taxi

Québec viens d’accorder une aide de 32 000$ pour chaque permis de taxi

Sans tambour et surtout sans trompette, le gouvernement du Québec viens d’accorder une aide de 32 000$ pour chaque détenteur d’un permis de taxi,

250 000 000$ au total. Vu le nombre de permis de taxi en vigueur cela équivaut à une aide de 32 000$.

C’est passé en douce dans le budget du gouvernement qui a été dévoilé hier à l’Assemblée Nationale du Québec.

Pire encore, le gouvernement est en train d’étudier à savoir si 250 millions seront suffisants.

Cette première tranche de 250 M$ proviendra du Fonds des réseaux de transport terrestre, financé principalement par la taxe d’accise sur l’essence et les droits d’immatriculation des automobilistes québécois. Le projet-pilote d’Uber (oui c’est toujours un projet pilote) finance également le Fonds, à hauteur d’environ 10 M$ annuellement.

L’industrie du taxi réclamait 1 milliards, elle aura 250 millions.

Il a été établit qu’en 2014, la valeur moyenne d’un permis de taxi au Québec était d’environ 200 000 $. Depuis l’arrivée d’Uber, celle-ci est passée à 118 375 $ sur l’île de Montréal et à 144 333 $ dans la ville de Québec. Oui plus cher à Québec car c’est ministériel, n’oubliez pas!

Le gouvernement du Québec avait déjà octroyé 44 millions à l’industrie du taxi afin de se moderniser.

Ce gouvernement aime aider des industries sur le déclin. Dans le même budget il est prévu une compensation afin d’aider les médias (lire ici les journaux) à prendre le virage numérique.

Jaguar Land Rover

Jaguar Land Rover se lance dans le taxi autonome 100% électrique

Le constructeur automobile britannique Jaguar Land Rover va s’allier à Waymo afin de développer une version entièrement autonome de  son VUS I-PACE, véhicule 100% élecrique. Le I-PACE est un nouveau modèle haut de gamme de véhicule électriques et Waymo, grand compétiteur de UBER, compte s’en servir pour offrir des taxis complètement autonome.

Selon cet accord, Jaguar Land Rover, fournira 20 000 véhicules I-PACE à Waymo, division du groupe Alphabet, s’équipe de la technologie de déplacement autonome de véhicule de Google.

Selon cet accord de plusieurs années Jaguar Land Rover et Waymo vont développer ensemble le premier véhicule haut de gamme électrique autonome destiné au service de transport sans chauffeur de Waymo.

Le constructeur avait dévoilé au début du mois l’I-PACE; modèle entièrement électrique –et déjà disponible au Royaume-Uni à partir de 114 000 dollars canadiens– disposant d’une certaine capacité de conduite autonome, comme les modèles du fabricant américain Tesla.

Avec la technologie de Waymo, le I-PACE deviendra entièrement autonome.

L’I-PACE autonome devrait débuter à être testé parmi la flotte de véhicules taxis autonomes que Waymo veut lancer, et ce , dès cette année. Jaguar Land Rover et Waymo veulent tester les véhicules sur la route et collecter des données en situation réelle afin de permettre aux ingénieurs d’affiner la technologie et de proposer un niveau optimal de sécurité et de fiabilité pour ses utilisateurs.

Avec cet accord, c’est jusqu’à 20 000 I-PACE qui seront construits au cours des deux premières années de l’entente et seront mis sur la route pour les clients du service de taxi sans chauffeur de Waymo.

Selon Jaguar Land Rover, ces 20 000 véhicules pourraient effectuer jusqu’à 1 million de trajets par jour.

Déjà en test sur d’autres véhicules autonomes, l’entreprise Waymo a déjà cumulé depuis 2009 plus de plus de 8 millions de kilomètres parcourus sur des routes fréquentées par des piétons sans être impliqués dans un seul accident mortel.

Waymo, jugée comme l’une des plus avancées en terme de conduite autonome, teste déjà des véhicules autonomes dans 25 villes américaines, parmi celles-ci Atlanta, Detroit, Pheonix et San Francisco.

Rappelons que Jaguar Land Rover est la propriété du groupe Indien Tata Motors.

Logo de l'entreprise Delphi Automotive qui travaille sur le taxi sans chauffeur

Le taxi sans chauffeur bientôt à Montréal?

À Montréal cette semaine c’est une révolution qui s’est passée mardi alors que l’entreprise d’Alexandre Taillefer a acheté la flotte de Taxi Diamond pour ainsi monter sa part de marché dans la métropole à près de 40%, soit à 11% d’être un monopole.

Situation très inquiétante pour les consommateurs quand on sait que chauffeurs de taxi et gouvernements ne sont pas très en faveur de la concurrence, on a qu’à se souvenir ce qui s’est passé avec UBER.

Les prix risquent donc bientôt de monter en flèche.

Mais voilà qu’à Singapour, l’entreprise Delphi Automotive, anciennement dans le gîron General Motors, y teste présentement des taxis sans chauffeur. Un véhicule complètement automatisé qui vous amènera du point A au point B sans l’obligation de faire la conversation vide à un chauffeur.

Est-ce que ce taxi sans chauffeur est la prochaine menace aux chauffeurs québécois ou si la règlementation provinciale ou municipale sera en faveur d’une telle implantation?

Ainsi d’un côté l’entreprise d’Alexandre Taillefer est en règle avec les autorités pour détenir les permis de taxi nécessaire. Le permis est pour la voiture et non pour le chauffeur.

Alors il n’est pas nécessaire d’avoir un chauffeur pour être en règle.

Revenons à Delphi, elle a testé l’année dernière son logiciel de conduite autonome sur la grande route à l’occasion d’une traversée Californie – New York.

Maintenant au Québec, est-ce que les instances gouvernementales seront en faveur d’un taxi sans chauffeur ou si les syndicats feront pression comme pour le métro de Montréal où il est obligatoire d’avoir un conducteur alors que le métro peut très bien être 100% autonome, comme dans d’autres grandes villes dont Vancouver.

Histoire à suivre! Un si proche avenir nous écrira l’histoire.

La question que certains se posent: qu’arrivera-t-il avec les chauffeurs de taxis dans un contexte où ils sont remplacés par une voiture totalement autonone? Probablement la même chose que l’allumeur de révèrbères au début du siècle dernier.

Pour en apprendre davantage sur l’automatisation de véhicules chez Delphi (en Anglais).

New York taxis couleur jaune

New York, taxis couleur jaune, mondialement reconnu

Les taxis couleur jaune. La couleur unique pour les taxis de New York, comme sur la photo d’AutoCarbure.com. C’est facile à reconnaître, aucun problème d’identification tant pour les locaux que les touristes. Le véhicule de taxi est jaune à New York. Point.

Toutes les métropoles de la planète, Montréal y compris n’en déplaise au volubile maire Coderre, devraient adopter cette couleur universelle pour désigner un véhicule commercial de taxi.

Quelque soit l’époque du véhicule de taxi à New York, le jaune l’identifie très bien. On le reconnaît partout qu’importe l’endroit dans la Grosse Pomme. Ce qui fonctionne à New York n’a aucune raison de ne pas fonctionner ailleurs.

 

logo SAAQ

Immatriculation: des hausses salées en 2016 à la SAAQ pour moteur supérieur à 3.9 litres

Avec des hausses salées en droits d’immatriculation, le gouvernement du Québec veut inciter les propriétaires de véhicules à opter pour des moteurs plus petits afin de moins polluer.  Ainsi, depuis le 1er janvier 2016, certaines modifications du droit d’immatriculation additionnel sont en vigueur afin de renforcer l’objectif de réduire des émissions polluantes des véhicules et des gaz à effet de serre.

Il en coûte donc plus cher pour immatriculer votre véhicule doté d’un moteur plus gros.

Voici le coût supplémentaire à vos droits d’immatriculation selon la grosseur du moteur de votre véhicule :
4,0 litres : 35,50$
4,1 litres : 47,25$
4,2 litres : 59,25$
4,3 litres : 70,75$
4,4 litres : 83,00$
4,5 litres : 94,50$
4,6 litres : 107,00$
4,7 litres : 119,00$
4,8 litres : 130,00$
4,9 litres : 142,00$
5,0 litres : 154,00$
5,1 litres : 166,00$
5,2 litres : 178,00$
5,3 litres:  189,00$
6,0 litres : 266,00$
6,2 litres : 288,00$
6,4 litres : 310,00$
6.7 litres : 343,00$
6,8 litres : 354,00$
7,0 litres et plus : 376,00$

Tous les détails sur les hausses sur le site Internet de la SAAQ.

Ainsi si vous roulez en 2016 Dodge Challenger avec le moteur Hellcat de 6.2 litres, votre immatriculation vous coûtera 288$ supplémentaires.

Pour un entrepreneur possédant un camion RAM 3500 avec un moteur diesel 6 cylindres de 6.7 litres, la hausse est de 343$ par véhicule.

La SAAQ exempte de ces hausses les catégories de véhicules suivants:

  • véhicule adapté pour le transport de personnes en fauteuil roulant
  • minibus pour famille nombreuse (9 personnes et plus vivant sous le même toit)
  • taxi
  • véhicule utilisé par les écoles de conduite
  • ambulance
  • dépanneuse
  • véhicule affecté au transport d’écoliers
  • véhicule de ferme
  • corbillard

Les propriétaires de flottent de limousines auront donc une facture salée. Ainsi chaque limousine bâtie avec un Hummer H3 de 8 cylindres et un moteur de 5.3 litres verront la facture des droits d’immatriculation augmentée de 189$.

Évidemment contracteurs et propriétaires de flotte de limousines vont sans aucun doute refiler la facture aux clients ou assumer des baisses de profits.

Finalement, les propriétaires de voitures antiques devront faire la conversion de leur moteur qui était alors en pouces cubes.  Par exemple un 1970 Plymouth 440, l’équivalent de 7,2 litres verront leur droit d’immatriculation augmenter du maximum prévu soit 376$.  Pour le propriétaire de ce véhicule, ses droits d’immatriculation pour 2016 seront donc à 594$.  S’il habite Montréal, ses droits seront majorés de 52$ pour contribution au transport en commun.

AutoCarbure.com - automobile au Québec

AutoCritique le blog d’opinions d’AutoCarbure.com: Électrification des taxis à Montréal, mais à quel prix?

Première chronique du blog d’AutoCarbure.com qu’on a nommé AutoCritique. Un blog d’opinions reliés au monde de l’auto.

Ce matin dans un article de la section Affaires de La Presse, l’ex-dragon, Alexandre Taillefer via son entreprise, veut électrifier les taxis à Montréal et ça débutera l’an prochain avec 50 voitures électriques et sur le lot quelques luxueuses dont des Tesla.

Ce que M. Taillefer veut faire est bien, son lobbying de vouloir électrifier les taxis semble par contre moins clair.

Derrière des intentions vertes de vouloir que les taxis polluent moins semble se cacher quelque chose d’autres.

Mais quoi?

Allez savoir!

Avec Uber-X, la compétition avec l’industrie du taxi traditionnelle est merveilleuse. Les prix baissent.

Mais évidemment une course de 5km avec une Tesla électrique, ne va pas être le même prix qu’une courte en Toyota Camry d’un Uber-X ou de Taxi Hochelaga.

C’est là que ce n’est pas clair.

Ce qui est clair par contre c’est que la règlementation sur les taxis dans la métropole est vétuste.  Et ça, M. Taillefer semble être en accord avec cette règlementation qui exige de débourser plus de 200 000$ pour obtenir un permis de taxi.

Où c’est moins clair c’est comment l’entreprise pourra être rentable.  50 permis à 200 000$ ça fait 10 millions de dollars.  Ajouter à cela l’achat de 50 véhicules électriques dont 10 Tesla, la facture grimpe facilement à 13 millions.

Comment espérer rendre une entreprise de taxis électriques rentables avec des investissements initiaux d’au moins 13 millions?  En supposant qu’un taxi roule 20 heures par jour en moyenne à un rendement de 25$ de l’heure. Je dis 20 heures car il est impossible qu’un taxi électrique roule 24/24 pour la simple raison qu’il a besoin de recharge et de nettoyage.

Je calcule également 25$ de l’heure car on s’entend que de 4h à 6h du matin, si un taxi obtient une course ça tiendra du miracle.

Donc à 20h par jour, ce n’est que 600$ par jour par taxi qui rentrera moins les dépenses d’employés, de marketing, d’entretien des véhicules.  Au niveau employé, supposons un prix minimal de 12$ de l’heure, on parle immédiatement d’un coût de 240$ par jour. On parle donc de 480$ par jour et par taxi de profits bruts au maximum. Il faut ajouter aussi les coûts d’entretien des véhicules, de l’immatriculation et bien sûr des coûts pour la faire rouler.

Donc vous comprendrez qu’on parle d’un revenu annuel maximum par taxi de 219 000$ pour les fins de calculs arrondissont cela à 215 000$.

Supposons qu’après 150 000km vous devez remplacer le véhicule de taxi. On ne peut donc coller à un taxi qu’une durée de vie de 2 ans maximale. À 50 000km par année par taxi, on parle d’une distance moyenne quotidienne et raisonnable par taxi de 136km.
Il faut donc amortir le coûts des véhicules sur trois ans.  Or, une Tesla Model S transformée en véhicule de taxi avec les taxes de ventes coûte au bas mot 120 000$.  Donc 40 000$ par année en coûts d’achat uniquement.

Le revenu annuel maximum d’un taxi est de 215 000$.  Les coûts annuels pour un chauffeur 20h par jour sont de 87 000$ et le coût d’achat d’une Tesla amorti sur trois ans est de 40 000$.  Il reste environ 90 000$ par taxi. 90 000$ duquel vous devez déduire les coûts d’assurances, les coûts d’entretien de la mécanique du véhicule, l’immatriculation, les coûts esthétiques du véhicule.  On parle facilement ici de 15 000$ par année.

Il reste donc 75 000$ par année par taxi moins les frais en marketing et de bureau.  On peut facilement établir que les profits nets par Tesla s’établiront annuellement à 50 000$ par année.

Supposons que le coût du permis de 200 000$ est amorti sur 10 ans, on parle ici de profit annuel par taxi Tesla de 30 000$.

Ce qui est très peu compte-tenu qu’il faut racheter une Tesla Model X aux 3 ans.

Pour arriver à ses fins et faire du profits, c’est là qu’entre donc en jeu la valse des subventions.  Subventions pour rouler vert.  Subventions à l’achat etc… etc…

C’est là le danger pour le consommateur. Ces subventions proviennent de leurs poches.

La facture va donc être refilée au payeur de taxe.

Or… dans un monde où le baril de pétrole se situe sous les $50, il ne faut pas songer à l’électrification des transports, car le coût n’en vaut pas la chandelle.

Ce que M. Taillefer veut faire avec son service de taxi, avec chauffeur en uniforme, courtois et bien mis, c’est une très bonne idée. Où ça l’est moins c’est de vouloir bâtir un réseau de taxis électriques sur le dos des contribuables et de supporter la règlementation sur le taxi qui exige de débourser 200 000$ par permis.

Un beau Cadillac à 65 000$ ferait amplement l’affaire pour un taxi. C’est luxueux, fiable et peu coûteux à opérer.

Ha bien sûr, à 1,20$ le litre d’essence.

Bien voilà, il est là le problème.

Les gouvernements sont trop voraces.

Pendant que M. Taillefer bâtira son empire électrique, les consommateurs dans le reste du Québec, devront absorber un litre d’essence à la hausse pour payer les subventions alors que partout en amérique du Nord, le prix de l’essence à la pompe est sous l’équivalent du 80 sous le litre.

Est-il justifier de payer 50% supplémentaire en coût d’essence pour avoir un réseau de taxis électriques?

Est-il justifier de débourser le double en coût d’achat d’un véhicule électrique?

Actuellement à 100 000$ pour une Tesla Model X, vous pourriez obtenir l’équivalante en confort chez Cadillac pour 55 000$ incluant les taxes. Mettrez-vous 45 000$ d’essence?

Non!

Souvent les gens comparent une Tesla Model S à un Dodge Charger R/T doté d’un v8 HEMI quand viens le temps de comparer la consommation d’essence.

On peu aussi comparer avec la valeur nutritive d’une salade à une poutine.

Mais ça demeure illogique comme comparaison.

Les voitures à essence d’aujourd’hui sont beaucoup moins polluantes qu’il y a 10 ou 20 ans et consomme beaucoup moins avec pourtant des véhicules plus pesant qu’autrefois.  Il faut cesser de sortir l’épouvante et nous jouer la chanson voiture électrique.

Arrêter pour charger sa voiture électrique, disons-le, c’est chiant!  Ce n’est pas efficace. La technologie s’améliore de ce côté mais attendons.

Une voiture à essence, 5 minutes à la station-service et vous pourrez rouler si ça vous chante encore 500km sans vous arrêtez.

Il faut vendre l’efficacité des moteurs à essence d’aujourd’hui.  Certes les moteurs électriques sont novateurs mais ils sont coûteux et peu rentables.

De plus pourquoi vouloir bâtir un empire de taxis électriques sur le dos des contribuables avec un refrain qui plait aux verts?  Pour faire comme les Bombardier, Quebecor, Jean Coutu, qui eux aussi ont bénéficier de généreuses subventions, de crédits d’impôts, bred des largesses de l’État?

La solution au Québec c’est de réduire les coûts de permis des taxis.  De diminuer la règlementation qui profite aux plus riches, voire à ceux qui veulent manipuler le système.

Moins de règlementation égalera moins de coûts pour exploiter une entreprise de taxis et moins de coûts requis sur en taxes sur l’essence.

S’il y a moins de coûts, il y aura davantage de compétitions, et s’il y a davantage de compétitions, le consommateur sera gagnant.

Actuellement ce que M. Taillefer veut faire, c’est de bâtir un empire de taxis sur le dos des contribuables et qui ne fera pas diminuer les prix mais à long terme que les augmenter.  Qui sera gagnant à part lui? Personne!

Vive le modèle Uber-X qui lui a un seul but.  Mieux service le consommateur avec de bons prix.

Uber Montréal, ça fonctionne très bien

Ce matin à Montréal, AutoCarbure.com a essayé le service de taxi Uber.

Le service de taxi moderne fait peur à bien des gens et aussi aux chauffeurs de taxis conventionnels.

Enfin, le jour du test.  De l’application en ligne, on commande un Uber.  Ça pris 3 minutes avant son arrivée.  J’ai même confirmé par SMS au chauffeur ma position pour pas qu’il me cherche.  Notez qu’il n’y a jamais d’échange direct de numéro de téléphone mobile avec le chauffeur.  Tout passe par le service Uber de Montréal.

Le chauffeur arrive, me fait signe de la main, il conduit un SUV, pas de l’année mais très propre.  Un chauffeur très sympathique qui a fait la conversation tout au long du trajet.

Tout au long du trajet, le chauffeur conduisait bien, était poli, courtois et très patient malgré l’heure de pointe montréalaise.

Le prix de la course, un trajet habituel et connu, a été de 25% moins cher que d’habitude avec un taxi standard.

Aucun échange d’argent entre le chauffeur et le client. Vous pouvez laisser un commentaire via l’application et le chauffeur vous commente aussi.  Un peu comme on retrouve sur eBay lorsque vous effectuez une transaction.

Aussi, pour ceux que ça peut intéresser, si vous avez un compte Spotify, vous pouvez aussi choisir la musique qui jouera dans le taxi lors de votre trajet.

Vraiment Uber c’est super et AutoCarbure.com le recommande à tous!

Il serait idiot de fermer un tel service par voix de législation afin d’empêcher le consommateur d’être mieux servi à meilleur prix qu’avec les taxis conventionnels.

Légiférer serait de permettre aux cancres de survivres, un peu comme ceux qui demander à limiter les permis de restaurants.

Encore bravo à Uber!

 

Rencontres inattendues: Lincoln Navigator L

Le Lincoln Navigator est l’un des plus beaux SUV disponibles sur le marché.  Le Lincoln Navigator L l’est encore plus.  Il est beau et imposant.

AutoCarbure.com a fait la rencontre de ce SUV il y a deux semaines à Montréal.  On a pas pu voir le luxe de ce véhicule, mais sans aucun doute qu’il doit être bien pourvu de ce côté car il était plaqué comme taxi.

Le Lincoln Navigator L se détaille neuf à partir de 65 860$ plus les taxes de ventes.  Pour un modèle 2015, on parle de plus de 78 110$ plus les taxes de ventss ce qui en fait un véhicule près de 90 000$.

Admirez! Dommage qu’on ne voit pas l’intérieur avec les beaux sièges en cuir.

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