Consultation publique sur la sécurité routière au Québec

Consultation publique sur la sécurité routière au Québec

Le Ministère des Transports du Québec organise une grande consultation publique sur la sécurité routière au Québec.

La province de Québec a fait des gains appréciables quant au nombre de victimes sur les routes ces dernières années, bien que les données de l’an 2015 démontrent que les acquis sont fragiles et que l’heure est à la recherche de nouvelles pistes de solution pour continuer d’améliorer le bilan routier.

Cette consultation publique, une première au Québec, à laquelle le Ministère des Transports vous convie en grand nombre, tombe donc à point. AutoCarbure est convaincu que cet exercice fournira de nouvelles idées au gouvernement du Québec afin de permettre d’aller plus loin et de nous rapprocher des pays les plus performants dans le monde en matière de bilan routier.

Participez en grand nombre! Au Québec, la sécurité routière : ça nous concerne tous que vous soyez cycliste, piéton, automobiliste, motocycliste ou camionneur.

Si vous ne pouvez pas vous déplacer en personne à l’une de ces consultations publiques, le Ministère des Transports du Québec vous invite à donner votre avis en ligne via le site Internet de la SAAQ.

Vous avez jusqu’au 3 mars 2017 pour répondre en ligne à l’un des 15 formulaires proposés.

Consultez le site de la SAAQ pour les horaires des différentes consultations publiques sur la sécurité routière au Québec de Chibougamau à Québec en passant par Val d’Or, Sherbrooke, Saguenay, Baie-Comeau et bien d’autres endroits au Québec.

 

Emplacement de radar photo au Québec

Le radar photo au Québec est devenu une machine perceptrice d’impôts pour le gouvernement du Québec.

Il existe maintenant le radar photo mobile. C’est à dire un radar photo monté sur une unité mobile.

Une page sur Facebook vous informe de l’emplacement de radar photo partout sur le territoire du Québec.

Il y a l’économie collaborative comme AirBnB, Uber ou Lyft et il y a maintenant des outils collaboratifs de dénonciations.  Les gens collaborent sur cette page Facebook, pour vous évitez de vous faire prendre par un radar photo.

L’application pour téléphone intelligent Waze, moins utilisée au Québec, peut aussi vous informer de la présence de radar photo dans les secteurs plus habités.

Le 30 septembre dernier le Journal de Montréal avait listé sur une carte les emplacements des radars photo sur le territoire du Québec. Malheureusement ils ne tiennent pas cette carte à jour.

Le Ministère du Transport du Québec (MTQ) dresse une liste par régions sur son site Internet. Mais côté précision il n’y a rien de mieux que la collaboration entre automobilistes pour avoir une liste à jour de l’emplacement de radar photo.

Pour éviter le radar photo au Québec, certain disent sur les médias sociaux que d’ajouter une pellicule de type Saran wrap sur votre plaque d’immatriculation évite que la photo de votre plaque prise par le radar photo soit claire. Si vous cherchez dans votre moteur de recherche préféré comment contrer les radars photo vous trouverez tout plein de moyens.

Avez-vous vraiment les moyens de tester ces moyens? Le meilleur moyen de ne pas se faire prendre est encore de ralentir et d’éviter d’être une entrée comptable dans la colonne revenus du gouvernement pour qui le radar photo est une vache à lait.

En terminant doit on dire photo radar ou radar photo? Le terme exacte qu’emploi le MTQ est radar photo.

 

 

 

 

100 000 véhicules électriques d’ici 2020 au Québec, le ministre Daoust est dans les patates!

Il y a actuellement 8 500 véhicules électriques ou hybrides rechargeables qui circulent sur les routes du Québec a précisé
dernièrement le ministre des Transports du Québec Jacques Daoust.

L’objectif du gouvernement du Québec est d’avoir 100 000 véhicules électriques qui circulent sur les routes du Québec d’ici 2020.

Autrement dit, 91 500 nouveaux véhicules électriques d’ici 3 ans et des poussières.  Soit près de 2 500 nouveaux véhicules par mois.

Le ministre se dit confiant d’atteindre cette cible.

Chez Autocarbure.com, on considère que le ministre est complètement dans les patates et rêves en couleurs.

La seule façon que le gouvernement pourrait atteindre cette cible c’est que lui-même renouvelle sa flotte des véhicules de ses ministères et organismes
ainsi que celle de ces sociétés d’État et du réseau de la Santé et de l’Éducation en acquérant que des véhicules électriques ou hybrides.

Sans ce coup de pouce du gouvernement, l’objectif demeure impossible à atteindre, surtout avec un litre d’essence qui au moment d’écrire ses lignes, est sous les 1$ à peu près
partout au Québec sauf à Montréal.

Qui au Québec veut réellement acquérir un véhicule électrique avec peu d’autonomie et à presque deux fois le prix pour un véhicule similaire qui roule à essence? Personne!

À moins d’être à l’aise de fortune, très peu de québécois sont enclin à acquérir un véhicule électrique eux qui ont vu leurs revenus familiales disponibles fondre comme neige au soleil depuis quelques années.

Harfang des neiges, Montréal, autoroute 40

Pour ceux qui ont manqué l’harfang des neiges capté par une caméra du MTQ

Nous y revenons ce samedi car c’est pas mal l’événement de la semaine au Québec en terme de bonnes nouvelles dans le monde automobile. Tout le monde en parle depuis que c’est paru dans les journaux, à la télé et sur les médias sociaux, ça ne serait même pas étonnant que l’employé ayant observé cela soit invité à la populaire émission de Radio-Canada, Tout le monde en parle.  En fait, ils ont déjà reçu des invités à leur émission pour moins que ça.

C’est une caméra du Ministère des Transports du Québec (MTQ), ayant comme but la surveillance du trafic sur le réseau routier de Montréal, a capté le 3 janvier dernier un harfang des neiges en plein vol,  tout près de l’autoroute 40 à la hauteur du boulevard des Sources à Dollard-des-Ormeaux dans l’Ouest de l’île de Montréal.

Le ministre des Transports Robert Poëti a partagé le tout le 7 janvier dernier via son compte Twitter.

Voici la vidéo du vol de l’harfang des neiges, un oiseau magnifique, d’envergure impressionant et l’emblème aviaire du Québec. L’oiseau filmé en plein vol par la caméra du MTQ est une femelle de par son plumage tâcheté.  Le mal est tout blanc dans cet espèce.

Pourquoi les routes du Québec sont-elles aussi massacrées avec un prix de l’essence élevé alors qu’aux États-Unis c’est tout le contraire?

En se promenant récemment sur de magnifiques routes et autoroutes du New Hampshire, du Vermont et de l’État de New York, l’équipe d’AutoCarbure.com en est venue à poser la question suivante au Ministère des Transports du Québec:  Pourquoi le prix de l’essence est 60% moins cher aux États-Unis et que les routes y sont impéccables alors qu’au Québec l’essence est hors de prix et les routes massacrées?

On entend souvent parler que c’est une question de climat.

Bon il semble que dans la tête des personnes qui émettent ces commentaires que le froid ne passerait pas aux douanes de Lacolle à Stanstead. Pourtant non, le Vermont, le New Hampshire, le Maine et le Nord de l’État de New York ont exactement le même climat que le Québec à disons plus ou moins 2 degrés.

Donc s’il fait -25 à Magog, il fait -24 à Stanstead.  Ça gèle et dégèle autant que nous.  Le problème n’est donc pas là?

La logique veut donc qu’on se tourne vers le copinage, la règlementation et la corruption.

Mais ça on ne peut présumer de rien.

Par contre on sait qu’au Québec le lobby du transport est très puissant.  On sait que les camions roulent souvent surchargés sur nos routes et que ça fait des dégâts considérables.  Jamais ces camions rouleraient avec le même chargement sur les routes de la Nouvelle-Angleterre.  Là-bas ils ne badinent pas avec les délinquants.  Demandez à des camionneurs vous saurez.  Souvent la règlementation étouffe le contribuable mais il arrive que comme dans le cas du camionnage, que la règlementation ne soit pas assez lourde et qu’encore une fois ce soit le contribuable qui en fasse les frais.

Le copinage. Bien difficile de dire s’il est existant ou non comme observateurs mais c’est quand même drôle que ce soit souvent les mêmes entreprises qui ont les contrats d’asphaltage.

La corruption? Aucun preuve encore mais pour que si peu de règlementation s’applique et pour que ce soit toujours les mêmes entreprises d’asphaltage, on peut en douter.

Qu’ont les ingénieurs du Ministère des Transports à répondre à tout cela?

L’équipe d’AutoCarbure.com vous invite à prendre la route 25 qui va du Vermont au New Hampshire, vous verrez c’est quoi une belle route de campagne tout bien pavée et bien construite.

Parcourez 200km sur la I89 ou la I93 vous verrez c’est quoi de vraies autoroutes.  Elles sont magnifiques par rapport aux autoroutes du Québec.

Pourquoi quand il s’agit du Québec que trop souvent tout est médiocrement différent? Est-ce ça notre société distincte? Sommes-nous une société médiocrement distinct?  Les automobilistes du Québec payent fort le prix de cette distinction.

Si vous êtes tannés du piètre état des routes au Québec n’hésitez pas à écrire au Ministère des Transports du Québec, soyez en grand nombre pour réveiller ces gens là.  Faites-leur part de votre mécontentement.

 

 

Comme aux USA, des haltes textos sur les routes du Québec

Lors de sa récente annonce du bilan routier 2014, le ministre des Transports du Québec, Robert Poëti, a confirmé que les textos au volant représentent une des plus grandes problématiques en matière de sécurité routière.

Ainsi, le gouvernement du Québec souhaite équiper haltes routières pour qu’elles servent de refuge aux automobilistes qui ont un urgent besoin d’écrire un texto ou de lire leurs courriels.

Les québécois sont déjà familiers avec de telles haltes, les états de la Nouvelle-Angleterre en sont parsemés même le très libre New Hampshire.

Maintenant, est-ce que l’État a les moyens de ses ambitions afin de doter le réseau routier d’haltes textos et d’haltes courriels avec des Wi-Fi à haut débit?

Le ministre des Transports du Québec espère que le secteur privé, par exemple certains gestionnaires d’haltes routières, financeront l’achat et l’implantation de la technologie nécessaire.

Le ministre mentionne que selon lui ce n’est pas à l’État nécessairement de prendre en charge un tel service, service qu’il voudrait disponible au courant de la prochaine année.

 

Le gouvernement abandonne le projet de plaques personnalisées au Québec

Le gouvernement Marois avait annoncé en janvier 2014 l’éventuelle mise en place de plaques personnalisées au Québec, l’ex-ministre des Transport Sylvain Gaudreault en avait fait l’annonce et le tout allait débuter en septembre 2015.  Lors de l’annonce, à l’époque, le ministre montrait fièrement une plaque avec son prénom lors de la conférence de presse.

Comme le Québec est une société distincte et ne fait rien pareil comme les autres, le projet viens d’être abandonné par le gouvernement de Phillipe Couillard.  La raison est qu’un groupe de juristes du ministère des Transports cherchaient un moyen d’empêcher les acronymes anglophones de mauvais goûts comme WTF.  Ils cherchaient également à empêcher des plaques comme NAZI ou encore FLQ puissent être émises.

Pourtant des plaques humoristiques comme TGIF ou encore BUTCOTE ou même encore GOPKP  auraient pu naître.

Cela aurait permis de générer des recettes additionnelles pour la SAAQ, les estimations vont de 11 millions lors de la première année.  Mais il semble que le gouvernement prend l’option de ne pas augmenter les revenus de la SAAQ.

Un marché de revente de noms, aurait pu aussi générer davantage de revenus pour la SAAQ.

Alors oubliez votre plaque GOHABS ou encore CHEVYFAN ou PRELUDE ou HEMI avec le fameux « Je me souviens » en bas et avec le logo du Québec dans le haut.

Pour votre véhicule de promenade le gouvernement, dans sa grande vision avec ornières,  a statué que vous êtes comdamnés à avoir un mélange de trois lettres et trois chiffres à six positions différentes sur la plaque.  Pourtant en janvier 2013 la SAAQ annonçait qu’elle pourrait éventuellement manquer de numéros de plaques avec seulement six positions pour les véhicules de promenades.  La venue des plaques personnalisées auraient pu régler à ce problème.