Investir dans Elio Motors via StartEngine.com

En attendant la campagne de Dubuc Motors qui devait débuté hier sur StartEngine.com, vous avez la possibilité d’investir dans Elio Motors sur cette plateforme de sociofinancement.

Qu’est-ce que Elio Motors?

C’est l’entreprise fondée par un homme, Paul Elio. Il a produit un protoype d’automobile deux places, trois roues, permettant d’atteindre la consommation de 84 miles par gallon soit l’équivalent métrique de 3.4 litres au 100 km.

Côté look, la P5 (prototype #5), pas évident. Côté consommation, cela intéressera beaucoup de monde.

Le but de Elio Motors est de vendre sa voiture au prix de 6 800 dollars américains et qu’elle soit 100% fabriquée aux États-Unis.

Son look ressemble à un roadster de Can-Am avec ses deux roues avant qui ressortent.

Vous avez jusqu’au 1er février pour investir vos dollars dans Elio Motors. L’automobile serait assemblée à Shreveport, Louisiane, aux États-Unis dans une ancienne usine de 1 million de pieds carrés de General Motors.

M. Elio pense pouvoir créer directement et indirectement 18 000 emplois à la grandeur des États-Unis avec la fabrication et la vente de son modèle.

Dubuc Motors veut amasser 36 millions pour fabriquer au Québec sa voiture électrique Tomahawk

Après avoir été refusé à peu près partout au Québec en cherchant du financement pour fabriquer sa voiture électrique Tomahawk, les dirigeants de Dubuc Motors, entreprise de Québec, lanceront sur une campagne de sociofinancement aux États-Unis sur le site StartEngine.com afin d’amasser l’équivalent de 36 millions de dollars canadiens.

C’est audacieux, encore plus lorsque l’automobile électrique perd de l’attrait alors que le baril de pétrole est sous les $30 et que l’essence est a bon marché à peu près partout en Amérique du Nord… sauf au Québec où le gouvernement est très vorace en taxes.

L’entreprise a ainsi trois mois pour amasser les fonds durant sa campagne sur StartEngine.com.  Contrairement à d’autres sites de sociofinancement, celui-ci permettra à Dubuc Motors de vendre des actions privés en échange de dollars plutôt que, comme sur KickStarter, vous vendiez des produits.

Les contributeurs deviendront des actionnaires de Dubuc Motors dont les associés sont actuellement Mario Dubuc et Mike Kakogiannakis.

C’est son modèle Tomahawk que Dubuc Motors veut produire.  Un véhicule qui a été dévoilé au Salon international de l’auto de Québec en 2014.  C’est un véhicule de luxe, près du double d’une Tesla S.  Le prix a été établi à 160 000$.

La Tomahawk est une voiture à quatre roues motrices, deux moteurs, un situé à l’avant et l’autre à l’arrière.  Cöté performance, la voiture peut faire le 0-100 km/h en 3,2 secondes et possède une autonomie de 450 kilomètres.

Dubuc et Kakogiannakis travaillent sur ce projet depuis une dizaine d’années, mais pour Mario Dubuc le rêve remonte à beaucoup plus loin.

Si Dubuc Motors réussit sa compagne de financement sur StartEngine, elle aimerait débuter la production à l’automne 2017 et d’ici 2018 produire 100 véhicules.

Les entrepreneurs tiennent à ce que la conception de leur voiture électrique Tomahawk soit 100 % québécoise, mais ils n’excluent pas que certaines composantes proviennent des États-Unis.

Avec ce financement Dubuc Motors prévoit créer jusqu’à une centaine d’emplois au Québec.

 

2008 MINI Cooper S Coupe notre trouvaille de la semaine du 18 janvier 2016

Sur Kijiji nous avons trouvé une 2008 MINI Cooper S Coupe à vendre à Montréal.  C’est notre trouvaille de la semaine du 18 janvier 2016.

Le véhicule a seulement 119 000 kilomètres au compteur.  Très propre pour un véhicule de presque 8 ans.

Le vendeur mentionne que l’auto a toujours été entretenue chez le concessionnaire Mini.

Elle est toute équipée avec vitres électriques, sièges chauffants, régulateur de vitesse et toît ouvrant

Dotée d’une transmission automatique à six vitesses, le véhicule est à essence.

Le vendeur mentionne que la voiture est performante mais ne donne pas de détails sur le moteur du véhicule.  Est-ce le moteur turbo de 1.6 litres de 172 chevaux  ou celui très performant de 207 chevaux?

Quoi qu’il en soit, à 172 chevaux, ça demeure tout de même très puissant comme moteur pour un véhicule qui ne pèse pas plus de 2 667 livres (1 210 kilos).

Le vendeur demande 8 499$, un très bon prix.

 

 

 

 

78 millions de nouveaux consommateurs potentiels pour les géants de l’automobile américain

L’accord nucléaire récemment signé entre les États-Unis et l’Iran est entrée en vigueur. Cela ouvre la porte aux entreprises américaines qui veulent faire des affaires sur le territoire iranien.

Les portes sont donc ouvertes pour les fabricants automobiles américains américaines avec un potentiel de 78 millions de nouveaux consommateurs.

Ford, GM et FCA (Chrysler) peuvent donc vendre leurs gammes de véhicules à la population iranienne.

Mais attention cet accord pourrait être une tempête dans un verre d’eau pour les sociétés américains car il y a longtemps que les fabricants automobiles chinois, japonais, allemands et français peuvent vendre aux iraniens. Ceux-ci ont donc une longueur d’avance sur leurs compétiteurs américains.

À l’époque où les limousines étaient de facto reliés aux Lincoln du géant Ford, il aurait été plus qu’attrayant pour le géant de Detroit de faire affaires avec l’Iran. Mais là les allemands et les chinois peuvent offrir quelque chose de bien similaire voire parfois même mieux. En parralèle, les modèles Lincoln ne sont plus ce qu’ils étaient la Town Car, la matière première légendaire à fabriquer des limousines, ayant disparue en 2011.

Est-ce que l’ouverture du marché iranien et ces 78 millions de nouveaux consommateurs potentiels pourrait ramener la Town Car? Probablement pas.

En termes de grandes et petites entreprises, le pickup américain pourrait être un gros vendeur en sol iranien.  Encore une fois, les japonais pouvaient y vendre bien avant les américains.  Il y a fort à parier que cela prendra du temps à Ford et son F-150 pour voir ses parts de marchés dominer en Iran.

En ce qui concerne l’électrification des transports, c’est à dire les chances de voir la Chevrolet Volt prendre preneur en Iran est peu probable. Ce pays mise sur l’exportation pétrolière comme principale source de revenu, il y a donc très peu de chance qu’ils établissent sur leur territoire un réseau de bornes électriques pour les recharges des véhicules électriques.

Chose certaine, pas de problème pour les grosses cylindrées américaines en Iran, c’est un pays de pétrole et l’essence est peu dispendieuse pour le peuple iranien.

Le Salon de l’auto de Montréal est trop tôt de deux semaines

Lorsque le Salon International de l’auto de Montréal débutera pour le grand public ce vendredi, il y aura déjà eu toute une panoplie d’annonces de nouveaux véhicules à Detroit, Michigan, au plus grand salon de l’auto d’Amérique du Nord.

Encore pire, ce salon chevauche celui de Montréal.

Montréal tiens son salon en 2016 du 15 au 24 janvier, Detroit tiens le sien du  11 au 24 janvier.

Tout nouveau véhicule annoncé à Detroit sera donc théoriquement, malheureusement aussi en pratique, absent du salon de l’auto de Montréal.  C’est à Detroit que GM, Ford et FCA (Chrysler) en profitent souvent pour annoncer leurs nouveaux modèles, ils sont chez eux au Michigan.

Pourquoi donc tenir le Salon de l’auto de Montréal si tôt?

Le Salon pourrait très bien se tenir du 28 janvier au 7 février.

Ha mais non le 7 février c’est le 50e Super Bowl!!! Qui aime l’auto aime aussi le football.

Non justement ce n’est pas un automatisme.  Puis pourquoi alors ne pas faire du 7 février la journée familiale et ceux qui préfère l’automobile au football pourront aller voir les modèles de l’année pendant que d’autres s’enfileront bière et ailes de poulet chez eux.

Si le Salon se tenait en 2016 du 28 janvier au 7 février, les visiteurs au Palais des Congrès pourraient bénéficier des annonces effectuer à Detroit et contempler eux aussi les vrais nouveautés et non le menu fretin des annonces effectuées à Montréal et qui ont un impact tellement trop local.

Toronto tiens son salon du 12 février au 21 février cette année, loin de celui de Detroit, mais assez pour présenter au public présent les annonces faites à Detroit.

Montréal, Toronto ou Québec ne pourront jamais rivaliser avec en Detroit en terme de notoriété de salon d’auto mais ils peuvent surtout éviter de tenir leur salon respectif en même temps que Deteoit et ainsi avoir toute l’attention médiatique nécessaire.

Pensez-vous un instant que vendredi à l’ouverture que la crème des médias sera présente au Salon International de l’Auto de Montréal?

Non, la crème est à Detroit, au North American International Auto Show, le salon de l’auto le plus médiatisé en Amérique du Nord.

encan Barrett-Jackson Scottsdale

Avez-vous votre catalogue 2016 Barrett-Jackson Scottsdale?

Le catalogue 2016 de Barrett-Jackson Scottsdale est disponible depuis quelques semaines en pré-commande et depuis quelques jours en commande.

C’est 25 dollars américains, un léger coût pour la richesse de son contenu.  Vous pouvez-vous le procurer sur le site Internet de Barrett-Jackson.

Il contient les photos et descriptions de tous les véhicules qui seront offerts à l’enchère du 23 au 31 janvier prochain à Scottsdale, Arizona. Un bijou.

Ces catalogues sont tellement bien faits que Barrett-Jackson en vend sur son site d’enchères passées.  Ils sont de véritables pièces de collection.

On peut même se procurer de plus anciens catalogues sur eBay.

Pour ceux qui ne pourront suivre l’enchère sur place, le canal Velocity disponible entre autre sur Vidéotron pour un léger supplément présentera plusieurs segments de l’enchère ce week-end là.

 

 

2013 Mazda 6 berline, notre trouvaille de la semaine du 11 janvier 2016

Une 2013 Mazda 6 Berline est à vendre sur le site Kijiji, l’automobile est située à St-Denis-de-Brompton. dans les Cantons-de-l’Est au Québec, que d’autres appellent aussi l’Estrie, située une quinzaine de kilomètres de Sherbrooke, la ville reine de l’endroit.

La voiture, très propre, n’a que 80 000 kilomètres au compteur, elle est de couleur blanche et dotée d’une transmission automatique à cinq rapports.

Le moteur, de 2.5 litres, est à quatre cylindres et peut déployer 170 chevaux.  Ce n’est pas le modèle équipé du moteur v6 de 3.5 litres qui lui est beaucoup plus puissant avec ses 272 chevaux.

En 2013, c’était la seconde génération du modèle 6 chez Mazda.

La voiture peut accueillir cinq passagers dont trois qui seront confortables à l’arrière.

Le véhicule est aussi doté de freins ABS à l’avant et à l’arrière.

Le propriétaire demande 9 000$.

C’est notre trouvaille de la semaine du 11 janvier 2016.

Achetez une voiture usagée au Québec via le régistre des ventes des biens saisis

Avant le régistre des ventes, un huissier saisissait des biens et devait faire paraître une annonce dans le journal, et des gens pouvaient acheter ces biens aux enchères.

Le processus était trop discret, et peu de gens pouvaient participer à l’enchère du fait qu’ils n’en étaient pas informés.

Voilà  que depuis le 1er janvier 2016, le code civil du Québec oblige les huissiers à inscrire au régistre des ventes tout bien qui sera mis aux enchères.

La consultation de ce registre permet de s’informer sur les ventes sous contrôle de justice et peut-être d’acquérir des biens à un prix avantageux.

Le régistre peu être consulté ici et est administré par le Ministère de la Justice du Québec.

Évidemment une catégorie de bien très prisée aux enchères sont les véhicules diverses dont les automobiles et les camions.

Dans le régistre des ventes, il y a la section véhicules et pièces et au moment d’écrire ces lignes il y avait 15 entrées pour ventes aux enchères dont une 2004 Audi A4, un 2014 Land Rover Range Rover, un 2006 Ford F-150.

On peut même associé un numéro de plaque au véhicule en vente, ce qui ne semble pas très discret, malgré que ce soit que les forces de l’ordre et du gouvernement qui aient accès à l’identification de plaque numérologique.

Donc si vous cherchez un véhicule usagé à bon prix, il serait bon de consulter de temps à autres le régistre des ventes du Ministère de la Justice du Québec.

Des recharges aux bornes électriques si populaires au Québec? On se calme!

Le Circuit électrique de bornes électriques alimentées par Hydro-Québec a connu une année 2015 que la société d’État qualifie «d’exceptionnelle».

Qu’est-ce qu’il y a de si exceptionnel?  46 000 recharges effectués aux bornes du réseau en 2015.

La société en rajoute en mentionnant qu’en un an, le nombre de recharges mensuelles sur les bornes électriques de son réseau a plus que doublé, passant de 2 600 à 6 300 recharges.

Sincèrement, y a pas de quoi écrire à sa mère, pourquoi donc?

Parce que si le parc automobile québécois n’avait qu’un simple 5% de véhicules élecriques, le réseau en place ne tiendrait pas la route et la société d’État devrait sortir les milliards pour mettre en place un réseau efficace avec davantage de bornes électriques et ce en augmentant davantage le coût du kilowatt/heure aux clients résidentiels québécois.

Or, le parc automobile actuel au Québec n’a même pas 1% de véhicule électrique, en fait quelque part entre 0,13% et 0,16% probablement moins de 8 000 véhicules. Or avec 8 000 véhicules, il est normal que les bornes du réseau d’Hydro-Québec aient connu 46 000 recharges en 2015, même que être la société d’État je me questionnerait à savoir pourquoi les 8 000 véhicules n’ont utilisé le réseau que moins de 6 fois chacun en moyenne pour l’année.

Rappelons que le gouvernement du Québec veut atteindre la cible de 80 000 véhicules électriques sur le parc automobile québécois pour 2020. C’est dans moins de quatre ans. Il faudrait qu’au courant des 47 prochains mois, que les québécois achètent par mois 1 500 véhicules électriques pour atteindre cette cible. La marche est donc très haute voire impossible. Mais il y a fort à parier que le gouvernement va user de généreuses subventions à la hausse pour insciter les québécois acquérir des véhicules électriques ou encore il va taxer davantage l’essence pour étouffer davantage les contribuables et ainsi qu’ils rangent leur véhicule pour opter pour le transport en commun et ainsi que la proportion de la voiture électrique augmente versus le parc automobile en place en 2020.

Avec les récentes hausses des droits d’immatriculation à la SAAQ pour les véhicules ayant un moteur de plus de 3,9 litres, le gouvernement québécois est en train d’étouffer l’automobiliste.

Pour l’instant peu d’automobilistes ont réussit à être convaincus de payer 35 000$ pour acquérir une Chevrolet Volt alors que pour le même montant ils peuvent s’acheter une Hyundai Elentra et mettre 10 000$ d’essence dans leur réservoir afin de pouvoir parcourir plus de 100 000 kilomètres.  La plupart de ceux qui l’ont fait sont des travailleurs professionnels, des entrepreneurs ou ceux qui sont appellés en technologie les early adapters qui sont toujours une poignée à se lancer sur les nouvelles technologies parfois de façon aveugle.