Une puissante coréenne est notre trouvaille de la semaine du 31 août 2015

Avez-vous déjà suivi une voiture avec un logo derrière qui ressemble à celui de Tesla mais en moins stylisé?

Avez-vous vu sa coupe sportive?

En regardant de plus près on s’aperçoit que c’est une Tuscani.

Qu’est-ce que c’est que ça?

C’est un modèle de Tiburon produit par Hyundai.

L’équipe d’Autocarbure.com en suivait une le week-end dernier mais elle n’a pas réussit à obtenir un cliché de la chose.

Ce lundi sur Kijiji, nous avont trouvé une Tuscani et pas mal puissante.

Le véhicule est un 2005 Hyundai Tiburon Tuscani, de couleur bleue avec transmission manuelle à 6 vitesses.

Il affiche 125 000 kilomètres au compteur.

Le moteur est un v6 de 2.7 litres, de 172 chevaux.  Une puissante coréenne.

Il est chaussé sur des roues de 17 pouces.

Son prix de vente, 7 900$.

Le véhicule est en vente à Montréal, secteur Ahuntsic.

 

 

Le Dodge Challenger ne sera pas le dernier muscle car

Il y a lieu parfois de s’interroger sur l’intelligence des journalistes.  Dans ce cas-ci, récemment, dans un journal beaucoup lu, l’auteur d’un article titrait celui-ci en se demandant si le Dodge Challenger sera le dernier des muscle car.

Si on regarde le Québec on pourrait croire que oui car partout en Amérique du Nord, le prix de l’essence diminue à la pompe, sauf au Québec où il a diminué d’environ 15% alors que le prix du baril de pétrole s’est effondrée de plus de 60% en 12 mois.

On connaît la recette québécoise, le gouvernement impose un prix plancher via la Régie de l’Énergie en s’assurant ainsi d’un minimum de taxes sur chaque litre d’essence vendu.

Mais le Québec pour les muscle car américaines, c’est un bien petit marché.

Au moment d’écrire ces lignes, pas très loin, au New Hampshire, le prix du gallon d’essence est à $2.33 américains le gallon.  L’équivalent en canadien de 82 cents le litre.

Vous comprendrez qu’à 82 cents le litre, roulez en gros V8 c’est aussi coûteux que de rouler en Honda Civic au Québec.

Donc non la Dodge Challenger ne sera pas la dernière des muscle car.

L’équipe d’AutoCarbure.com pense même qu’avec le temps on pourrait voir renaître la division Pontiac chez GM et voir apparaître tout plein de muscle cars tel qu’un retour de la Firebird, de la GTO ou même la LeMans et la Nova avec un format se rapprochant des années 70.  Il pourrait même être possible que Chrysler réanime sa division Plymouth et pourquoi pas Ford ramener ses grosses Lincoln, qui ne sont pas des muscle cars mais dont plusieurs s’ennuie de leur luxe rutilant. Imaginez si Ford ramenait sa Torino toute musclée ou une Thunderbird

Même Hummer pourrait revenir si l’essence se maintenait sous les 2.50$ le gallon.

Non la Dodge Challenger ne sera pas le dernier des muscle car, il pourrait même en apparaître tout plein au courant des prochaines années avec des moteurs encore plus puissant que le Hellcat.

Detroit n’a pas fini d’en donner à ceux qui veulent du muscle.  Ils sont nombreux, il faut sortir de son bureau de journaliste du centre-ville de Montréal pour comprendre qu’aux expositions de voitures, des milliers d’amateurs se déplacent pour voir des muscle cars d’hier et d’aujourd’hui.

Dès le 7 octobre, Jay Leno sera de retour à la télévision… de son garage

Jay Leno’s Garage, vous connaissez?

Certains amateurs automobiles connaissent ça via YouTube avec la chaîne Jay Leno’s Garage.  La chaîne est très populaire, certains épisodes publiés atteignent plus de 1,3 mllions  de visionnement.

Là c’est à CNBC, une chaîne d’information financière, dès le 7 octobre, que Jay Leno sera de retour à la télévision… de son garage et qu’il nous présentera des voitures.

En se fiant à la qualité de production sur sa chaîne YouTube, on ne peut qu’espérer une qualité de diffusion exceptionnelle à la télévision.

Le populaire ex-animateur, multi millionnaire, possède une collection impressionnante de 135 voitures et de 117 motos.

Voici un aperçu d’un épisode de la chaîne Jay Leno’s Garage sur Youtube.  Ici l’essai d’un 2015 Corvette Z06.

Formule E

La Formule E à Montréal, une question de temps

Selon un média québécois, les dirigeants de la Formule E seront en ville la semaine prochaine.

La Formule E à Montréal, c’est une question de temps.

Petit frère du grand circuit de la Formule 1, les dirigeants convoitent le Circuit Gilles-Villeneuve pour présenter leur ePrix montréalais et connaissent bien les installations de la ville et ce qu’elle peut offrir à toute la caravane de la Formule E en termes d’installations hôtelières, de restaurants. de divertissements et de rayonnement.

Mais le maire Denis Coderre, qui s’entête à rarement se mêler de ses affaires, tenterait de convaincre les dirigeants d’avoir un circuit urbain à Montréal pour la Formule E vu son caractère écologique.

À voir l’état des rues de Montréal, chez AutoCarbure.com on se demande comment cela serait possible et sécuritaire pour les pilotes et aussi les spectateurs d’accueillir une course en milieu urbain.  Aussi, combien cela coûterait-il aux montréalais de construire un aménagement pour les puits de ravitaillement et toutes les installation requises pour recevoir un ePrix en milieu urbain?

Ne serait-il pas mieux pour Montréal d’investir des sommes d’argent pour entretenir le circuit Gilles-Villeneuve et de continuer d’y présenter la Formule 1 et d’y accueillir la Formule E et d’attirer d’autres types de courses tel que le championnat Tudor ou encore une étape de la Verizon Indycar Series plutôt que de dépenser des millions sur des installations urbaines vouées à la présentation d’un seul événement.

Selon plusieurs sources, Montréal pourrait présenter le première étape du calendrier 2016 de la Formule E.

Espérons que le maire de Montréal saura être raisonnable mais surtout logique afin que tous les amateurs de sports motorisés puissent assister au ePrix de Montréal dans des conditions optimales.

Certes les voitures de la Formule E sont moins bruyantes que celles de la Formule 1 mais tout de même elles sont agaçantes avec le bruit strident émis par les moteurs électriques.

 

Rencontre inattendue d’un Hummer H3 rouge

On voit de moins en moins de Hummer sur la route au Québec pour deux bonnes raisons.  La première parce que l’entreprise n’existe plus depuis 2009.  La seconde parce que le prix de l’essence ne cesse de monter au Québec par cause de la soif du gouvernement du Québec en taxes.

Vue en août à Montréal, ce magnifique Hummer H3 rouge.  Il est rare d’en voir des rouges, on voit plus souvent sur la rouge des noirs, des jaunes, des gris et des blancs.

À la quantité de taxes sur l’essence qu’un propriétaire de Hummer paie chaque année, il faut avoir beaucoup de respect pour ces gens.

Hummer-H3-rouge-1 Hummer-H3-rouge-2

L’ouverture des américains sur Cuba va-t-il faire baisser le prix des belles d’autrefois?

Depuis l’embargo contre Cuba en 1962, ce pays semble être figé dans le temps.  La vie cubaine, en terme chronologique, semble s’être arrêtée en 1962.

Les rues de La Havane, Santiago de Cuba, Holguin, Santa Clara et plus connue au Québec, Varadero pullulent de voitures des années 50.

Un 1957 Chevrolet Bel-Air par çi, un autre par là. Un 1960 Chevrolet Impala, un vieux Ford 1945, de vieilles Buick servant de taxi, une Cadillac rose.  Cuba semble arrêté dans le temps au niveau de son parc automobile.

Bien sûr sous le capot de ses belles souvent ça se gâte.  Parfois on y retrouve un tout autre moteur.  Les pièces automobiles d’origine manquent à Cuba vu l’embargo.  Mais les cubains sont débrouillards et les belles roulent toujours.

Récemment les États-Unis ont réouvert leur ambassade à La Havane.  Ce n’est qu’une question de mois avant que l’embargo soit relevé progressivement et qu’éventuellement les américains puissent à nouveau voyager à Cuba.

Est-ce que l’ouverture des américains sur Cuba va faire baisser le prix des belles d’autrefois?

On pourrait croire qu’au courant des prochaines années plusieurs américains voudront mettre la main sur les carrosseries de ses belles d’autrefois, les importer aux États-Unis et les restaurer.  Ce qui pourrait amener une chute des prix.

Le temps nous le dira.

1991 Mercedes-Benz 300-Series 300SE notre trouvaille de la semaine du 24 août 2015

Bientôt l’automne 2015, c’est le temps pour certains de magasiner les voitures d’époques.

Il y a plusieurs vendeurs sur le marché après les vacances d’été.  Certains veulent se départir de leurs belles avant l’hiver.

Il y en a d’autres qui cherchent des modèles qui seront classés classique dès l’an prochain alors que le véhicule aura atteint le vénérable âge de 25 ans.

C’est le cas de notre trouvaille de la semaine sur Kijiji, une 1991 Mercedes-Benz 300-Series 300SE, qui sera officiellement une voiture classique dès 2016.

Elle est en vente à Montréal à 5 450$.

Le véhicule est de couleur noir, à propulsion et affiche 200 000 kilomètres au compteur.

Très propre.

moteur: pouces cubes vs litres

Moteur: pouces cubes vs litres. Conversion facile

Les moteurs: pouces cubes vs litres. Deux façons de calculer le volume d’un moteur.

Les vieux s’en rappellent, les moteurs américains dans les années 40-50-60-70 ça fonctionnait en pouces cubes.  Un 351 Cleveland, un 454 Windsor, un Buick 250, un Chevrolet 350 etc…  Aujourd’hui c’est en litre, plusieurs s’y perdent.

Il existe une petite formule toute simple pour convertir les pouces cubes en litres et vice et versa.

Division par 61 ou multiplication par 61. Même en divisant simplement par 60, ça vous donnera une bonne idée.

De manière plus précise, la division est de 61.024.  Mais déjà par 61 ça donne un bon résultat.

Ainsi pour un moteur 351 Cleveland, il était de 5.75 litres.

Vous vous demandez combien de pouces cube possède le moteur Hellcat de 6.2 litres de Dodge? On applique le multiplicateur de 61,024 et ça donne, 378 pouces cubes.

Voilà très simple comme calcul pour les pouces cubes vs litres.

Il existe plusieurs sites Internet vous permettant de faire la conversion automatiquement, celui-ci est très simple.

Vous ne vous rappellerez pas du 61… un truc facile. F est la 6e lettre de l’alphabet. A est la 1ʳᵉ. Ainsi FA. Comme dans l’expression « combien ça fa ?».