Louer un Can-Am Spyder, ça coûte la peau des fesses!

Ils sont plusieurs babyboomers sur le bord de la retraite et motocyclistes avec plus les réflexes d’autrefois à s’intéresser au Can-Am Spyder de BRP.  Les «peureux» de s’acheter une moto deux roues s’y intéresse aussi, surtout que le permis de motoclyclette n’est pas obligatoire, seulement le permis de conduire avec une formation préalable est nécessaire.

Alors avant l’achat d’un Spyder plusieurs sont tentés de louer.

Sauf que peu le fond.

La raison est fort simple, en visitant les différents sites Internet des locateurs de Spyder au Québec, en consultant la grille tarifaire le constat est que ça coûte la peau des fesses louer le bolide.

Approximativement pour louer un Spyder pour un week-end il vous en coûtera au minimum $550.   Pour une semaine, compter plus de 1 200$.  Pour une journée on s’en sort rarement en bas de $300.  Certains offre la location 3 heures mais rarement en bas de $140.  De plus il y a souvent des frais supplémentaires pour le kilométrage excédentaires ça peut aller chercher 29 sous du kilomètre.

Donc en un week-end vous ne faites pas Montréal  – Portsmouth, New Hampshire en passant par les Whites Mountains sans que ça vous coûte en bas de $750.

Conclusion, pour louer un véhicule d’environ une valeur de $25 000 à $35 000, ça coûte la peau des fesses.

Vous pouvez aussi faire un essai routier en contactant le site Internet du fabricant.

Si le budget le permet ou qu’une commandite s’offre, AutoCensure.com essaiera peut-être en 2015 de louer un de ces bolides et si c’est le cas, vous reviendra avec l’expérience utilisateur.

Au cas où la location du Spyder vous tenterait, voici une brève liste de quelques commerçants au Québec qui louent le Spyder Can-Am de BRP.

Claude St-Marie Sports (Saint-Hubert)

Contant (Laval – Mirabel – Sainte-Agathe)

Dion Moto (Saint-Raymond)

F. Constantineau et Fils (Mont-Laurier)

Gordon Yvon (Île-Perrot)

Lapointe Sports (Joliette)

Maximum Locations (Grand-Mère)

Riendeau Sports (Saint-Mathieu-de-Beloeil)

 

G1Tour forcé de quitter le centre d’essais de véhicules automobiles de Blainville

Même si la nouvelle date de deux semaines, elle est passée pas mal inaperçue dans le reste du Québec.  Alors je vous la raconte vu l’importance de la publicité entourant G1 Tour.

Durant plusieurs mois de 2014, plusieurs citoyens de Blainville ce sont plaint, au service de police de l’endroit, du bruit en provenance de la piste d’essais de véhicules automobiles (exploité par PMG Technologies) à Blainville.

En effet G1Tour offre à ses clients d’essayer des véhicules haute performance sur cette piste et évidemment le son généré n’est pas celui d’une Toyota Yaris ou d’une Chevrolet Spark.

La Ville de Blainville a mandaté un procureur le 8 juillet dernier et elle a obtenue gain de cause suite à un jugement de la Cour supérieure du Québec.

Ainsi le 17 août dernier à 17h, G1Tour a cessé ses activités d’essais de véhicules haute performance tel que Lamborghini et Ferrari sur la piste de Blainville.

PMG Technologies avait signé un contrat de trois ans avec G1Tour pour l’utilisation de ses pistes.  Le jugement de la Cour supérieure du Québec vient invalider le contrat.

Ceux qui ont acheté un forfait avec G1 Tour via Groupon ou directement de G1Tour n’ont pas à s’inquiéter, l’entreprise offre d’autres circuits.

Quoi qu’au dire de certains la magnifique courbe presqu’à 45 degrés du circuit de Blainville plaisait au volant d’un bolide haute performance et elle manquera.

Je ferai un essai avec G1Tour prochainement, dans un article je vous raconterai mon expérience.  Je ne me suis pas encore assis dans un de leur bolide et j’en ai déjà long à raconter sur mon expérience avec eux jusqu’ici.  À suivre…

 

Kia annonce la construction d’une usine d’assemblage au Mexique

 

Rejoignant plusieurs grands fabricants du monde, Kia annonce aujourd’hui la construction d’une usine d’assemblage au Mexique, un investissement de près de 1,75 milliards canadiens.

C’est une tendance depuis quelques années, plutôt que de pénétrer davantage le marché américain en y établissant des usines d’assemblages, les constructeurs se tournent vers le Mexique où les règlements locaux sont plus allégants et où les salaires sont aussi plus légers.

 

La Mustang 2015 sera disponible dans les pays à conduite à droite

Ford débute ces jours-ci la production de sa Mustang 2015 à son usine de Flat Rock au Michigan.  C’est la sixième génération de la Mustang en 50 ans.

Pour la première fois de l’histoire de la Mustang, Ford rendra disponible une version avec conduite à droite pour plus de 25 marchés dont l’Inde, l’Angleterre, l’Australie et l’Afrique du Sud.

Aux États-Unis, le prix de la Mustang 2015 modèle de base sera de $24 425, une augmentation de 4,7% par rapport à sa version 2014.

Avec la version conduite à droite, Ford espère stimuler la vente de sa voiture sport dans les marchés émergents.  Elle produit actuellement 220 000 Mustang par année et elle espère augmenter la production à 300 000.

Dans les années 60, les belles années de la Mustang, Ford produisait 600 000 unités de sa voiture «chevalé».

Le modèle 2015 viendra avec une possibilité de trois configuration de moteur.  La version de base avec le moteur V-6 de 300hp, la version 4 cylindres turbochargé de 310hp et finalement le ronflant V-8 de 435hp.

 

Fidèles et passionnés: Eric et sa Toyota Echo 2002

Fidèles et passionnés sera une nouvelle section sur AutoCensure.com qui aura comme principal sujet des passionnés de chars ou des fidèles à leur voiture.

Notre première personne rencontrée est Eric, de Montréal, par respect, AutoCensure.com ne va pas publier son nom de famille.

Ainsi, elle est noire, manuelle et 200 000km au compteur, la Toyota Echo d’Eric est une de ses fiertés depuis 2002.  Au fil des ans le petit bolide lui a rendu beaucoup de services et a été un fidèle compagnon lors de nombreux voyages au Mont Washington au New Hampshire ou bien lors de nombreux voyages aller-retour Québec-Drummondville ou  Montréal-Drummondville.

Elle était là aussi lors d’un road trip  qui avait pour but de voir le bout de la route 138 et de continuer jusqu’à Natashquan.

Pas grands problèmes sur l’Echo 2002, sinon la première année, un petit défaut de fabrication avec les ‘bearings’ de roues qui ont été changés, sous garantie.  Après toutes ces années que de l’usure normale sur la petite voiture noire et oui après 12 ans, la rouille prend un peu le dessus mais ça s’endure très bien.

Eric, pourquoi avoir choisi la Toyota Echo?

Bien c’était en 2002, j’étais alors à pied, à Québec, et l’hiver à Québec c’est long de toujours prendre des taxis pour se rendre à l’autre bout de la ville.  Alors un bon soir en taxi, je me suis rendu chez Toyota Sainte-Foy en disant au vendeur que ça me prennait un char.  Le même soir je l’ai acheté.

La semaine d’après je retournais en taxi la chercher.

Pourquoi l’avoir pris avec une transmission manuelle?

Bien le char d’avant était manuel et j’aime bien le contrôle et la puissance que ce type de transmission me procure tout en étant très économique sur l’Echo.

Après 12 ans de fidelité à l’Echo, penses-tu changer de véhicule bientôt?

Non, pas avant trois ans.  J’espère me rendre à 300 000km et devenir membre d’un 200 000 miles club.  Mais c’est sûr que vu que la rouille gagne un peu l’Echo faudrait que dépasser trois ans que je fasse une «job de body».

Comme le modèle Echo ne se fait plus que regardes-tu comme prochaine voiture?

Pour l’instant une Honda Civic SI ou un Dodge Challenger 2012.  2012 est selon mes lectures la meilleure année pour ce véhicule en terme de fiabilité.  Avant ils ont eu quelques problèmes.

J’aimerais pour la prochaine voiture un peu plus de luxe comme l’air climatisée que je n’ai pas dans mon Echo ou des sièges en cuir.

Si mon choix s’arrête sur le Challenger, ça va prendre une 2e voiture, peut-être que ce sera encore l’Echo.

Sinon pour la Civic SI, ça donnera plus de puissance, ce que je cherche aussi sur ma prochaine voiture.

Merci Eric, bonne continuité avec ta Toyota Echo 2002.

 

Lada, toujours vivante!

Lada

Lada

Bien que la présence des concessionnaires de véhicules Lada au Canada a pris fin en 1998, la marque n’a jamais cessé d’exister de par le monde.

Ainsi le constructeur automobile Lada-AvtoVAZ, établie en 1966 continue de produire à grand rythme, il est toujours le plus grand constructeur automobile en Russie.

Voici la production de véhicules par le fabricant russe depuis 1970.

La marque pourrait connaître une bonne expansion lors des prochaines années alors que depuis le 18 juin 2014, l’alliance Renault-Nissan détient 50,01 % du capital de Lada-AvtoVAZ.

Oui on peut le dire, Lada, toujours vivante!

 

Production d’automobiles de Lada depuis 1970
1970 1971 1972 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979
23 115 173 345 323 422 496 736 637 244 667 741 685 749 696 310 712 482 711 332
1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989
714 443 720 313 713 950 718 860 722 621 726 125 725 044 726 332 731 078 733 064
1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999
743 619 674 884 673 821 656 403 529 403 607 091 679 570 740 526 542 522 677 087
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
706 377 767 300 702 963 699 899 712 000 721 500 724 000 770 000 801 600 294 737
2010 2011 2012 2013
545 450 637 179 608 205 534 911

 

 

Quand tu veux le respect, tu donnes l’exemple

Les policiers du SPVM à Montréal aime comme tous les autres corps policiers quand leurs concitoyens les respecte.

Or, si tu veux le respect dans la vie, il faut donner l’exemple.

Est-ce que les policiers donnent l’exemple de respect ici en appliquant tout plein de collants sur leur voiture de service?

Bien sûr que non.

auto-spvm-2

89/292 ça manque de couleur sur les routes du Québec

Un dimanche matin pas si lointain je m’en allais en marchant à l’épicerie, à environ 1,5 km de chez moi.

Je me suis mis à remarquer les couleurs des voitures, pensant aux paroles d’un Noël passé où les gars regroupées, verre de vin à la main, mentionnaient que les couleurs des automobiles étaient devenues monotones beaucoup trop de blanc, de noir, de gris et de charcoal.

Tiens donc me dis-je, je vais les compter.

Hey bien… voici le resultat de mon sondage non scientifique d’une marche de 1,5km en revenant de l’épicerie.

89 voitures sur 292 étaient d’une autre couleur que blanc, noir, gris ou charcoal. Sur les 89, seulement que 3 n’étaient pas rouge ou bleue.  Soit une verte (pas pu identifier la marque), une rosée (Lexus) et une jaune (New Beetle).

Le reste d’une monotonie incroyable.

C’est quand même triste.  Ça manque de couleur sur les routes du Québec

Une personne mentionnait à ce Noël que les concessionnaires automobiles américains offraient plus de couleurs que les concessionnaires canadiens et qu’il y avait plus de voitures de couleurs sur le chemin aux USA.

Ne voulant trop obstiner, j’ai fais mes devoir.

Nom du modèle (# de couleurs offertes aux USA) – (# de couleurs offertes au Canada).
Toyota Corolla 2015 (9) – (8).  Le vert sapin n’est pas offert aux USA et eux offrent une teinte de gris de plus.
Toyota Camry 2015 (9) – (9).  Mêmes teintes offertes.
Ford Fusion 2015 (9) – (9). Mêmes teintes offertes.
Dodge Dart 2014 (9) – (5).
Dodge Charger 2014 (11) – (8). Au Canada, seulement le rouge est offert hors du blanc, noir, gris et charcoal.
Mazda CX5 2015 (7) – (6).
Lexus GS 2014 (9) – (7).
Volkswagen Passat 2014 (7) – (7).
Beetle 2014 (11) – (7).

Conclusion de ma petite enquête, les concessionnaires américains offrent effectivement plus de couleurs mais il semble que les québécois ne choisissent pas beaucoup autre chose que du noir, du blanc, du gris ou du charcoal alors que le bleu et le rouge sont souvent offerts.

Évidemment dans un marché de 318 millions de consommateurs versus que 35 millions au Canada, il est normal que les concessionnaires canadiens offrent moins de couleurs que les concessionnaires américains.

C’est Henry Ford qui serait content de voir que le noir est encore bien à la mode, lui qui disait de choisir la couleur du modèle de Ford T qu’on désirait, en autant que ce soit noir.