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Le programme de partage d’auto CarShare d’Enterprise viendra-t-il au Québec?

La compagnie Enterprise locations d’autos se passe de présentation au Québec avec ses multiples publicités télévisées et pour ceux qui la connaisse déjà ses bons prix.

Voilà que l’entreprise offre dans plusieurs villes américaines et quelques villes canadiennes (Mississauga, Regina, Sackville, Saskatoon et Toronto) son programme de partage d’autos CarShare.

Un compétiteur direct du très connu à Montréal, Communauto et ses sempiternelles Toyota Yaris.

Est-ce que l’entreprise viendra s’établir au Québec? Pourra-t-elle s’établir à Montréal en se trouvant une place derrière le tandem STM-Communauto et avoir l’accord de l’administration du maire Coderre?

On ne le sait pas mais au moins elle a sur son site Internet canadien, tous les détails de son programme de location de véhicule à l’heure, jour ou nuit, CarShare.

L’entreprise assure que son programme est aussi simple que de Adhérer, Réserver, Déverrouillez et partez! Puis retourner le véhicule.

Étant donné sa belle réputation, Entreprise pourrait faire tout un tabac au Québec avec son programme de partage d’auto pratique.

Plus pratique que Communauto, le programme CarShare est doté de nombreux véhicules Sedan à 5 portes, 4 portes et même des pickups et des camionnette de type cargo, des SUV et des véhicules hybrides et même entièrement électriques, ce que CommunAuto offre aussi avec quelques Nissan Leaf, Toyota Prius, Chevrolet Volt et Ford Focus disponibles.

Comme Communauté est établie à Montréal, Québec, Sherbrooke, Gatineau, Ottawa, Kingston, Halifax et Paris, il n’y a aucune raison que Enterprise et son programme CarShare ne vienne pas s’établir aussi dans ces mêmes villes et pour une saine compétition dont le consommateur sortira grand gagnants.

En espérant que les gouvernements municipal (Montréal) et provincal ne viennent pas gâcher la fête comme ça été le cas avec Uber qui espère toujours SA place à Montréal comme elle l’a actuellement dans plusieurs villes d’amérique du Nord, dont Toronto, ville Reine de l’Ontario.

 

 

 

Nissan Leaf, voiture du future ou de la préhistoire automobile version électrique?

Sortir de la préhistoire avec une Nissan Leaf avec une autonomie de 550km?

Le monde des voitures électriques en est encore qu’en mode préhistoire voire jurassique. Tous attendent l’annonce d’une nouvelle Tesla comme Apple présentait son dernier Mac dans les années 80 aux premiers balbutiements des ordinateurs version bureau.

Pendant ce temps les compétiteurs de Tesla, avec beaucoup plus de moyens que l’entreprise californienne, investissent massivement en recherche & développement (R&D) et voilà que le constructeur automobile nippon, Nissan, s’affaire à développer une nouvelle version de sa Leaf.  Celle-ci aurait une autonomie largement augmentée.

Ainsi dès 2018, Nissan pourrait offrir au grand public une version en mode autonome de 550km de sa nouvelle Leaf.

Pour le moment dans le monde préhistorique de l’autonomie, c’est la Tesla S 90D qui est la championne de l’autonomie avec ses 473 kilomètres.

Évidemment, au Québec, cette autonomie est réduite considérablement en hiver avec la chauferrette qui fonctionne par grand froid. Les constructeurs, semble-t-il, travaillent à trouver des solutions.

Pour revenir à Tesla, certains vont même à la comparer dans le monde automoibile à la Tucker.  Tucker est une défunte entreprise américaine qui a fabriqué 51 exemplaires de sa version Tucker 48, une voiture remplies d’innovation pour l’époque mais qui n’a pas survécu dans le temps faute de moyens et de compétiteurs féroces.

Tesla a-t-elle les moyens de pouvoir continuer bien longtemps? Beaucoup se questionnent. L’entreprise perd actuellement 250 millions par trimestre sur des ventes d’environ 1,2 milliards.  Quant à sa dette, elle en finit plus de monter. L’avenir le dira.

Pour revenir à Nissan, il faudrait également que le constructeur japonais séduise le grand public avec un autre modèle électrique que la Leaf qui est ni plus ni moins qu’une version gonflée de sa Versa.  À quand une Altima électrique ou même une Maxima version ou mieux un Murano entièrement électrique?

Est-ce que l’aventure électrique de l’automobile va bientôt sortir de sa préhistoire ou éventuellement subir le même sort que les dinosaures, disparaître?

 

Nissan Leaf, voiture du future ou de la préhistoire automobile version électrique?

Rencontre inattendue d’une Nissan Leaf toute blanche

Les voitures électriques ça ne courent pas encore les rues en 2015, surtout en période où le prix de l’essence est en baisse, aux alentours de 1,05$ le litre un peu partout au Québec.

Rencontrée ici une Nissan Leaf à Montréal.

Vraiment petit véhicule, très similaire à une Versa Note, mais pratique avec un beau look.

Tout de même un véhicule qui se vend à partir de 31 998$ neuf chez le concessionnaire. On parle au bas mot ici d’un véhicule coûtant plus de 36 000$.

Pourquoi payez le double d’une Nissan Versa Note, alors que vous pourriez vous pourriez mettre 16 000$ d’essence et vous promenez avant d’acquérir une Nissan Leaf à 36 000$?  Pour le Zero Emission garantie par Nissan?  Il faut vraiment avoir la fibre verte.

 

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Essence, diesel ou électrique

Plus que jamais, avec un litre d’essence à 1,35$ à Montréal, l’économie d’essence est le top des critères de sélection des automobilistes au moment de l’achat d’une voiture neuve.

Fort heureusement, nous assistons aussi depuis plusieurs années à la venue de véhicules de plus en plus économiques sur le marché automobile canadien.

Le diesel, longtemps boudé par les conducteurs nord-américains, refait donc surface dans plusieurs concessionnaires au pays. Certains modèles offrent le choix entre le moteur diesel ou à essence.

Mais attendez il y a aussi l’électrique.  Une nouvelle option qui s’offre à l’acheteur depuis quelques années.

Qu’est-il donc plus économique, l’essence, le diesel ou l’électrique?

Biens sûrs vous devrez jouer sur vos goûts et besoins personnels pour arriver à une décision et aussi sur votre budget.

Le prix d’achat

Les électriques c’est connu sont beaucoup plus chère à l’achat. On parle parfois d’un prix 100% plus élevé pour un véhicule de la même catégorie à moteur à essence.  On parle souvent de 10 000$ plus dispendieux une voiture électrique qu’une voiture à essence.  C’est le cas par exemple chez Nissan avec la Leaf à 31 000$ versus la Versa à 15 000$.  Bien sûr il y a la subvention québécoise à l’achat de 8 000$.  Ça fait tout de même une différence de 8 000$ avant taxes à l’achat.  En supposant qu’un plein d’essence sur la Note vous coûte 50$, c’est 80 000km avec la Note que vous pourez faire avant d’atteindre le niveau de prix de la Leaf.  Imaginez la Leaf est encore dans la cour à 31 000$ + taxes et pour l’équivalent, votre Versa Note aura parcouru 80 000 km avant que vous ayez déboursé 31 000$.

Chez Chevrolet, la Volt, entièrement électrique est à 40 000$ son équivalent à essence, la Malibu est à 26 000$.  Encore une fois, avec le rabais de 8 000$ en subvention, la différence de coûts est de 6 000$.  Avec 6 000$ d’essence vous en faites du chemin.

Le diesel

Compte tenu qu’à la pompe le carburant disesel est souvent plus cher de 15 cents le litre, il semble que ça ne vaut pas la peine d’analyser le diesel.  Mais ce site Internet européen a analysé divers scénarios.   L’avantage est au diesel si vous faites surtout des déplacements sur grandes routes.

Les coûts d’entretien

C’est connu chez les voitures diesel et électrique les coûts d’entretien et de réparation sont plus élevés et cela doit aussi être pris en considération dans votre choix.

Durabilité

Il est difficile d’établir une durabilité au moteur électrique.  Le diesel a la réputation d’être durable.  Les moteurs à essence de nos jours ne sont pas tuables non plus.  Au Québec, la rouille va ronger votre véhicule avant que vous ayez atteint 250 000 km avec.

Les coûts en assurances

De toute évidence assurer une voiture électrique de 40 000$ vous coûtera plus cher que d’assurer son équivalent en essence à 26 000$.  Un autre point à réfléchir.

Désagréments de certains moteurs

Autefois un moteur diesel crachaient parfois un nuage noir sur la route et c’était désagréable et nauséabond de suivre un tel véhicule sur la route.  Les constructeurs ont nettement amélioré cela.  Mais au niveau sonore, le champion toute catégorie en terme de bruit est le moteur diesel.  Autant que le moteur électrique n’émet presqu’aucun son.  Évidemment pour l’électrique le désagrément est de s’arrêter aux bornes rechargeables pour une vingtaines de minutes si vous faites de longue distance.  En hiver le moteur diesel est capricieux à démarrer si son bloc chauffe-moteur n’a pas été branché.  Quant à la voiture électrique, il y a une baisse de performance sur la distance maximale pouvant être effectuée en hiver à cause de l’énergie requise pour chauffer l’habitacle.  Chez certains utilisateurs de la Nissan Leaf, certains ont remarqué une baisse de capacité maximale à parcourir de 20 à 25% en hiver à -15 degrés celcius.

Conscience verte

Essence, diesel ou électrique, les trois motorisations pollueront inévitablement. Souvent on entend dire que l’électrique c’est émission zéro en termes de CO2.  Effectivement mais il ne faut pas oublier que les batteries de ses voitures sont très polluantes en termes de disposition une fois qu’elles ne sont plus bonne.  C’est tout autant polluant qu’une voiture diesel ou à essence.   Leur fabrication est aussi toute autant polluante.  Bien sûr en roulant 200 000km il se peut qu’il y est un léger avantage vert à la voiture électrique.  Mais d’un autre côté les fabricants automobiles améliore tellement les moteurs à essence.  Il ne faudrait pas non plus comparer un 2014 Dodge Challenger R/T à à une 2014 Tesla en terme d’émanants polluants.  Quoi que le moteur HEMI équipant le Dodge Challenger est surprenant avec sa capacité d’utiliser les 8 cylindres que lorsque que c’est nécessaire.

Le choix final

Bonne réflexion, mais AutoCarbure vous suggère encore le moteur à essence, tant et aussi longtemps que les prix des voitures électriques demeureront et tant et aussi longtemps que le coût du diesel ne sera pas égal au prix de l’essence.

Rencontres inattendues: Nissan Leaf… c’est pas physique c’est électrique!

L’autre jour sur la rue Sainte-Catherine à Montréal, AutoCarbure.com a rencontré cette Nissan Leaf, véhicule complètement électrique.

Comme le chantait Robert Charlebois, « …C’est pas physique, c’est électrique… »

La Nissan Leaf a ni plus ni moins le même look qu’une Nissa Versa.  Son moteur, entièrement électrique, déploie 109 chevaux de puissance.  Son autonomie est d’à peine 160km. Donc Montréal – Québec se fait difficilement.

Son prix?  À partir de  de 31 798$, rien de moins en plus des taxes de ventes appliquables. Ce qui en fait un véhicule de plus de 35 000$.

C’est une voiture urbaine, idéale pour de courtes distances. Nous l’avons donc rencontré dans l’environnement dans lequel elle est le plus à l’aise.

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