concessionnaires automobiles. Entre autre en me rendant sur le site Internet de Pie-IX Chrysler, à Montréal. Ce dernier annonçait comme promotion la vente d’un véhicule Hyundai usagé (sic!).

Je comprends que le concessionnaire en question veut se débarasser des véhicules usagers qu’il accepte d’acheter. Il accepte cela de plein gré en échange d’un versement sur un véhicule neuf. Ils le font tous.

Mais pourquoi le faire via sa bannière principale et non via une seconde bannière qui se distinguerait totaleement de l’autre?

Si je vais sur le site Internet de Pie-IX Chrysler, je m’attends qu’à y voir des véhicules en vente par FIAT-Chrysler.

Or ça n’a pas été le cas.

Même quand on passe sur le site, physique, de ce concessionnaire on peut y voir des véhicules de d’autres marques dans la cour près des véhicules neufs de FIAT-Chrysler.

Pourquoi en est-il ainsi?

Je ne sais pas.  Qui va chez un concessionnaire automobile FIAT-Chrysler pour s’acheter une Hyundai?

Une idée, pourquoi les concessionaires ne se feraient pas des échanges entre eux de véhicules usagés afin d’avoir dans leur cour que des véhicules de la marque qu’ils représentent?

Ou encore comme mentionné plus haut, pourquoi ils n’ont pas une seconde division qui s’occupe de vendre les véhicules usagés?

Je ne pense pas qu’un concessionnaire automobile aide beaucoup sa cause en ayant dans sa cour ou sur son site Internet des marques de véhicules concurrents.

Il y a tellement de revendeurs de véhicules usagés sur le marché. Les concessionnaires automobiles qui ne désirent pas causer de tort à leur marque devraient s’arranger pour mettre en consigne leurs véhicules usagés. Ainsi les revendre chez un de ses détaillants qui font dans l’usagés. Alors, physiquement le véhicule d’une marque compétitrice ne se retrouvera pas dans la cour d’un concessionnaire automobile.

Comme ça, ce dernier pourra se concentre sur la marque qu’il représente.

 

 

Takata

Fiat Chrysler cessera d’équiper ses véhicules avec des coussins gonflables Takata

Le constructeur automobile Fiat Chrysler a annoncé mardi avoir pris la décision d’arrêter d’équiper ses véhicules avec des coussins gonflables de la marque nippone Takata.
Ceux-ci sont jugés dangereux par les autorités américaines.

Cette décision sera effective dans les usines d’assemblage dès la semaine prochaine pour les véhicules produits en Amérique du Nord,

Pour les autres zones géographiques des usines d’assemblage de Fiat Chrysler la décision prendra effet d’ici la mi-septembre.

Le constructeur italo-américain Fiat Chrysler fait partie des quatre groupes automobiles – Toyota Motor, Volkswagen Group et Mitsubishi Motors- accusés début juin, par un rapport parlementaire américain, de continuer à vendre des véhicules neufs équipés de coussins gonflables provenant de l’équipementier Takata et jugés dangereux.

Selon le sénateur américain et démocrate Bill Nelson, il ne serait pas illégal de vendre des véhicules équipés des coussins gonflables Takata jugés dangereux mais il dénonce le fait que les acheteurs n’en soient pas informés.

Rappelons qu’au total, 13 décès au niveau mondial, dont 11 aux États-Unis, ont jusqu’à présent été attribués à l’explosion inattendue de ces coussins gonflables fournis par Takata.  Lors de l’explosion, celle-ci  projette des morceaux de métal dans l’habitacle du véhicule, peut blesser et même dans certains cas plus grave, tuer ses occupants.

L’agence de la sécurité routière américaine NHTSA a déclenché une opération de rappel pouvant porter jusqu’à 70 millions de coussins gonflables, tant ceux du conducteur que du côté passager.

De par le monde, cette panoplie de rappels pourraient concerner plus de 100 millions de véhicules utilisant les coussins gonflables de Takata.

Pour Takata c’est un fiasco financier qui coûte aux actionnaires de l’entreprise une dévaluation de 71% de leurs actions depuis 1 an. Jusqu’ici Takata a estimé ses pertes à 13 milliards de yens ($120 millions) elles pourraient s’élever à 29,6 milliards de yens pour l’année complète. Le tout sans compter les nombreuses poursuites qui pourraient prendre place contre l’entreprise nippone.

Ferrari

Ferrari est en bourse!

Ce matin sur Wall Street, huit voitures scintillantes de Ferrari étaient exposés à l’entrée de la Bourse de New York.   Dans le lot, figurait une rare voiture de collection Ferrari 250 California SWB de 1961

À 9h30, Sergio Marchionne a sonné la cloche débutant les transactions sur le parquet.

C’est sous le symbole RACE que les actions de Ferrari sont transigées.

La capitalisation boursière de Ferrari s’élève à 10 milliards de dollars alors que 15 minutes après l’ouverture, les premières actions se transigeaient à $60, soit $8 de plus que l’entrée à $52.

Au minimum une Ferrari coûte 200 000$ et le constructeur italien en produit volontairement qu’un maximum de 7 000 par année pour les neuf modèles de la marque.

Les dirigeants ont l’intention d’augmenter la cadence pour éventuellement en produire 9 000 en 2019.

Malgré que Ferrari est en bourse et que son capital soit maintenant ouvert. Le principal actionnaire de Ferrari demeure FCA (Fiat Chrysler Automobile)

 

 

Ferrari

Dès la semaine prochaine, Ferrari sera en bourse

C’est probablement le 20 octobre prochain que Ferrari sera en bourse aux États-Unis.

Actuelle division de FCA (Fiat Chrysler Automobile), Ferrari se transigera sous le symbole RACE.

Ferrari est actuellement détenue à hauteur de 90% par FCA, tandis que le solde (10%) est la propriété de Piero Ferrari, fils d’Enzo Ferrari, le fondateur de la marque.

La maison mère de Ferrari larguerait environ 9% du capital, soit 17,17 millions d’actions, pour ainsi récolter près de 900 millions.

Compte tenu que la fourchette de prix des actions se situerait entre 48 et 52$, cela donnerait une évaluation de près de 10 milliards à la prestigieuse marque italienne.

Que comptera faire FCA avec le reste des 81% des actions détenues?

Aucun intention claire n’a encore été signifiée.

Ferrari

Ferrari sera en bourse à New York

Le constructeur automobile italien Ferrari, actuellement en filiale de Fiat Chrysler Automobiles (FCA), a formellement déposé à la SEC, une demande en vue d’une entrée en bourse aux États-Unis au NYSE (New York Stock Exchange) a indiqué FCA dans un communiqué.

La séparation et l’entrée en bourse de Ferrari avaient été annoncées en octobre dernier par FCA. Depuis, Ferrari a été transformée en une nouvelle société qui a pour nom, New Business Netherlands NV, lors de son entrée en bourse, elle rebaptisée Ferrari NV.  Pourquoi les Pays-Bas, FCA ne le dit pas.

Dans son communiqué sur l’entrée en bourse de Ferrari, on ne sait rien sur la fourchette de prix des actions qui seront émises ni le nombre d’actions.  On sait parcontre que FCA cèderait près de 10% des actions ordinaires de Ferrari, le reste serait distribué aux actionnaires actuels.

Selon les experts, l’entrée en bourse de Ferrari devrait rapporter quelques milliards de dollars américains à FCA qui détient actuellement 90% de Ferrari.  Cette opération qui sera un «spin-off» pour Ferrari, consiste à donner aux actionnaires actuels de FCA des actions de Ferrari.   Cette opération permettrait à FCA de renflouer sa colosalle dette de près de 37 milliards de dollars américains.

Ferrari produit environ 7 000 véhicules par année et aurait un chiffre d’affaire situé aux alentours de 4 milliards de dollars américains.

Pour Ferrari, de devenir autonome, cela aura pour effet d’améliorer l’image de marque de l’entreprise qui sera autonome et non plus sous le gîron du groupe Fiat Chrysler.

FCA pourrait aussi avoir d’autres plan, dont celui de se départir d’Alfa Romeo et de Maserati de la même façon que Ferrari.

C’est à l’automne prochain, que Ferrari sera en bourse au NYSE.

Selon le succès de Ferrari en bourse, est-ce que Volkswagen sera tenté de se départir de Lamborghini de la même façon?

Fiat Chrysler Automobiles

Fiat Chrysler rappelle plus d’un demi-million de camionnettes aux États-Unis

Le constructeur automobile Fiat Chrysler (FCA) a annoncé samedi qu’elle rappelait plus d’un demi-million de ses camionnettes aux États-Unis.  Les capteurs de choc sont fautifs.

Par communiqué publié sur le site du département américain des Transports (United States Department of Transportation ou USDOT) le constructeur a affirmé que le matériel défectueux pourrait actionner les coussins gonflables à tout moment – ce qui pourrait augmenter les risques d’accidents et de blessures.

Véhicule Jeep piraté: 1,4 million de véhicules rappelés

La nouvelle diffusée de par le monde sur les deux chercheurs qui ont démontré qu’il était possible de prendre le contrôle à distance d’un véhicule Jeep piraté n’a pas laissé le choix au constructeur automobile Fiat-Chrysler. Vendredi il a annoncé un rappel de 1,4 million de véhicules aux États-Unis afin de mettre à jour leurs systèmes informatiques.

Dans le cadre de l’expérience menée pour le compte du magazine techno Wired, les chercheurs ont pris à distance, par Internet, le contrôle du moteur, de la direction du véhicule ainsi que de ses freins. Ils ont pu aussi contrôler le fonctionnement de la climatisation, de la radio, du lave-glace et même des essuie-glaces.

Les véhicules concernés par le rappel sont notamment le Jeep Grand Cherokee et le Cherokee des années 2014-2015, de même le Dodge Challenger de l’année 2015, des véhicules Chrysler 300, Dodge Charger et camionnettes RAM font aussi l’objet du rappel volontaire.

En ce sens, plusieurs se demandent aussi si les véhicules de patrouille utilisés par les forces constabulaires pouvaient être piratés.

Le constructeur Fiat-Chrysler a indiqué dans son communiqué de rappel qu’aucun incident n’était survenu en raison d’une telle activité, tout en soulignant que le piratage des systèmes d’un véhicule constituait un crime aux États-Unis.

L’agence de la sécurité des transports aux États-Unis, la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) a exprimé des inquiétudes au sujet de la sécurité des systèmes de contrôle des véhicules dit «connectés».

Quant à d’autres il se sont demandés s’il ne serait pas intéressant de développer un dispositif qui ferait en sorte qu’une voiture pourrait être démarée et contrôlée à distance en cas d’urgence, exemple en cas d’incendie où un véhicule se trouve devant une borne fontaine, il pourrait être déplacé à distance.  Autre possibilité, un service de raccompagnement virtuel si le conducteur n’est pas en mesure de prendre le volant dû à des facultés affaiblies, un service pourrait amener le conducteur chez lui en le raccompagnant en controlant le véhicule à distance.  Si ça se fait pour un drône, pourquoi pas pour un véhicule.  Le côté plus sombre d’un contrôle à distance c’est que des terroristes pourraient utiliser un véhicule, le bourrer d’explosifs et le contrôler à distance et le faire exploser sur une cible quelconque, sans personne à bord.

Face à ce rappel, chez les autres constructeurs c’est le mutisme.  Est-ce que Wired commandera d’autres tests afin de voir si d’autres constructeurs sont fautifs en ce sens?