Tesla Model S avec fonction d'autopilotage

Les collisions sur les Tesla ont diminumé de 40% avec la fonction d’autopilotage installée

Bonne nouvelle pour les automobiles avec fonction d’autopilotage installée. Elles sont efficaces à réduire le nombre de collsions selon la NHTSA (National Highway Safety Administraton). Cette fonction réduit considérablement le nombre de collisions, par 40%, spéficiquement sur les Tesla.

Dans le même rapport, la NHTSA exonore Tesla de toute responsabilité dans la collision impliquant un de ses véhicules autopiloté qui a causé la mort en mai 2016 de Joshua Brown, 40 ans, en Floride alors que sur sa Tesla Model S de couleur brune était activée la fonction d’autopilotage quand celle-ci a percuté une remorque qui tournait à gauche.La NHTSA est arrivé à la conclusion que c’était au-delà des capacités d’assistance de cette technologie. L’enquête stipule aussi que le conducteur a eu 7 secondes pour réagir et éviter l’accident.

Selon un rapport de l’ODI (Office of Defects Investigation), après avoir compilé les données de 43 781 Tesla Model S et Model X incluant ceux impliqués dans des collisions avec déploiement de coussins gonflables, les conducteurs de ces Tesla sont impliqué dans 1,3 collision par millions de miles conduits. L’équivalent 57 année de conduite pour un conducteur américain moyen. En activant la fonction d’autopilotage sur ces Tesla, l’ODI arrive à la conclusion que le nombre de collisions diminue à 0,8 collision par million de miles conduits. Soit l’équivalent d’une collision par 93 ans d’un conducteur américain moyen.

Il ya 5 ans, quelques compagnies d’assurances avancaient que la fonction d’autopilotage impliquerait davantage de véhicules en collision. C’est tout à fait l’opposée qui s’est produit.

La NHTSA ajoute même l’assistance de pilotage et l’autopilotage sont plus prometteuses que leurs noms suggèrent.

 

Moteurs électriques Tesla Motors

La partie II du grand plan de Tesla n’impressionne pas les investisseurs

Elon Musk a révélé hier sur son blog la partie II du grand plan de Tesla pour sauver la planète. La première partie de ce grand plan avait été écrite il y a 10 ans.

Au lendemain de sa sortie, rien n’a impressionné les investisseurs alors que l’action de Tesla perdait 1,5% 12h00 HAE).

Dans sa 2e phase, en introduction, Musk mentionne qu’à ce jour en 2016, seulement que deux entreprises américaines de fabrication de voitures n’ont pas fait faillite.  Ford et Tesla. Il ajoute que c’est idiot de démarrer une entreprise de fabrication de voitures, que ça l’est au carré de démarrer une entreprise de fabrication de voitures entièrement électriques.

La phase 1 du grand plan de Tesla s’expliquait en 4 points

  • Créér une voiture plus petite et à la main, qui sera nécessairement dispendieuse (La Tesla Roadster)
  • Utilisez l’argent des ventes pour créer une voiture intermédiaire (Tesla Model S)
  • Utilisez cet argent pour construire une voiture électrique bon marché (Tesla Model 3)
  • Produire une nouvelle forme d’énergie par batterie

La seconde partie de ce grand plan de Tesla se résume à ces points.

  • Créer une technologie pour storer de l’énergie solaire sur le toît de vos résidences
  • Construire un camion de transport de marchandises qui sera électrique et sans conducteur
  • Construire des véhicules urbains électriques de transport de passagers et sans conducteur
  • Établir une façon de rentabiliser votre automobile électrique quand vous ne l’utilisez pas. Un pool d’auto électrique en mode partage.

Encore une fois c’est un plan ambitieux qu’Elon Musk nous dévoile. Il y a 10 ans, après avoir quitté Paypal qu’il a co-fondé, plusieurs le traitait de rêveur, d’autres d’huluberlu. Maintenant on sait qu’il peut accomplir de grandes choses dans le secteur automobile.

L’homme s’en tient à son plan.  Maintenant, est-ce que le constructeur aura assez d’argent pour aboutir à la vision de son fondateur?

On le saura dans les années à venir.

 

bye bye Tesla Motors

Rappel majeur chez Tesla Motors

Le fabricant californien de voitures électriques de luxe Tesla Motors rappelle tous ces Model S vendus depuis l’année 2012 afin de vérifier une défectuosité possible de l’assemblage des ceintures de sécurité du conducteur et du passager avant.

Le problème a été découvert, aux États-Unis, après que la ceinturé de sécurité bouclée d’un passager avant se soit défait alors que ce dernier se soit tourné pour parler à des passagers à l’arrière de la voiture.

Le rappel vise environ 90 000 unités.  Selon un document adressé aux clients, ce rappel est essentiellement préventif rassure le fabricant Tesla Motors.

Le Model S de Tesla Motors, véhicule électrique, offre une autonomie de plus de 400 kilomètres selon leur site Internet et le tout avec zéro émission, ce qui plaît aux conducteurs à la fibre écologique.  Au Canada, le prix de vente avant taxes et subventions  du Model S est de 93 000$.  Ce n’est pas un véhicule à la portée de toutes les bourses mais malgré cela les ventes s’accentuent trimestre après trimestre.

Sur les marchés boursiers, l’action de Tesla Motors perdait 2% après l’annonce de ce rappel, de quoi faire diminuer la fortune de son fondateur, Elon Musk, de quelques dizaines de millions.

 

AutoCarbure.com - automobile au Québec

AutoCritique le blog d’opinions d’AutoCarbure.com: Électrification des taxis à Montréal, mais à quel prix?

Première chronique du blog d’AutoCarbure.com qu’on a nommé AutoCritique. Un blog d’opinions reliés au monde de l’auto.

Ce matin dans un article de la section Affaires de La Presse, l’ex-dragon, Alexandre Taillefer via son entreprise, veut électrifier les taxis à Montréal et ça débutera l’an prochain avec 50 voitures électriques et sur le lot quelques luxueuses dont des Tesla.

Ce que M. Taillefer veut faire est bien, son lobbying de vouloir électrifier les taxis semble par contre moins clair.

Derrière des intentions vertes de vouloir que les taxis polluent moins semble se cacher quelque chose d’autres.

Mais quoi?

Allez savoir!

Avec Uber-X, la compétition avec l’industrie du taxi traditionnelle est merveilleuse. Les prix baissent.

Mais évidemment une course de 5km avec une Tesla électrique, ne va pas être le même prix qu’une courte en Toyota Camry d’un Uber-X ou de Taxi Hochelaga.

C’est là que ce n’est pas clair.

Ce qui est clair par contre c’est que la règlementation sur les taxis dans la métropole est vétuste.  Et ça, M. Taillefer semble être en accord avec cette règlementation qui exige de débourser plus de 200 000$ pour obtenir un permis de taxi.

Où c’est moins clair c’est comment l’entreprise pourra être rentable.  50 permis à 200 000$ ça fait 10 millions de dollars.  Ajouter à cela l’achat de 50 véhicules électriques dont 10 Tesla, la facture grimpe facilement à 13 millions.

Comment espérer rendre une entreprise de taxis électriques rentables avec des investissements initiaux d’au moins 13 millions?  En supposant qu’un taxi roule 20 heures par jour en moyenne à un rendement de 25$ de l’heure. Je dis 20 heures car il est impossible qu’un taxi électrique roule 24/24 pour la simple raison qu’il a besoin de recharge et de nettoyage.

Je calcule également 25$ de l’heure car on s’entend que de 4h à 6h du matin, si un taxi obtient une course ça tiendra du miracle.

Donc à 20h par jour, ce n’est que 600$ par jour par taxi qui rentrera moins les dépenses d’employés, de marketing, d’entretien des véhicules.  Au niveau employé, supposons un prix minimal de 12$ de l’heure, on parle immédiatement d’un coût de 240$ par jour. On parle donc de 480$ par jour et par taxi de profits bruts au maximum. Il faut ajouter aussi les coûts d’entretien des véhicules, de l’immatriculation et bien sûr des coûts pour la faire rouler.

Donc vous comprendrez qu’on parle d’un revenu annuel maximum par taxi de 219 000$ pour les fins de calculs arrondissont cela à 215 000$.

Supposons qu’après 150 000km vous devez remplacer le véhicule de taxi. On ne peut donc coller à un taxi qu’une durée de vie de 2 ans maximale. À 50 000km par année par taxi, on parle d’une distance moyenne quotidienne et raisonnable par taxi de 136km.
Il faut donc amortir le coûts des véhicules sur trois ans.  Or, une Tesla Model S transformée en véhicule de taxi avec les taxes de ventes coûte au bas mot 120 000$.  Donc 40 000$ par année en coûts d’achat uniquement.

Le revenu annuel maximum d’un taxi est de 215 000$.  Les coûts annuels pour un chauffeur 20h par jour sont de 87 000$ et le coût d’achat d’une Tesla amorti sur trois ans est de 40 000$.  Il reste environ 90 000$ par taxi. 90 000$ duquel vous devez déduire les coûts d’assurances, les coûts d’entretien de la mécanique du véhicule, l’immatriculation, les coûts esthétiques du véhicule.  On parle facilement ici de 15 000$ par année.

Il reste donc 75 000$ par année par taxi moins les frais en marketing et de bureau.  On peut facilement établir que les profits nets par Tesla s’établiront annuellement à 50 000$ par année.

Supposons que le coût du permis de 200 000$ est amorti sur 10 ans, on parle ici de profit annuel par taxi Tesla de 30 000$.

Ce qui est très peu compte-tenu qu’il faut racheter une Tesla Model X aux 3 ans.

Pour arriver à ses fins et faire du profits, c’est là qu’entre donc en jeu la valse des subventions.  Subventions pour rouler vert.  Subventions à l’achat etc… etc…

C’est là le danger pour le consommateur. Ces subventions proviennent de leurs poches.

La facture va donc être refilée au payeur de taxe.

Or… dans un monde où le baril de pétrole se situe sous les $50, il ne faut pas songer à l’électrification des transports, car le coût n’en vaut pas la chandelle.

Ce que M. Taillefer veut faire avec son service de taxi, avec chauffeur en uniforme, courtois et bien mis, c’est une très bonne idée. Où ça l’est moins c’est de vouloir bâtir un réseau de taxis électriques sur le dos des contribuables et de supporter la règlementation sur le taxi qui exige de débourser 200 000$ par permis.

Un beau Cadillac à 65 000$ ferait amplement l’affaire pour un taxi. C’est luxueux, fiable et peu coûteux à opérer.

Ha bien sûr, à 1,20$ le litre d’essence.

Bien voilà, il est là le problème.

Les gouvernements sont trop voraces.

Pendant que M. Taillefer bâtira son empire électrique, les consommateurs dans le reste du Québec, devront absorber un litre d’essence à la hausse pour payer les subventions alors que partout en amérique du Nord, le prix de l’essence à la pompe est sous l’équivalent du 80 sous le litre.

Est-il justifier de payer 50% supplémentaire en coût d’essence pour avoir un réseau de taxis électriques?

Est-il justifier de débourser le double en coût d’achat d’un véhicule électrique?

Actuellement à 100 000$ pour une Tesla Model X, vous pourriez obtenir l’équivalante en confort chez Cadillac pour 55 000$ incluant les taxes. Mettrez-vous 45 000$ d’essence?

Non!

Souvent les gens comparent une Tesla Model S à un Dodge Charger R/T doté d’un v8 HEMI quand viens le temps de comparer la consommation d’essence.

On peu aussi comparer avec la valeur nutritive d’une salade à une poutine.

Mais ça demeure illogique comme comparaison.

Les voitures à essence d’aujourd’hui sont beaucoup moins polluantes qu’il y a 10 ou 20 ans et consomme beaucoup moins avec pourtant des véhicules plus pesant qu’autrefois.  Il faut cesser de sortir l’épouvante et nous jouer la chanson voiture électrique.

Arrêter pour charger sa voiture électrique, disons-le, c’est chiant!  Ce n’est pas efficace. La technologie s’améliore de ce côté mais attendons.

Une voiture à essence, 5 minutes à la station-service et vous pourrez rouler si ça vous chante encore 500km sans vous arrêtez.

Il faut vendre l’efficacité des moteurs à essence d’aujourd’hui.  Certes les moteurs électriques sont novateurs mais ils sont coûteux et peu rentables.

De plus pourquoi vouloir bâtir un empire de taxis électriques sur le dos des contribuables avec un refrain qui plait aux verts?  Pour faire comme les Bombardier, Quebecor, Jean Coutu, qui eux aussi ont bénéficier de généreuses subventions, de crédits d’impôts, bred des largesses de l’État?

La solution au Québec c’est de réduire les coûts de permis des taxis.  De diminuer la règlementation qui profite aux plus riches, voire à ceux qui veulent manipuler le système.

Moins de règlementation égalera moins de coûts pour exploiter une entreprise de taxis et moins de coûts requis sur en taxes sur l’essence.

S’il y a moins de coûts, il y aura davantage de compétitions, et s’il y a davantage de compétitions, le consommateur sera gagnant.

Actuellement ce que M. Taillefer veut faire, c’est de bâtir un empire de taxis sur le dos des contribuables et qui ne fera pas diminuer les prix mais à long terme que les augmenter.  Qui sera gagnant à part lui? Personne!

Vive le modèle Uber-X qui lui a un seul but.  Mieux service le consommateur avec de bons prix.

Tesla

Tesla Model S déclassée par le Consumer Reports

La voiture qui ne reçoit pratiquement que des éloges depuis son arrivée sur le marché a été fortement critiquée par le Consumer Reports qui, il y a quelques mois, lui donnait la meilleure note jamais attribuée à une voiture.

À la grande surprise de tous hier, Tesla Model S, n’est plus une voiture recommandée par Consumer Reports.  La populaire publication américaine a retiré aujourd’hui sa recommandation d’achat à la Tesla Model S, moins de deux mois après que la voiture électrique ait obtenu une note plus que parfaite de 103 sur 100.

Les raisons? La fiabilité de la Tesla Model S est mis en cause et ce après avoir sondé 1 400 propriétaires de la voiture.

Plusieurs problèmes ont été soulevés mais notez que la majorité des problèmes sont couverts par la garantie de Tesla, donc remplacée à coûts nuls par le fabricant.

Les problèmes les plus importants répertoriés sont:

  • la batterie qui ne rechargeait plus
  • le moteur électrique qui devait être remplacé
  • défauts au niveau de la carrosserie qui émettait plusieurs bruits de caisse
  • des poignées qui ne veulent pas sortir de la portière
  • ont également été soulevés.

Cette nouvelle qui a pris les actionnaires de Tesla par surprise a eu l’effet de faire chuter en bourse l’action du fabricant automobile californien.

Mais il ne faut pas perdre de vue aussi que la marque est très compétionnée depuis le début de l’année par un court du pétrole très bas.

Moins l’essence est dispendieuse, surtout aux États-Unis où dans plusieurs états il est possible de faire le plein sous les $2 le gallon (69 cents canadiens le litre), moins les acheteurs potentiels de nouvelles voitures vont se tourner vers des modèles électricques.

Pour Elon Musk, inventeur de la Tesla, il s’agit d’une rare mauvaise nouvelle entourant la marque.

Vu sa légendaire rigueur, il y a fort à parier que les ajustements nécessaires seront apportées afin de retomber dans les bonnes grâces du Consumer Reports ou même du Guide de l’Auto web qui lui donnait une note de 90% pour le modèle 2016.

Mais y a pas de quoi trop s’alarmer pour les actionnaires de Tesla, par exemple, le guide de l’auto donnait une note d’à peine 78% pour le modèle 2014, 77% pour le modèle 2013 et rien n’a empêché la marque de prospérer.

Tesla va faire encore beaucoup jaser et ses modèles faire tourner encore bien des têtes.

Tesla Model S avec fonction d'autopilotage

Guide de l’Auto 2016, les petits génies et les délinquants

En lisant les cotes de tous les véhicules évalués dans le Guide de l’Auto 2016 on peut constater qu’une seule voiture se classe à part avec une cote de 90%.

La Tesla Model S.

Par contre il y a plusieurs délinquants qui n’obitiennent pas la note de passage:

  • Nissan NV 200 / Chevrolet City Express
  • Volvo S80
  • Mitsubishi Mirage
  • Mitsubishi I-Miev

 

Moteurs électriques Tesla Motors

De Los Angeles à New York en Tesla en 58 heures 55 minutes

À l’été  2014, des gars de Edmunds.com ont pris une Tesla Model S, sont partis de Los Angeles à New York en chargeant le véhicule par le réseau Supercharger de Tesla.

Ils ont complété le voyage en 67 heures et 21 minutes, un record pour un véhicule électrique.

Cette année, Carl Reese de Santa Clarita en Californie s’est dit qu’il pourraut battre ce record.

Avec sa fiancée Deena Mastracci à bord de sa Tesla Model S P85D, accompagné sur la route d’amis à bord d’un Chevrolet Suburban ont accomplit l’exploit.

Ils ont conduit 3 011 miles de Los Angeles à New york en Tesla, en 58 heures et 55 minutes.  Abaissant la marque précédente du record par 9 heures et 34 minutes.

Reese a autentifié son record par des données GPS fournies par un tiers parti et commanditaire, Insight.

 

 

Tesla attire le monde

Au petit kiosque de Tesla au dernier salon de l’auto de Montréal, il était impossible de photographier la voiture sur sa longueur tellement il y avait de monde autour.

La Tesla attire le monde avec son unique modèle entièrement électrique.  Les gens se renseignait beaucoup sur le modèle à venir plus abordable.

La configuration de base de la Tesla S se vend au Québec 84 420$ avant les taxes de ventes ou en location 48 mois à 1 253$. Ce n’est pas à la portée de toutes les bourses.

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Tesla Model S avec fonction d'autopilotage

La Tesla Model S bien expliquée

Sur le site canadien français de Tesla Motors, la Model S est bien expliquée aux internautes.

Chez les sites des fabricants, on voit rarement autant de détails sur une voiture et avec d’aussi belles photos.  Tesla Motors a bien réussi.  Le fabricant explique très bien sa voiture dans les moindres détails.

Vraiment tout y est.

On apprend aussi qu’elle a été nommée l’automobile de l’année 2013 par Motor Trend et qu’elle est classée 5 étoiles dans les tests de collisions de la National Highway Traffic Safety Association.

N’hésitez pas à visiter le site et espérons que d’autres fabriquants automobiles feront d’aussi belle présentation de leurs modèles offerts.

 

 

Au tour de Toyota de lâcher prise sur Tesla Motors

Ce lundi les actions de Tesla Motors ont été malmenées en bourse NASDAQ perdant 5,7% de leur valeur.  La raison est que la maison mère de Toyota aurait, selon le journal nippon Nikkei, largué des actions de Tesla sur le marché.

En date du 31 mars dernier, Toyota possédait 2,4% du capital de Tesla Motors.  C’est en 2010 que Toyota avait formé une alliance stratégique avec Tesla pour qu’elle lui fournisse des batteries pour certains de ses véhicules électriques.  Cette alliance se termine à la fin de l’année 2014 et rien n’indique qu’elle sera reconduite.

Après Daimler la semaine dernière c’est au tour de Toyota de prendre ses distances de Tesla.  Pourtant Tesla assemble ses véhicules Model S en Californie dans une ancienne usine du groupe Toyota.

Il semble aux yeux de plusieurs constructeurs que Tesla est de plus en plus vue comme un compétiteur et non plus comme un partenaire stratégique.

Des rumeurs veulent veut toujours que BMW s’allie bientôt avec Tesla?  Est-ce que ce sera une alliance stratégique ou davantage, l’avenir nous le dira.  Pourtant Tesla est a déployé son Supercharger partout en Asie, il semble que ce réseau représente un avantage stratégique à avoir chez un partenaire automobile.