1978 Plymouth Volaré

1978 Plymouth Volaré, notre trouvaille de la semaine

Un beau 1978 Plymouth Volaré vert, à vendre sur Marketplace. C’est notre trouvaille de la semaine.

Ainsi, sur les annonces classées de Facebook (Marketplace), cliquez ici pour y accéder. Nous sommes tombés par hasard sur ce beau Plymouth Volaré vert,

Le véhicule est à vendre par le propriétaire et est situé à Montréal.

Selon le propriétaire, le véhicule affiche 80 000 kilomètres au compteur.

Le Plymouth Volaré, avec tapis et bancs d’origine est muni d’un moteur v8 de 5.2 litres.

Le propriétaire du véhicule demande 6 000$.

Un peu d’histoire sur le Plymouth Volaré

Le Plymouth Volaré est une voiture compacte produite par la marque américaine Plymouth, une division de Chrysler Corporation, entre 1976 et 1980. Elle appartient à la famille des modèles F-Body de Chrysler, qui inclut également la Dodge Aspen, une voiture sœur. Ce modèle a joué un rôle essentiel dans l’histoire de Plymouth en tant que successeur de la Plymouth Valiant, un véhicule qui avait gagné une solide réputation de durabilité et d’efficacité. Voici une analyse approfondie de la Plymouth Volaré, couvrant son design, ses performances, ses variantes, son héritage et son impact.

Au milieu des années 1970, Chrysler cherchait à moderniser son offre pour répondre aux attentes des consommateurs en matière de confort, de style et de rendement énergétique. La crise énergétique de 1973 avait bouleversé le marché automobile, forçant les constructeurs américains à repenser leurs modèles souvent lourds et gourmands en carburant. Dans ce contexte, Plymouth a conçu le Volaré comme une voiture compacte offrant une conduite plus raffinée et un design plus moderne que la vieillissante Valiant.

Le nom « Volaré », signifiant « voler » en italien, visait à évoquer une sensation de légèreté et de fluidité. Ce choix de branding était ambitieux, reflétant les aspirations de Plymouth à séduire un public plus jeune et plus sophistiqué.

La Plymouth Volaré a été conçue avec un design anguleux et une allure contemporaine pour l’époque. Bien qu’elle soit classée comme une voiture compacte, elle affichait des proportions généreuses, offrant un espace intérieur confortable pour une famille. Quelques aspects clés de son design incluent :

La Plymouth Volaré était disponible avec une gamme variée de moteurs, allant des moteurs économiques à 6 cylindres aux V8 plus puissants, pour convenir à différents budgets et préférences de performance. Voici un aperçu des options proposées :

  • Moteur de base Slant-6 de 3,7 L (225 cid) réputé pour sa fiabilité et sa simplicité. Ce moteur offrait des performances adéquates pour une utilisation quotidienne.
  • Un moteur V8 de 5,2 L (318 cid), idéal pour ceux qui recherchaient un compromis entre puissance et efficacité.
  • Un moteur V8 de 5,9 L (360 cid), réservé aux versions haut de gamme ou sportives, telles que le modèle Volaré Road Runner.

Les transmissions disponibles comprenaient une boîte manuelle à 3 ou 4 vitesses, ainsi qu’une boîte automatique TorqueFlite à 3 vitesses, une transmission bien connue pour sa durabilité.

En termes de conduite, la Volaré se démarquait par sa suspension confortable et sa maniabilité décente pour l’époque. Cependant, ses performances globales étaient limitées par son poids relativement élevé et ses moteurs sous-optimisés en raison des normes d’émissions strictes.

L’une des variantes les plus intéressantes était la Volaré Road Runner, qui s’inscrivait dans la tradition des muscle cars de Plymouth. Bien qu’elle ne soit pas aussi puissante que les muscle cars des années 1960, cette version offrait des éléments distinctifs comme :

  • Des graphismes extérieurs audacieux et des bandes de carrosserie.
  • Une suspension améliorée pour des performances sportives.
  • Des options de moteurs V8 pour un peu plus de punch.

Il y a eu aussi le break Volaré qui était particulièrement populaire parmi les familles, grâce à son vaste espace de chargement et sa polyvalence. Cette configuration mettait en avant le côté pratique de la voiture tout en conservant son allure moderne.

À son lancement, la Plymouth Volaré a été bien accueillie, recevant même le titre de « Voiture de l’année » 1976 décerné par *Motor Trend*. Les journalistes de l’époque ont salué son confort, sa qualité de conduite et son design moderne, qui représentaient une nette amélioration par rapport à la Valiant.

Malheureusement, la réputation initiale du Volaré a été ternie par des problèmes de fiabilité et de qualité. Certains des problèmes notables incluaient la corrosion excessive, des problèmes mécaniques d’importances ainsi que des problèmes liés à la suspension et aux freins. Finalement, la finition intérieure et la durabilité des composants étaient parfois critiquées, ce qui a nui à la perception de la marque.

Le Plymouth Volaré était en concurrence avec plusieurs voitures compactes de l’époque, notamment le Ford Granada / Mercury Monarch, ces modèles offraient un design similaire et visaient un marché comparable.
Il y avait aussi le Chevrolet Nova, un concurrent direct, bien établi et connu pour sa fiabilité.
Et finalement des modèles importés avec la montée des importations japonaises comme la Toyota Corolla et la Honda Accord a également ajouté une pression considérable, surtout à la fin des années 1970.

Chrysler a tenté de positionner le Volaré comme un choix équilibré, mais la concurrence féroce et les problèmes de qualité ont limité son succès.

L’héritage du Volaré

La Plymouth Volaré, bien que prometteuse à ses débuts, reste un exemple des défis auxquels les constructeurs automobiles américains étaient confrontés dans les années 1970. Son héritage est mitigé :

Points positifs :

  • Le Volaré a introduit plusieurs innovations techniques, comme la suspension isolée, qui ont influencé les futurs modèles.
  • Elle a marqué la transition de Plymouth vers des véhicules plus modernes et plus orientés vers le confort..

Points négatifs :

  • Les défauts de qualité et les problèmes mécaniques ont sérieusement entaché la réputation de Chrysler à l’époque.
  • Sa durée de vie relativement courte (1976-1980) témoigne de son échec à s’imposer durablement

En 1980, la production du Plymouth Volaré a été arrêtée. Elle a été remplacée par la Plymouth Reliant, l’un des premiers modèles à utiliser la plateforme K de Chrysler. La Reliant, avec son design plus compact et son moteur plus économe en carburant, correspondait mieux aux attentes des consommateurs des années 1980.

Aujourd’hui, la Plymouth Volaré est rarement vue sur les routes et a une valeur relativement modeste sur le marché des voitures classiques. Cependant, certaines variantes, comme la Volaré Road Runner ou les breaks bien entretenus, suscitent un intérêt parmi les passionnés de voitures vintage. Sa rareté relative en raison de la corrosion et des problèmes mécaniques en fait une pièce intrigante pour les amateurs d’histoire automobile.

1978 Lincoln Continental Mark V, notre trouvaille de la semaine

Le 1978 Lincoln Continental Mark V est une grosse voiture de luxe.

Notre trouvaille de cette semaine du 11 juillet 2022 est dotée d’un moteur de V8 de 7.5 litres (460 pouces cubes).

Sa couleur extérieure est d’un magnifique bleu et son kilométrage ne serait que de 14 583 km. Nous avons certains doutes, compte tenu que c’est une voiture de 44 ans.

Ce magnifique 1978 Lincoln Continental Mark V est en vente sur le populaire site Internet d’annonces de véhicules usagés Cargurus.

Son poids, attention, c’est une grande et grosse bagnole:  4960 livres.

Sa longueur, 230 pouces. Ce qui en fait la voiture la plus longue jamais produite par Lincoln.

Le prix demandé par le vendeur Knight Motors à Ottawa, est de 8 999$.

Notez que toutes les Continental Mark V étaient assemblées aux côtés de la Lincoln Continental dans l’usine de montage de Wixom, dans le Michigan, aujourd’hui fermée.

 

1978 Ford Thunderbird

1978 Ford Thunderbird notre trouvaille de la semaine

Comme les magasins réouvrent dans le gransd Montréal après le confinement dû à ette pandémie de coronavirus (COVID-19), nous avons décidé de recommencer à publier sur AutoCarbure.  Malheureusement pour les amateurs de véhicules antiques, au moment d’écrire ces lignes, aucun rassemblement d’amateurs de véhicules ne pourra avoir lieu avant septembre puisque le gouvernement du Québec, par décret, empêche tout rassemblement extérieur majeur d’ici le 31 août. Ainsi, vous l’aurez compris, que l’événement phare de l’année au Québec, le Granby International, n’aura pas lieu en 2020.

Au moment d’écrire ces lignes au 25 mai, rien n’indiquait que cela n’allait changer pour tous les autres rassemblements.

Ainsi, note trouvaille de la semaine du 25 mai 2020 est un 1978 Ford Thunderbird trouvé sur le populaire site Internet d’annonces classées LesPac.com.

Le véhicule a une très belle peinture orangée et est aussi tout orangé à l’intérieur.  C’est tout de même assez rare de nos jours sur les routes du Québec.  Le véhicule est très propre.

C’est un coupé deux portes à propulsion pesant plus de 4 000 livres.

Il est équipé d’une transmission automatique et d’un moteur V8.

Ce géant 1978 Ford Thunderbird est en vente à St-Hubert sur la Rive-Sud de Montréal pour la somme de 3 895$.

Le véhicule est en excellente condition et équipé de :

  • AIR CLIMATISÉ
  • LECTEUR CD + PRISE AUXILIAIRE
  • VITRES ET PORTES ÉLECTRIQUES

C’est une belle voiture de collection avec ses 42 ans d’existence.

 

 

1978 Oldsmobile Ninety-Eight Regency

1978 Oldsmobile Ninety-Eight Regency notre trouvaille de la semaine du 22 janvier 2018

Sur le populaire site d’annonces classées appartenant au géant américain eBay, Kijiji, nous avons déniché un 1978 Oldsmobile Ninety-Eight Regency. C’est notre trouvaille de la semaine du 22 janvier 2018.

Le véhicule est en vente à Drummondville, son propriétaire demande 4 500$.

Ce Oldsmobile, un coupé, possède deux portes et il est agé de 40 ans.

Il est muni d’une transmission automatique th350 à trois vitesses avec des roues motrices arrière, donc à propulsion.

Côté motorisation le véhicule a un v8 de 403 pouces cubes ou si vous préférez de 6.6 litres.

Au compteur, le véhicule affiche 130 000 kilomètres mais on peut présumer que ce sont plutôt 130 000 miles puisqu’en 1978 le compteur devait plutôt affiché des miles. À confirmer avec le propriétaire si vous le contactez.

Le propriétaire du Oldsmobile Ninety-Eight Regency affirme que la mécanique de son véhicule est en très bonne condition.

1978 c’est la 10e génération pour le Ninety-Eight, la première génération remonte à 1941.

Le modèle Ninety-Eight de Oldsmobile a été discontinué en 1996 avec une fin de production le 31 mai.

 

 

 

Pourquoi pas le retour de « La belle province » sur les plaques d’immatriculation?

C’est en se rendant dans un restaurant La Belle Province des Laurentides que l’idée de cet article est venue.

La devise du Québec, on le sait tous est « Je me souviens » et on ne peut pas l’oublié quand on est pris dans le trafic sur l’autoroute 15 ou à Montréal, cette devise est inscrite sur toutes les plaques numérologiques des véhicules immatriculés au Québec.

Sauf que… c’est ainsi depuis 1978 sur les plaques numérologiques du Québec.

Cette devise est quelque peu loufoque quand on pense à la façon dont les québécois votent tant au fédéral, au provincial et au municipal.  Je ne vais pas entrer ici dans des détails politique mais que commenter la façon des québécois de voter malgré leur haine envers un ou une politicienne qu’ils vont réélire.

C’est tellement étonnant que le Québec porte cette devise alors qu’en réalité les québécois ne se rappellent pas de grand chose.

Avant 1978, la devise inscrite sur les plaques numérologiques des véhicules immatriculés au Québec était « La belle province ».

Pourquoi avoir changé cela?

Encore aujourd’hui nombreux québécois, ontariens, gens du Nord-Est des États-Unis donnent le sobriquet de « La belle province » au Québec.

Pourquoi pas un retour à «La belle province» sur les plaques d’immatriculation du Québec?

Une telle devise est touristiquement plus vendeur qu’une devise comme «Je me souviens».

À peu près tous les véhicules antiques immatriculés au Québec ont sur leur devant une plaque avec «La belle province» incluant l’année du véhicule.  C’est une façon intéressante pour les admirateurs de véhicules antiques d’identifier facilement l’année du véhicule.

Espérons qu’un jour la SAAQ songera à modifier la devise sur les plaques du Québec. Le « Je me souviens » est tout simplement ridicule, sinon qu’ils nous aident à se rappeler combien ça coûte cher immatriculer un véhicule au Québec, encore plus depuis le 1er janvier 2016 pour les propriétaires de gros moteurs, tel qu’illustré dans cet article sur AutoCarbure.com.

Une Fiat de 37 ans, notre trouvaille de la semaine du 7 décembre 2015

Sur Kijiji, l’équipe d’AutoCarbure.com a déniché une 1978 Fiat x19.  Une Fiat de 37 ans.  Elle a besoin d’amour à l’intérieur.

Que 65 000 kilomètres au compteur, de couleur noire.

C’est un coupé deux portes avec roues motrices arrières et muni d’une transmission manuelle.

Le vendeur est à Hawkesbury, Ontario et demande 4 000$ pour son véhicule.

Le véhicule n’a jamais sortie l’hiver et a toujours été entreposé dans un garage chauffé.

Aux dires du propriétaires le véhicule est évalué à 5 500$.

Aucune rouille.

C’est une belle pièce de collection qui vous est offert là.  Toujours est-il qu’il faut apprécier ces vieilles voitures italiennes qui demandent parfois beaucoup d’attention.