En matière automobile, le libre choix monsieur Couillard, connaissez-vous ça?

Le gouvernement du Québec veut imposer aux concessionnaires du Québec une norme «zéro émission» pour les nouveaux véhicules vendus.

La norme consistera, comme en Californie, à exiger un pourcentage de véhicules vendus à zéro émission de gaz à effet de serre, les fameux GES.

Cette norme exige donc qu’un certain niveaux de véhicules à zéro émission soit vendus.

Est-ce que ça sera par exemple sous forme de quota, alors qu’un concessionnaire devra atteindre un minimum de, disons, 5% de véhicules à zéro émission par mois?

Qu’en est-il si le quota n’est pas atteint?  Une pénalité au concessionnaire qui la refilera aux clients?

Cette mesure demeure stupide et intrusive de la part du gouvernement.

Ce n’est pas la mission d’un gouvernement de dicter aux concessionnaires quels véhicules ils doivent vendre.

D’autant plus que le gouvernement a une cible complètement loufoque quant au niveau de véhicules électriques au Québec.  Actuellement il y a 7 500 véhicules électriques sur les routes du Québec.

Dans 5 ans le gouvernement veut que ce chiffre grimpe à 100 000.  Autrement dit, vendre 18 500 véhicules électriques par année pour les 5 prochaines années.

C’est du délire.

Il se vend environ 400 000 véhicules neufs par année au Québec.  Le gouvernement voudrait donc que 4,5% des nouvelles voitures vendues soit zéro émission.

A-t-il en place au Québec présentement un réseau pour satisfaire le rechargement de 100 000 véhicules électriques?  Bien sûr que non sinon ça fera la queue pendant un kilomètre pour recharger les Tesla aux bornes disponibles à Drummondville.

C’est complètement loufoque et improvisé de la part du gouvernement Couillard.

Déjà que le consommateur est taxé, voire pénalisé, sur l’essence si son véhicule est gourmand.  Dois-je rappeler que le Québec a la taxe sur l’essence la plus élevée en Amérique du Nord?

Finalement tous les élus du gouvernement Couillard devraient comprendre que le problème avec les supposés changements climatiques sur la planète est dû en grande majorité à cause des volcans.

Plusieurs reportages sérieux sont disponibles sur YouTube à cet effet.

Que les élus de ce gouvernement se lèvent ensemble et disent quel est leur vrai but avec toutes les mesures et règles qu’ils veulent instaurer au nom de sauvons la planète.

Leur vrai but est de vous taxer davantage.  Déjà qu’avec la taxe sur le carbone bon nombres d’entreprises de fabrication et de transformation ne veulent pas s’établir au Québec alors que le dollar canadien est faible et qu’il serait avantageux pour eux de s’établir ici afin de maximiser les exportations.  Cela créerait beaucoup d’emplois mais le gouvernement Couillard, avec ses taxes, étouffe toute créativité en matière de création d’emploi et le taux de chômage de la province s’en ressent.

Obtenir davantage d’argent dans le seul et unique but de ne pas étouffer l’incompétence du gouvernement en matière de Santé, d’Éducation, de Transport et plein d’autres domaines où le gouvernement met son nez et où il échoue.

Que vous soyez en accord ou nom avec les changements climatiques.  Un fait demeure.  La liberté ne doit jamais être brîmé pour faire plaisir à un gouvernement sans vision comme le gouvernement du Québec.  Ce gouvernement improvise et n’a pas de plan réel pour combattre les émissions de GES et ignore l’efficacité des mesures qu’il prendra.

Quand un médecin me parle environnement c’est pour moi la même chose que lorsqu’un musicien me parle mécanique ou lorsqu’un pâtissier me parle plomberie.

Les mesures imbéciles du zéro émission vont faire en sorte que les véhicules neufs vont se vendre plus cher et les consommateurs étouffés par cet inflation gouvernementale ne vont que repousser la date d’achat d’un nouveau véhicule et continueront d’émettre davantage de GES avec leur ancien véhicule.

Quelle sera la solution du gouvernement Couillard pour pâlier à cette faille de leur programme zéro émission?

Probablement imposer une taxes de vieillesse à l’immatriculation de vos vieux véhicules.

Ce gouvernement n’est en place que depuis 25 mois et déjà il est obsolète.

M. Couillard laissez le libre choix aux automobilistes et ils tiennent autant à leur planète que vous.  Alors si ce que vous véhiculez comme peur avec l’émission des GES est vraie, bien le consommateur adaptera son comportement de lui-même.  Pas besoin d’un gouvernement qui improvise sur le sujet pour lui imposer quoi que ce soit.

Le libre choix M. Couillard, c’est votre meilleur alié si vous désirez vous faire réélire aux prochaines élections.

De plus M. Couillard, ne copiez pas trop la Californie, c’est un État qui est techniquement en faillite, vous ne voudriez pas amener le Québec là tout de même.

 

 

 

Une belle saison touristique estivale 2015 au Québec

Le gouvernement du Québec se pètent les bretelles pour la réussite de la saison touristique à Montréal mais en réalité il y est pour rien.  Un seul facteur a influencé les touristes étrangers. La faiblesse du dollar canadien.

Nombreux étaient les autobus dans le Vieux-Québec et le Vieux-Montréal comme on peut le constater sur le cliché ci-haut.

Beaucoup d’autobus en provenance de New York, du Massachussets et du Connecticut.

Ce qui a fait connaître à Montréal et à la province de Québec, toute une saison touristique estivale 2015.

Pour attirer davantage de touristes, le gouvernement devrait mettre le moins d’argent possible dans la promotion touristique et diminuer les taxes sur le litre d’essence. Il y aurait encore plus de touristes au Québec.

Cette saison les américains qui sont venus se balader au Québec avait un en tête une expression quand ils arrivaient à la statio-service et qu’il constatait les prix de 1,25$ le litre…  «rip-off», traduction libre, un vrai vol.

Sachant cela, plusieurs ont été vers Toronto et la région de la Capitale Nationale du Canada étant donné que le prix de l’essence y était moins cher.

Est-ce que le gouvernement du Québec revisera à la baisse son taux de taxation sur l’essence pour 2016?

Jusqu’à 26 cents de différence sur le litre d’essence dans un rayon de 150km au Canada

À Montréal samedi, plusieurs stations-services affichaient le prix du litre d’essence à 134,4$.

À Maxville, en Ontario, une station Ultramar vendait son litre d’essence à 1,079$ samedi le 13 juin.

Une différence de 26 cents le litre.  Sur un plein de 50 litres, on parle ici d’une différence de 13$.

Sur une base annuelle, d’un plein par semaine, c’est une différence plus de 650$.

La faute aux pétrolières?  Non la faute au gouvernement du Québec qui a une soif insatiable de taxes. À Montréal un litre d’essence de 134,4$ contient près de 52 cents en taxes de toutes sortes.

Vous vous rappelez la chanson de Charlebois… Blâme pas le gouvernement, débarasse-toi z’en!

AutoCarbure.com ne désire pas tourner le fer dans la plaie, mais pendant ce temps à Manchester au New Hampshire le gallon d’essence américain est à $2.53 l’équivalent en dollar canadien et en litre à 0,816$ le litre. Tout de même 65% moins cher qu’à Montréal.  Plusieurs québécois se rendant à l’événement de la NHRA à Epping, New Hampshire ce week-end ont pu faire le plein d’essence à ce prix.

Essence, retournerons-nous à 1,494$ bientôt?

C’était en août 2013?  Une station Petro-Canada de Montréal affichait le prix de 1,494$ le litre.

Retournerons-nous à 1,494$ bientôt?

Aux moments d’écrire ces lignes le prix du litre d’essence était à 1,07$ à Montréal.  C’est 28% inférieur au prix d’août 2013.

Certains experts semblent dire que non.  D’autres disent que oui.

Les finances de la province de Québec dicteront le prix du litre dessence dans les trimestres à venir.

La raison est fort simple c’est que sur un prix de 1,07$ le litre, plus de 45 cents sont versés en taxes aux différents pâliers de gouvernement, celui du Québec en prend la plus grande tranche.

La réponse à la question initiale est donc entre les mains du gouvernement du Québec car selon les experts internationaux, le prix du baril de pétrole ne devrait pas retourné à $100 avant des lunes.

C’est aux alentours de $115 le baril que se maintenant le prix du baril de pétrole sur les marchés internationaux.  À cette époque également, le dollar canadien était seulement à 4% moins dispendieux que le dollar américain.  Aujourd’hui il est à 19% inférieur au dollar américain.